La fête du financement par capital-risque est terminée
Les jours de gloire du capital-risque touchent à leur fin, laissant derrière eux une multitude d'entreprises technologiques surchargées et un marché baissier prêt à s'effondrer.
Les jours de gloire du capital-risque touchent à leur fin, laissant derrière eux une multitude d'entreprises technologiques surchargées et un marché baissier prêt à s'effondrer.
L'ère du Far West sans loi de l'IA et de la technologie touche à sa fin, car les autorités de protection des données utilisent la législation nouvelle et existante pour se montrer plus sévères.
Les progrès de la science apporteront un éclairage sans précédent sur les complexités de l'océan et un appel renouvelé aux humains pour le protéger.
Les prédictions optimistes concernant les grandes réalisations de l'intelligence artificielle seront balayées par des performances décevantes et des résultats dangereux.
En quittant le cercle vicieux de l'hédonisme, les jeunes travailleurs exigent une expérience professionnelle plus authentique.
Il est facile d'accuser les algorithmes d'étouffer la créativité, mais les designers de tous bords devraient exploiter leurs capacités multidisciplinaires.
Dans la course à la montée en puissance, le nombre d'IA formées sur des ensembles de données de mauvaise qualité a augmenté, ce qui va amplifier toutes sortes d'inégalités.
NurPhoto via Getty Images“Je comprends que tu sois aigri”, l’échange très tendu entre deux sénateurs sur les Uberfiles (ici une photo de Patrick Kanner) POLITIQUE – Les deux ont beau se tutoyer, ils ne se ménagent pas. François Patriat, le chef de file des sénateurs marcheurs s’en est pris vertement a son collègue socialiste Patrick Kanner, mercredi 13 juillet, l’accusant d’être jaloux du destin d’Emmanuel Macron. Le parlementaire socialiste venait de fustiger le rôle du chef de l’État dans l’affaire dite des Uber Files. “Dans l’enquête, rien aujourd’hui ne montre qu’il y a eu compromission ou intérêt personnel pour le président”, a ainsi pesté l’élu de Côte-d’Or avant de diriger ses coups contre son interlocuteur, comme vous pouvez le voir ci-dessous. “Quand j’entends parler de loyauté, de probité… Patrick, excuse-moi de te le dire comme tel, mais j’entends bien ta rancœur. Tu as été ministre avec Emmanuel Macron, lui est devenu président au premier coup à 39 ans, toi tu es redevenu sénateur, alors je comprends que l’on soit un peu aigri… Tu l’es aujourd’hui”, a-t-il ainsi lâché, provoquant un certain froid sur le plateau de Public Sénat, habitué aux échanges courtois. Une saillie un brin perfide, “lamentable”, selon les mots du principal visé. “Et bien supprimons le Parlement alors, vive Vulcain, vive Jupiter”, a ainsi répondu Patrick Kanner à François Patriat quand celui-ci s’indignait de voir les oppositions agiter le spectre d’une commission d’enquête sur le sujet. La Macronie minimise, Macron “assume” Dans le cadre des “Uber Files”, des investigations reposant sur des milliers de documents internes à Uber, Le Monde a conclu à l’existence d’un “deal” secret entre Uber et Emmanuel Macron quand il était à Bercy. Le quotidien montre aussi que l’ancien lobbyiste en Europe de l’entreprise, à l’époque “conseiller senior du conseil d’administration”, avait contribué en 2016…
Gonzalo Fuentes via ReutersLes aides à l’apprentissage prolongées “au moins” jusqu’à fin 2022 (Le nouveau ministre du Travail Olivier Dussopt le 28 avril 2022 par REUTERS/Gonzalo Fuentes) L’objectif d’un million de contrats signés Ces aides seront prolongées “au moins jusqu’à la fin de l’année. Ensuite cela dépendra de la loi de finances pour 2023 puisque l’ancien ministre du Budget que je suis peut rappeler que les aides sont votées année par année dans les budgets”, a précisé Olivier Dussopt. Grâce notamment à ces primes, l’apprentissage a connu un essor, avec 718.000 contrats signés en 2021, soit une hausse de 37% après déjà 42% en 2020. Le gouvernement s’est fixé l’objectif de porter ce chiffre à un million de contrats signés. “Pour atteindre un million, il faut prolonger les aides à l’apprentissage”, a insisté le ministre. À voir également sur Le HuffPost: Salaires, retraites, urgence écologique, contre Macron…: voici pourquoi ils manifestent ce 1er-mai Source
visualspace via Getty ImagesUn Américain a obtenu 450.000 dollars en compensation d’une fête d’anniversaire non désirée. (photo d’illustration) ÉTATS-UNIS – C’est une histoire peu banale, venue tout droit des États-Unis. Une entreprise américaine a annoncé ce lundi 18 avril son intention de faire appel d’une décision judiciaire qui a octroyé 450.000 dollars (417.000 euros) à l’un de ses employés, licencié peu après avoir fait une crise de panique à cause d’une fête d’anniversaire organisée contre sa volonté. Kevin Berling, qui dit souffrir d’anxiété, avait prévenu sa supérieure à Gravity Diagnostics qu’il ne souhaitait pas célébrer cette journée, expliquant qu’elle lui rappelait de mauvais souvenirs liés au divorce de ses parents, selon des documents judiciaires. Mais le 7 août 2019, au moment de la pause déjeuner, Kevin Berling s’était vu souhaiter “bon anniversaire” par certains collègues et avait découvert une banderole déployée pour l’occasion dans la salle de repos de l’entreprise, située dans le Kentucky. Il s’était alors rendu dans sa voiture, dans laquelle il affirme avoir eu une crise de panique. Perte de revenus et humiliation Le lendemain, lors d’une réunion en petit comité, Kevin Berling s’était “emporté, serrant les poings et les dents, le visage rouge et en tremblant”, demandant à sa cheffe de “se taire”, a décrit John Maley, avocat de Gravity Diagnostics, dans un courriel à l’AFP. La supérieure et l’autre employé présent ont “craint pour leur sécurité”, a-t-il ajouté, ce qui a poussé l’entreprise à licencier Kevin Berling. Avant l’incident, ce dernier n’avait jamais été sanctionné ou réprimandé pour son comportement. Contestant son renvoi, Kevin Berling avait attaqué Gravity Diagnostics en justice pour “discrimination en raison d’un handicap”, obtenant fin mars 450.000 dollars de réparation, dont 150.000 pour la perte de revenus et 300.000 pour l’humiliation, la perte d’estime de soi et la souffrance engendrées. La firme, qui réfute…
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