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YOUR NAME

Séance en plein-air au château de Grabels, le jeudi 23 juillet. Makoto SHINKAI – film d’animation Japon 2016 1h48mn VF – Pour les enfants à partir de 10 ans. Du 23/07/20 au 23/07/20 Your name nous arrive précédé d’une réputation hors norme : film phénomène au Japon, énorme succès critique et public, le film a détrôné à la troisième place du box office national de tous les temps l’indéboulonnable Princesse Mononoke du maître Miyazaki. Les studios Ghibli de Miyazaki et Takahata régnaient sans partage sur l’animation japonaise… jusqu’à ce que surgisse le tout jeune Makoto Shinka. Et vous savez quoi ? Cette réputation n’est pas usurpée, ce succès est bien mérité !Au cœur de Your name, conte fantastique contemporain aussi romantique qu’impressionnant visuellement, il y a deux personnages d’adolescents qui n’ont rien en commun. Mitsuha est la fille aînée du maire d’un petit village de la région montagneuse de Ginfu. Depuis la mort de sa mère, elle vit avec sa grand-mère et sa jeune sœur, et se montre très soucieuse de faire perdurer les traditions (fêtes ancestrales, fabrication d’un saké « très spécial », danses rituelles), tout en désirant plus ou moins secrètement, comme beaucoup d’adolescentes des régions rurales, de quitter son cocon pour mener une vie trépidante à Tokyo. Justement à quelques centaines de kilomètres vit Taki, lycéen tokyoite qui se partage entre ses études, ses sorties entre amis, sa passion du dessin et un petit boulot dans une pizzeria, dirigée par la troublante mademoiselle Okudera, qui littéralement le subjugue. Deux existences parallèles qui ne devaient jamais se croiser… mais voilà : la nuit, chacun sans le savoir rêve de l’existence de l’autre, s’imagine dans le corps de l’autre, se surprenant au réveil dans un corps qui lui semble étranger. Chacun des deux adolescents va commencer à enquêter pour savoir…

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LE CAPITAL AU XXIe SIÈCLE

Justin PEMBERTON et Thomas PIKETTY – documentaire France / Nouvelle-Zélande 2019 1h43mn VOSTF – D’après son livre du même titre. Du 22/07/20 au 04/08/20 « Quand Justin Pemberton et la production néo-zélandaise m’on proposé ce projet, je me suis dit que c’était un moyen extraordinaire de toucher un public à la fois différent et plus large – et, surtout, de recourir à une autre forme d’expression pour parler du capital au xxie siècle. Je crois à la langue des sciences sociales, mais j’estime aussi qu’elle est insuffisante et qu’elle doit être complétée par le langage des romans, de la BD, de la culture populaire, de l’art en général. Cependant, je tiens à préciser que je ne suis pas devenu réalisateur ! Je suis auteur et chercheur en sciences sociales. Mais, à mon avis, le film est un complément formidable au livre… » Thomas Piketty C’est un art véritable que de mettre à portée d’entendement des simples mortels les théories économiques complexes que s’attachent à démontrer de grands universitaires, chercheurs internationaux. Et ils ne sont pas moins d’une quinzaine à apparaitre dans ce documentaire. Des Français, des Anglais, des Américains, des Néozélandais… Tous ensemble nourrissant notre réflexion autour des inégalités sociales, sur les mécanismes de répartition des richesses dans les pays développés depuis le xviiie siècle, remettant en cause l’hypothèse de Kuznets établie dans les années 1950 qui laissait à penser que le développement économique s’accompagnait mécaniquement d’une baisse des inégalités de revenu…Tout défile vite, très vite… Grâce au rythme soutenu des images de Justin Pemberton, tantôt pop, tantôt d’archives, qui plongent dans les racines du mal, non seulement on a l’impression qu’on a toujours su les choses, et même un peu trop connu, mais qu’elles sont d’une évidence et d’une simplicité extrêmes. Il ne nous resterait donc plus qu’à appliquer…

