‘Conclusion intense de l’Hérétique, expliquée’
Que s’est-il passé à la fin de “Heretic,” le nouveau film d’horreur d’A24 avec Hugh Grant ? Explication.
Que s’est-il passé à la fin de “Heretic,” le nouveau film d’horreur d’A24 avec Hugh Grant ? Explication.
Photo : Mark Garlick / Science Photo Library via Getty. La mort est inévitable. C’est la seule chose certaine dans ce monde ainsi que la plus grande inconnue. Le fait que l’on puisse mourir à tout moment est un peu morbide quand on y pense mais c’est aussi incroyablement libérateur. Tout le monde a une histoire sur cette fois où il/elle a failli caner. J’en ai quelques unes à mon actif – je ne sais pas si c’est normal. Même si chacune de ces expériences m’a appris quelque chose, il semblerait que je réussisse toujours à trouver de nouvelles façons de frôler la mort (j’exagère à peine). Je dois être particulièrement maladroite ou un peu conne. Publicité La fois la plus flippante est arrivée il y a déjà quelques années. Ça aurait été une mort accidentelle carrément triste et bizarre. Je me suis réveillée chez moi, sans aucun souvenir de comment j’étais rentrée – j’étais juste sorti boire un verre avec des potes – et j’avais l’impression d’avoir été percutée par un camion. J’étais en pyjama, mais en me déshabillant, j’ai vu que j’avais du sang partout. Réalisant que j’avais une énorme entaille à l’arrière de la tête, je suis allée à l’hôpital. En gros, j’ai fini par comprendre que j’étais tombée dans les escaliers devant chez moi, que je m’étais ouvert le crâne sur le sol en béton, que je m’étais évanouie, que je m’étais réveillée après Dieu sait combien de temps, que je m’étais traînée jusqu’à ma chambre, que j’avais enfilé mon pyjama et que je m’étais juste endormie. J’ai de la chance d’être en vie. Heureusement, ce n’était pas mon heure même si ça m’a quand même fait me sentir MAL. Si je devais retenir quelque chose de tout ça c’est que la mort est beaucoup plus proche…
En 2016, un homme de 87 ans fait une mauvaise chute et se rend aux urgences du General Hospital de Vancouver. Le scanner montre une hémorragie cérébrale. Le vieil homme doit donc être opéré. Pendant les deux jours qui suivent l’opération, son état reste stable. Il commence ensuite à décliner jusqu’à l’apparition de crises d’épilepsie. En raison de ces crises, les médecins décident de mesurer les signaux électriques de son cerveau à l’aide d’un électroencéphalogramme, ou EEG. Alors que les électrodes sont encore placées sur sa tête, l’homme décède d’une crise cardiaque. Une étude publiée fin février documente ce qui a été constaté lors de l’enregistrement EEG : dans les 30 secondes qui ont précédé et suivi l’arrêt cardiaque du vieil homme, une augmentation de l’activité cérébrale a été observée. Et pas n’importe quelle activité : des ondes gamma. Ces ondes cérébrales de très haute fréquence sont associées à des états conscients, notamment l’apprentissage et la mémoire, et ont également été observées lors d’états méditatifs. Pourquoi un homme en train de mourir aurait-il connu une augmentation soudaine d’une activité cérébrale associée à la conscience ? Dans l’article, les auteurs écrivent qu’il « est intrigant de spéculer qu’une telle activité pourrait soutenir un dernier “rappel de vie” pouvant advenir dans l’état de mort imminente ». Bien que les auteurs aient émis d’importantes réserves et qu’il soit impossible de lire une expérience subjective à partir d’un EEG, le cas a fait sensation dans les médias ces dernières semaines, suggérant que ce qui était arrivé à cet homme pouvait prouver que nous revivons bel et bien nos souvenirs dans les moments qui précèdent notre mort. « Une nouvelle étude suggère que nos vies défilent réellement devant nos yeux avant de mourir », a écrit le Daily Mail. MSN a rapporté que cette étude « révèle nos potentielles dernières pensées »….
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