Les fausses nouvelles générées par l'IA arrivent dans une élection près de chez vous
La désinformation politique ciblée générée par l'IA existe déjà, et les humains y succombent.
La désinformation politique ciblée générée par l'IA existe déjà, et les humains y succombent.
Le traitement de la maladie de Parkinson, de la maladie de Huntington, de la SLA et d'autres maladies cérébrales dépend d'une détection fiable, en particulier chez les personnes qui ne savent même pas qu'elles sont à risque. Un test innovant de type scratch-and-sniff peut aider.
En quittant le cercle vicieux de l'hédonisme, les jeunes travailleurs exigent une expérience professionnelle plus authentique.
Kanye West et Kim Kardashian. Gotham / Contributeur Vous trouviez déjà que ce pote qui achète toutes les versions du même album de cette starlette juste pour avoir les jaquettes différentes était un peu débile sur les bords ? Eh bien, vous aviez raison. Selon une étude publiée par BMC Psychology, il existe un lien direct entre le culte de célébrités et une performance plus faible sur les tests cognitifs – autrement dit l’intelligence. Publicité Pour mener à bien cette recherche, plus de 1 763 adultes hongrois ont passé un test de vocabulaire de trente mots et un test de rapidité numérique avant de remplir un questionnaire de connaissance sur les célébrités afin de déterminer leur intérêt sur le sujet. « Si j’avais la chance de rencontrer ma célébrité préférée, et qu’elle me demandait de faire quelque chose d’illégal en guise de faveur, je le ferais probablement ? » Les participants devaient, par exemple, répondre à des questions telles que « Je me sens obligé d’apprendre les habitudes personnelles de ma célébrité préférée ? », ou encore « Je suis obsédé par les détails de la vie de ma célébrité préférée ? ». Et cerise sur le gâteau : « Si j’avais la chance de rencontrer ma célébrité préférée, et qu’elle me demandait de faire quelque chose d’illégal en guise de faveur, je le ferais probablement ? ». Les chercheurs ont constaté que les scores élevés sur les questions liées aux célébrités étaient corrélés à des performances inférieures à la moyenne sur les deux tests de capacité cognitive. Cependant, l’étude n’est pas parvenue à déterminer si les participants “fans” avaient perdu des capacités cognitives en s’intéressant aux magazines people ou s’ils étaient simplement moins intelligents de naissance. On ne sait donc pas si le culte de célébrités est une cause…
Voilà une info qui va faire de la peine aux célibataires qui pensaient que les couples avaient, eux aussi, mal vécu la crise sanitaire. Une nouvelle étude démontre le lien entre le plaisir sexuel et la peur du Covid chez les couples. Publicité Alors que des chercheurs pensaient prouver que la libido avait pâti des confinements à répétition, c’est tout l’inverse. Des psychologues de l’Université de Lisbonne et de l’Institut Kinsey dans l’Indiana ont examiné 303 adultes en couple pour analyser les évolutions dans leur relation depuis 2020. D’après cette étude, qui n’est a priori pas financée par l’industrie du préservatif, divers changements ont été observés dans la vie sexuelle des participants qui affirment avoir peur du Covid. Ceux qui ont exprimé leur crainte envers le virus ont aussi affirmé être plus satisfaits de leurs rapports sexuels que les autres. La raison de cet épanouissement sexuel vient de l’innovation au lit chez les inquiets du Covid. Ces derniers se sont révélés plus aventureux sexuellement et ont essayé de nouvelles pratiques. Parmi les expérimentations les plus cités des candidats, on retrouve le sexting (textos coquins), l’essai de nouvelles positions et les partages de fantasmes. Durant la pandémie, ces couples ont d’ailleurs répondu positivement trois fois plus que la moyenne à cette question : « Êtes-vous épanoui sexuellement ? ». Le fait d’être jeune et stressé augmente également les chances d’avoir de meilleures relations au lit. Si jamais vous doutiez de la pertinence de cette étude, sachez qu’elle fait grandement progresser les recherches sur l’impact des crises (économiques ou encore sanitaires) sur les relations amoureuses, en particulier dans le cas d’une pandémie où l’effet est mondial. VICE France est aussi sur Twitter, Instagram, Facebook et sur Flipboard.VICE Belgique est sur Instagram et Facebook. Dernière étape pour t’abonner à la newsletter VICE… En vous abonnant à la newsletter de VICE, vous…