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L’OMBRE DE STALINE

(Mr. Jones) Agnieszka HOLLAND – Pologne / GB 2019 1h59mn VOSTF – avec James Norton, Vanessa Kirby, Peter Sarsgaard, Joseph Mawle… Scénario d’Andrea Chalupa. Du 22/07/20 au 04/08/20 Ho-Lo-Do-Mor… Quatre syllabes, quatre notes échappées d’un requiem secret, que murmurent les morts aux oreilles des vivants, qui sonnent comme un remords, une peine interdite, un chagrin sans paroles, puisqu’aussi bien les grandes douleurs sont muettes, surtout lorsqu’elles sont tues d’une balle en pleine tête.Quand en 1933 Gareth Jones entreprend d’enquêter sur l’incroyable développement économique de l’URSS alors que le reste du monde capitaliste subit les affres de la Grande Dépression, il n’a jamais entendu prononcer ce mot mystérieux ; mais au delà de l’empathie qu’il éprouve pour la Patrie des Travailleurs, et sa conviction que la Grande Bretagne devra s’allier à elle face à la menace hitlérienne, une question le taraude : comment diable une nation majoritairement paysanne peut-elle financer les gigantesques travaux d’industrialisation à marche forcée du premier plan quinquennal ? Qui paie et avec quoi ?Armé de son culot, de son Leica et d’une lettre d’accréditation signée du Premier Ministre Lloyd George, Jones débarque à Moscou bien décidé à décrocher une interview de Staline en personne, mais il lui faudra vite déchanter : baladé par les officiels, éconduit par le directeur du bureau du New York Times, surveillé par les agents du Guépéou, il comprend qu’il a mis le doigt sur une question sensible. Faussant compagnie à ses anges gardiens, il pénétre dans une région interdite aux touristes, aux journalistes et aux curieux : l’Ukraine, grenier à blé des Soviets, « l’or de Staline »… L’or des morts… Aujourd’hui connu sous le nom de Grande Famine, provoquée sciemment par le Maître du Kremlin pour servir ses desseins économiques (la mutation industrielle) et politiques (la mise à genou d’un pays-satelllite…

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BELOVED

Écrit et réalisé par Yaron SHANI – Israël 2019 1h48mn VOSTF – avec Eran Naim, Stav Almagor, Stav Patai… Du 22/07/20 au 04/08/20 Tels le côté pile et face d’une pièce de monnaie, deux films pour décrire les revers d’un même monde. On peut se contenter de l’un ou de l’autre, tant ils ont leur identité propre ; ensemble ils gagnent encore en puissance, se renforcent, tel un duo d’âmes sœurs autonomes. On vous conseille donc de ne rien louper de ce diptyque (en commençant par Chained) afin de goûter toute la subtilité de cet accord parfait. Les deux œuvres se reflètent si bien l’une dans l’autre qu’on les suspecterait presque d’avoir inventé une sorte de mouvement perpétuel. Découvrir l’une, enchainer sur l’autre, donne envie de revenir à la première et ainsi de suite, tant notre regard et notre compréhension de ce puzzle social n’en finit plus d’être nourri et d’évoluer… On plonge à chaque fois dans une humanité sans fard par une porte d’entrée différente, en se focalisant sur l’essentiel, la mise en relief d’un personnage principal jusqu’alors resté dans l’ombre. Ainsi ces points de vue adverses, ces vérités intimes mises bout-à-bout aboutissent à un portrait en creux, profond et saisissant, d’une société israélienne désorientée, rendue schizophrène et qui se cherche désespérément… Trop de rôles pour une seule femme ? Être bonne mère, bonne infirmière, bonne épouse, bonne femelle… : voilà ce à quoi aspire Avigail… Mais parfois le regard des autres nous renvoie à une autre réalité : on ne nait pas femme, on le devient…Si la première scène démarre avec des larmes, elle n’est en rien larmoyante. Car les pleurs d’Avigail vont couler comme autant de prises de conscience bénéfiques. D’ailleurs sur quoi s’apitoie-t-elle ? Sur cet embryon qui ne naitra pas ou sur cette sensation de se sentir défectueuse, pas…

