La pseudo-fiscalité verte de Michel Barnier
En proposant une forte hausse de la taxation de l’électricité, pourtant très peu émettrice de CO2, la fiscalité énergétique du gouvernement Barnier vise le rendement, pas l’environnement.
En proposant une forte hausse de la taxation de l’électricité, pourtant très peu émettrice de CO2, la fiscalité énergétique du gouvernement Barnier vise le rendement, pas l’environnement.
Le débat sur le budget 2025 est marqué par la revanche des impôts. Après sept années de macronisme antifiscal, on peut enfin débattre de la juste contribution des très riches et des entreprises au redressement des comptes publics français et c’est tant mieux.
Le scénario envisagé par le gouvernement dans son projet de loi de finances est jugé trop optimiste par les économistes. L’austérité risque de peser sur l’activité et de faire rater la cible de 5 % de déficit en 2025.
Quand Volkswagen prend froid, c’est toute l’Allemagne qui s’enrhume. Le géant allemand de l’automobile, qui pèse d’un poids considérable dans l’économie du pays, traverse en effet une crise sans précédent : financière, mais également industrielle, sociale et de gouvernance.
Minimaliste et audacieuse, la microcitadine a rencontré un succès inattendu, notamment auprès des adolescents de familles aisées. Mais ses limites n’en font pas encore le chaînon manquant de la voiture électrique bon marché.
L’économiste Lucas Chancel, qui a contribué à l’élaboration du « contre-budget » du NFP, explique en quoi une importante hausse des impôts sur les ultra-riches est à la fois possible et souhaitable.
Les rebondissements politiques consécutifs à la décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale, qui se prolongent encore concernant le destin du gouvernement de Michel Barnier, ont longtemps détourné l’attention d’une question centrale : comment est-on arrivé à une telle impas
Le ministre des comptes public Gabriel Attal dévoile son nouveau “plan”, contre la fraude sociale. Il a été dévoilé lundi 29 mai dernier, dans un entretien accordé au Parisien, et cette fois-ci, il ne se suspend pas à l’avis du Conseil d’Etat. S’il dit ne vouloir “stigmatiser personne,” il a quand même annoncé un renforcement des conditions de résidence en France pour pouvoir bénéficier d’allocations sociales. Il veut aussi fusionner la carte d’identité et la carte vitale et enfin aller chercher les retraités qui toucheraient leurs pensions tout en résidant hors de France. Il ne stigmatise personne, on le rappelle… L’annonce de ces mesures arrivent trois semaines après celles sur la fraude fiscale. Veut-il mettre les deux phénomènes dos à dos ? Considère-t-il la fraude sociale et la fraude fiscale comme deux problèmes de même importance ? Alors que la fraude fiscale coûte 10 fois plus à l’Etat que la fraude sociale ? C’est ce qu’essaye de décrypter notre journaliste Irving Magi dans son édito. Source
L’entretien express Dans L’entretien express, Le Média reçoit un.e invité.e qui viendra nous apporter son éclairage sur l’actualité la plus chaude, la contestation sociale la plus brûlante, ou encore la dernière crise internationale. En dix minutes maximum, nous ferons le tour d’une question. Source
ÉTUDIANTS – Peut mieux faire. Les dispositifs de soutien de l’État aux étudiants pendant la crise sanitaire ont été “tardifs” et “décevants”, estime ce mercredi 16 février dans son rapport annuel la Cour des comptes, appelant à l’avenir à “mieux cerner et quantifier les besoins de la vie étudiante”. La pandémie de Covid-19 “a profondément bouleversé le quotidien des étudiants”, et l’État a “déployé de nombreuses mesures pour permettre aux étudiants de faire face à la crise”, souligne la Cour des comptes dans ce rapport. “Cependant, la plupart ne sont montées en puissance que fin 2020. Leur ciblage a par ailleurs souffert d’insuffisances qui en ont amoindri l’efficacité, comme en atteste l’exemple emblématique du repas à un euro”, ajoute-t-elle. Des dispositifs trop longtemps “circonscrits” En effet, notent les Sages, les dispositifs “sont restés trop longtemps circonscrits”, avant qu’ils ne se développent à partir de la fin 2020 avec “le versement automatique d’une aide exceptionnelle de 150 euros à l’ensemble des boursiers sur critères sociaux (BCS) en décembre 2020 puis, début 2021, l’élargissement du bénéfice du repas à un euro aux étudiants non boursiers et la mise en place du dispositif Santé Psy Étudiant”. Mais “cet élargissement paraît tardif et se situe en retrait par rapport à d’autres aides sociales d’urgence décidées par l’État pour des jeunes non étudiants en situation de précarité”, poursuivent-ils. Pour la Cour des comptes, “sans connaissance fine des besoins des étudiants en période critique, des structures d’administration de la vie étudiante trop nombreuses ont dû apprendre à collaborer en temps de crise, réagir au gré des informations et de l’incertitude, faire face aux lacunes de la communication en direction des étudiants”. “Le résultat est, dans l’ensemble, décevant; il n’est pas à la mesure des enjeux”, conclut-elle. Le succès du Plan jeunes ”à relativiser” Aussi, le plan…
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