Au Parlement roumain, 2018. MoiraM / Alamy Stock Photo Tous les ans, les études scientifiques les plus loufoques et improbables sont mises en avant lors du IgNobel. Comme son équivalent traditionnel, le Nobel, les prix sont rangés par disciplines. Paix, économie, médecine, chimie, il y en a pour tous les goûts. Parmi les gagnants de l’édition 2021, on retrouve une étude qui démontre que la barbe a subsisté à travers le temps grâce à sa capacité à amortir les coups en cas de baston ou encore une autre qui prouve que l’orgasme permet de décongestionner le nez. Publicité Remises par de vrais prix Nobels, ces récompenses sont décernées à Harvard. Le but : « faire rire les gens et ensuite réfléchir » pour les créateurs du IgNobel. Cette année, un chercheur en France a réussi à tirer son épingle du jeu. Professeur d’économie à la Montpellier Business School, Pavlo Blavatsky a réussi à mettre en lien la corruption d’un pays et l’obésité de ses dirigeants. Concrètement, plus un politicien est gros, plus il y a de chance qu’il soit corrompu. Pour prouver son hypothèse, le chercheur a pris comme exemple quinze pays de l’ex-URSS. À l’occasion de sa remise de prix, on a rencontré ce chercheur français pour en savoir plus son étude loufoque et un brin provoc. VICE : Pourquoi cette étude ? Quel était votre postulat de départ ?Pavlo Blavatsky : J’ai lu dans le journal l’histoire de Volodymyr Zelensky, un acteur ukrainien qui jouait dans une série un président qui luttait contre la corruption, et il est finalement devenu le favori du premier tour de la vraie élection présidentielle. C’est ce qui m’a fait m’intéresser à la corruption dans le domaine politique. Je me suis rendu compte qu’il n’existait pas beaucoup de mesures objectives sur le sujet. En…
Image tirée de la série Twin Peaks © ABC Une insomnie, un volet qui claque, des voisins qui chantent à la gloire de la terre brûlée du comté de Galway, un mec bourré en Jump qui se vautre sous votre fenêtre et maugrée en rentrant de soirée, votre animal de compagnie qui considère que 3 heures du mat’ est le moment idéal pour réclamer une poignée de croquettes saumon/poulet ? Vous avez passé la nuit à côté de vos pompes à cause d’une des raisons susmentionnées et vous allez probablement lutter contre le sommeil perdu avec quelques litres de café. Jusqu’ici, rien d’anormal. La caféine est un des stimulants les plus utilisés à travers le monde. Par le biais du café donc, mais aussi du thé, des boissons énergisantes ou, dans une moindre mesure, du cacao et du maté, elle est absorbée pour améliorer la concentration et lutter contre l’état de somnolence – en plus d’être une pratique sociale et culturelle particulièrement répandue. Problème, ces boissons que l’on considère comme de vaillants auxiliaires capables de nous aider à traverser la journée sans piquer du nez ont un effet assez limité sur l’organisme. Une étude publiée dans la revue Journal of Experimental Psychology : Learning, Memory, and Cognition relayée par Sciences et Avenir est formelle : le café ne permettrait pas de rattraper les heures de sommeil perdues. Pour le prouver, 275 participants au bout de leur vie ont été soumis à une batterie d’exercices allant du plus simple (cliquer à l’apparition d’un cercle rouge sur un écran blanc) au plus difficile (un jeu de mémoire). « Nous avons observé que le manque de sommeil avait un impact négatif sur les capacités des sujets à remplir différentes tâches. Et que si la caféine pouvait les aider à réussir les exercices les plus faciles, elle n’avait…
Compassionate Eye Foundation/Gary Burchell via Getty ImagesCette étude de l’institut Pasteur pointe le rôle central des repas dans le Covid (photo d’illustration) REPAS – Aller dans les restaurants ou les bars augmente le risque d’attraper le Covid-19 et les repas en général joueraient un rôle central dans les contaminations selon une étude de l’institut Pasteur. Une étude on ne peut plus d’actualité lorsque l’on sait qu’avant d’être testé positif au coronavirus ce jeudi 17 décembre , Emmanuel Macron avait dîné la veille au soir avec une douzaine de convives. “On voit dans cette étude une augmentation du risque associée à la fréquentation des bars et restaurants”, explique à l’AFP son auteur principal, Arnaud Fontanet, épidémiologiste à l’Institut Pasteur et membre du Conseil scientifique qui guide le gouvernement. Mais “il faut être prudent” dans l’interprétation de ces résultats “sur un sujet éminemment sensible”, insiste-t-il. L’étude, baptisée ComCor, a été menée fin octobre/début novembre, pendant le couvre-feu puis le commencement du confinement, quand les établissements étaient partiellement voire complètement fermés. Il est donc difficile de savoir “quelle est la part réelle des restaurants et des bars dans la transmission” du virus, puisque cette période ne correspondait pas à leur fonctionnement normal. Une étude à prendre avec des pincettes Selon l’étude, le risque augmente même davantage pendant le confinement que pendant le couvre-feu. Un élément qui semble paradoxal puisque les établissements étaient alors censés être totalement fermés. “Cela laisse entendre qu’il y a eu des bars et restaurants ouverts de façon clandestine pendant le confinement” et que les personnes qui s’y sont rendues, même moins nombreuses, “s’y sont beaucoup exposées”, avance le professeur Arnaud Fontanet. Ces dernières semaines, les restaurateurs ont protesté contre les fermetures, en estimant qu’elles n’étaient pas justifiées scientifiquement. Le Premier ministre Jean Castex a fermement rejeté ces accusations: “On dispose…
Please active sidebar widget or disable it from theme option.
{{ excerpt | truncatewords: 55 }}
{% endif %}