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BENNI

Écrit et réalisé par Nora FINGSCHEIDT – Allemagne 2019 2h01mn VOSTF – avec Helena Zengel, Albrecht Schuch, Gabriela Maria Schmeide, Lisa Hagmeister… Du 22/07/20 au 04/08/20 La découverte de ce film fut un choc, un coup de cœur absolu. Un film phare, tendu, sur le fil, comme ne tient qu’à un fil la vie de sa petite héroïne, funambule en perpétuel mouvement pour ne pas perdre l’équilibre, pour ne pas tomber. On se souviendra longtemps de Benni, impossible même de l’oublier. Le public allemand ne s’y est pas trompé : 600 000 spectateurs pour ce premier long-métrage magistral dont la réalisatrice a fini le montage sur un coin de table chez sa grand-mère. Un manque de moyens qui ne transparait jamais à l’écran, qu’on peine à imaginer tant la texture de l’image est lumineuse, tant le récit est travaillé, son rythme ciselé, son ton criant de vérité. Tout est beau et palpitant dans Benni. On peut toujours essayer d’anticiper, de se préparer… on ne fait pas le poids face à ce scénario implacable et on sera cueilli là où l’on ne s’y attend pas. De bruit et de fureur, cette œuvre investie par la grâce marque l’avènement d’une grande cinéaste, en même temps que celui d’une actrice époustouflante, magique, d’à peine dix ans ! Il n’y a pas plus blonde, plus gracile que Benni, une véritable bouille d’ange au teint diaphane. Mais quand passent les anges, les démons sont rarement loin… Benni porte en elle le pire qui la rend exaspérante, inquiétante, comme le meilleur qui la rend plus qu’attendrissante. Pourtant, on a tôt fait d’oublier, quand elle se déchaîne, soudain sauvage, tornade insatiable balayant tout sur son passage, qu’elle n’est qu’une enfant vulnérable, une petite gosse fluette, dont la peau douce masque des meurtrissures invisibles. Mais Benni, combative, en…

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UN DIVAN À TUNIS

Écrit et réalisé par Manele LABIDI – France / Tunisie 2019 1h28mn VOSTF – avec Golshifteh Farahani, Majd Mastoura, Aïcha Ben Miled, Feriel Chammari, Hichem Yacoubi… Du 01/07/20 au 04/08/20 La scène d’introduction – quiproquo autour du célèbre portrait photographique de Sigmund Freud portant la chéchia rouge, le couvre-chef traditionnel tunisien – dit bien d’emblée toute la fantaisie de ce film, et tout l’humour de sa pétillante héroïne, Selma, fraîchement débarquée de Paris pour installer son divan à Tunis ! Car n’en déplaise aux langues de vipères, aux oiseaux de mauvaise augure et autres sceptiques locaux qui jurent par le Saint Coran qu’il n’y a pas besoin de psy dans ce pays, Selma est bien décidée à installer son cabinet de thérapeute sur le toit terrasse de la maison de son oncle. Et y a fort à parier que les Tunisiennes et les Tunisiens, en pleine crise existentielle post-révolution, ont bien des choses à lui dire. Car oui, dans cette Tunisie d’après Ben Ali, la parole, muselée pendant des années de dictature, se libère et le pays redevient bavard, dans un élan un peu chaotique où tout se bouscule : les angoisses du passé, la peur de l’avenir, les désirs et les rêves qui peuvent à nouveau se raconter.Il y a l’imam à qui l’on reproche de ne pas avoir laissé poussé sa barbe, le boulanger tumultueux qui adore se travestir et aimerait comprendre et assumer cette étrange pratique. Il y a le trentenaire « pot de colle » aux allures de gros bébé qui ne veut pas quitter sa maman chérie d’une semelle et la tourbillonnante Baya qui excelle dans l’art de la mise en plis mais est prise de nausées dès qu’elle pense à sa mère. Il y a aussi l’oncle qui dissimule de l’alcool dans des cannettes…

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UN FILS

Écrit et réalisé par Mehdi M. BARSAOUI – Tunisie 2019 1h36mn VOSTF – avec Sami Bouajila, Najla Ben Abdallah, Youssef Khemiri, Noomen Hamda… Du 15/07/20 au 04/08/20 Le titre de ce remarquable premier film est intelligemment trompeur, car la figure du fils ne sera pas tant le centre du motif que le fil conducteur autour duquel gravitent les principaux protagonistes. Ce dont-il s’agit, c’est de ce lien invisible qui relie un homme et une femme, bien au-delà de la notion de couple : la mystérieuse et viscérale sensation d’être parents. Mais le réalisateur n’en reste pas-là, car en filigrane il pose également la question des rôles en général et celui du patriarcat en particulier, qui fige les rênes du pouvoir, depuis des générations, entre des mains masculines. L’action se situe en Tunisie, pendant l’été 2011, peu après la chute de Ben Ali, ce qui, sans que ce soit appuyé, donne une ampleur politique et sociétale à l’intrigue. Il fallait un casting d’une justesse impressionnante pour que tout cela soit suggéré sans être lourdement souligné, pour qu’on puisse lire entre les lignes. Il fallait un grand acteur comme Sami Bouajila, qu’il déploie tout son art pour qu’on pénètre dans la tête de son personnage, un père habitué à ne jamais se plaindre, à être un roc, le pilier rassurant en toutes circonstances, cachant ses états d’âmes et la panique qui monte…Ce jour-là, on pique-nique agréablement en pleine nature, sous un soleil complice. Un entre-soi cosy, entre amis modernes, ouverts d’esprits, fiers d’avoir piétiné les fantômes du passé. Encore qu’un spectateur extérieur pourrait douter de leur engagement actif dans la révolution : on imagine en effet mal cette classe sociale largement aisée dans la rue ou les mains manucurées dans le cambouis. Leur vie semble naturellement facile, leur univers bien protégé sous…

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THE INTRUDER

Roger CORMAN – USA 1962 1h23mn VOSTF – avec William Shatner, Frank Maxwell, Beverly Lunsford, Robert Ermhardt, Leo Gordon… Scénario de Charles Beaumont d’après son roman (en français, Un intrus). Du 01/07/20 au 04/08/20 Entre autres pépites – souvent des films d’horreur plus ou moins fauchés –, Roger Corman, le grand manitou de la série B, a tourné ce formidable The Intruder qu’on redécouvre aujourd’hui grâce à l’indispensable distributeur Carlotta Films. L’action se situe au début des années 1960 à Caxton, charmante bourgade du sud des Etats-Unis, ontologiquement raciste, comme le rappelle l’un de ses habitants. Y débarque le meilleur élément perturbateur qui soit en la personne d’Adam Cramer (William Shatner génial, bien plus que dans son futur rôle du capitaine Kirk de la série Star Trek), soi-disant envoyé par une organisation à « vocation sociale » mais bel et bien émissaire d’un groupuscule d’extrême droite de type Ku Klux Klan opposé aux récentes lois d’intégration autorisant un quota d’élèves noirs à intégrer un lycée jusque là réservé exclusivement aux Blancs. Brillant tribun, il va réussir à soulever la population et à raviver la haine ségrégationniste qui ne demandait qu’à flamber… « Je voulais m’éloigner du cinéma de genre et tourner un film engagé, évoquant la lutte pour les droits civiques et l’intégration des enfants noirs dans les écoles du Sud. Personne n’a voulu me financer. Le tournage fut éprouvant, menaces de mort à la clé. » Réalisé en 1962 avec l’argent rapporté par le succès de ses deux premières adaptations d’Edgar Poe (La Chute de la maison Usher et La Chambre des tortures), The Intruder a été filmé en décors naturels dans plusieurs villes du Missouri, en faisant appel à des autochtones pour la figuration. Dont très peu (euphémisme) partageaient les opinions progressistes de Corman et de son scénariste !Fidèle à…

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SI TOUT RECOMMENÇAIT ?

Du 17/06/20 au 04/08/20 Et bien non ce ne sera pas, comme vous l’a dit Édouard Philippe, le 22 juin que le cinéma Utopia ouvrira ses portes.La raison de cette décision, qui a pris la profession de court, est probablement plus politique que cinématographique. Comme le disent certains mauvais esprits, avec un premier tour d’élection municipale catastrophique avec si peu de votants (Montpellier a eu par exemple 53 099 votants sur 153 403 inscrits), il fallait bien revenir à une situation à peu près normale le dimanche 28 juin, jour du deuxième tour, pour tenter d’asseoir la légitimité de nos futur(e)s élu(e)s.Les distributeurs ont besoin de temps pour caler les sorties de leurs films… Utopia également pour faire sa programmation, éditer sa gazette (notre imprimeur est toujours en activité réduite), la distribuer… Ce sera donc le mercredi 1er juillet que nous remettrons les projecteurs en route. Vous aurez donc en main la première gazette post-corona et vous vous dites peut-être que maintenant tout va bien et que nous l’aurions échappé belle. Nous ne voudrions pas gâcher cette grande bouffée de bonheur voire de béatitude, même si cela nous va droit au cœur, mais prudence, prudence, la suite pourrait être compliquée… Utopia a vécu pendant la période de confinement essentiellement sur VOTRE argent.Et oui ! Plus vous êtes nombreux à nous suivre et à acheter des abonnements, plus notre petit matelas financier est épais et plus nous pourrions survivre à de telles catastrophes. Mais il ressemble aujourd’hui davantage à un futon japonais qu’à un bon gros matelas en crin de cheval !Les problèmes de trésorerie vont donc apparaître maintenant, amplifiés par les contraintes d’accueil, le fait de ne disposer que de 50% de capacité de salles (déjà bien petites !) et l’incertitude sur votre retour massif chères spectatrices et spectateurs…Des tensions…

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MA PETITE PLANÈTE VERTE

Programme de 5 courts-métrages – film d’animation 2016 36mn VF – Pour les enfants à partir de 4 ans. Tarif unique : 4€ Du 15/07/20 au 28/07/20 Nos amis distributeurs de chez KMBO ont été bien inspirés de nous concocter ce chouette programme de 5 films d’animations venus des 4 coins du globe qui abordent de manière intelligente quelques grandes questions environnementales. Pour tous les parents et les enseignants, voici un programme qui ne cherche pas à asséner de grands discours à grand renfort de blablas mais qui, tout en douceur ludique, drôlerie et poésie, raconte aux plus petits l’écologie, mais aussi les gestes qui font du bien à la planète et même le bio ! Bienvenue chez moi ! (Corée du Sud – 2012 – 5mn30)Comme son igloo a fondu, un petit Inuit décide de partir à la recherche d’une nouvelle maison. En chemin, il rencontre des animaux polaires qui fuient. Où trouver un nouveau chez soi ? Comment aider les animaux ? S’il vous plaît, gouttelettes ! (Mexique – 2013 – 5mn)Ponkina aime jouer avec l’eau. Parfois elle en gaspille un peu trop… Un beau jour, il n’y en a plus ! La petite fille décide alors d’aller trouver la source de l’eau chérie. Paola, poule pondeuse (Belgique – 2008 – 6mn)Paola est une poule qui travaille dans une usine où elle pond à la chaîne. Un jour elle reçoit une carte postale de sa cousine qui vit dans une ferme. Paola décide de s’évader et de la rejoindre. Son aventure vers une vie nouvelle commence. Prends soin de la forêt, Pikkuli ! (Finlande – 2015 – 5mn)Par une belle journée, au fond des bois, de petits animaux décident d’organiser une fête et de jouer de la musique. Mais la forêt est pleine de déchets et d’objets dangereux, un tout petit oiseau,…