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L'ère du Far West sans loi de l'IA et de la technologie touche à sa fin, car les autorités de protection des données utilisent la législation nouvelle et existante pour se montrer plus sévères.
Elle a la voix douce et des yeux d’enfant. Quand Noémie raconte son histoire, on croirait presque à un conte de fée. Celui d’une jeune fille passionnée qui part (de très loin) à l’aventure pour devenir la meilleure joueuse du monde. Un rêve devenu réalité au prix de beaucoup de travail, de rencontres opportunes et d’une pincée de chance. Mais la réalité est bien souvent plus douloureuse et chaotique. À 16 ans, lorsque Noémie quitte l’école pour se consacrer à Fortnite, elle se retrouve sans travail et sans argent. Pendant deux ans, elle vit en marge de la société et trouve refuge dans divers clubs plus ou moins recommandables dans le sud de la France. Un toit, un ordinateur et une bonne connexion lui suffisant pour s’estimer heureuse. Avec son visage enfantin, des pommettes rouges, cheveux roux, frisés et ses grands yeux riants et scrutateurs, on a du mal à imaginer comment les choses ont pu se passer pendant ces deux années d’errance. Derrière ses manières plutôt assurées et son rire chaleureux, on peut percevoir quelques maladresses et une grande pudeur vis-à-vis de son passé. Plutôt que ses douleurs anciennes, elle préfère parler de ses récents exploits. « À l’époque, comme mon rêve c’était d’être joueuse pro, j’ai tout lâché pour faire ça. » – Noémie Au sein de la mission locale d’Aix en Provence où elle travaille désormais, Noémie « Massilia » Féraud est une véritable star. On l’acclame, l’encourage et l’affuble d’autant de superlatifs qui montre l’attachement de ce petit groupe à la jeune femme. Même si elle n’est pas vraiment la meilleure joueuse du monde et encore moins championne du monde de Fortnite, celle qu’on surnomme « Massi » n’a pas à rougir de son palmarès. À 19 ans, elle vient de remporter le prestigieux titre de meilleure joueuse d’un tournoi…
Cet article fait partie d’une série VICE France « Esport : l’envers du décor ». Avec la professionnalisation de ce secteur, l’esport est devenu depuis quelques années le théâtre de débats complexes. On a rencontré des retraités, des jeunes prodiges, des syndicalistes et même des “theorycrafters” pour raconter ce qu’il se passe dans les coulisses de ce monde entre compétition et divertissement. Tous les articles sont à retrouver ici. Demain, se contenter de son propre talent ne suffira plus à devenir le meilleur joueur du monde. Alors que croît inexorablement le niveau global des compétitions esportives tous jeux confondus, des joueurs professionnels et des équipes cherchent à prendre les devants et à repousser toujours plus loin les standards de qualité des ligues et des tournois. Pour cela, ils embauchent des professionnels de l’analyse mathématique, ces mêmes profils qu’on voit proliférer dans le monde de la finance, et les font travailler sur l’optimisation du gameplay à très haut niveau. Pour effleurer du doigt la perfection, toutes les options qui s’offrent aux joueurs pendant une partie doivent être prospectées, théorisées, calculées à la décimale, vérifiées. Theorycraftées, comme disent les professionnels du milieu. Ce métier, c’est celui du Français Jean-Pierre « Toucan Celeste » Giaccone, lead analyst sur League of Legends pour l’équipe russe Unicorns of Love. Et celui de Misha « At0m » Atomanov qui officie sur Fortnite pour divers joueurs professionnels dont des vainqueurs de tournois officiels comme « Stormyrite » et « Merstach ». Ils ont accepté de sortir le nez de leurs calculs savants pour raconter à VICE leurs vies dans l’ombre des joueurs pro. VICE : Salut « At0m », salut « Toucan Celeste ». Vous êtes tous les deux analystes esportifs, l’un sur Fortnite, l’autre sur League of Legends. En quoi consistent vos métiers ?At0m: Ma tâche principale est de comprendre la meta lors de chaque saison, de…
SOPA Images via Getty ImagesFortnite est de nouveau disponible sur les iPhone, grâce aux comptes Microsoft, qui permettent de contourner l’Apple Store. JEUX VIDÉO – Les utilisateurs d’iPhone et amateurs du jeu phénomène Fortnite vont de nouveau pouvoir y jouer sur leur smartphone, via le service de jeu vidéo à distance de Microsoft, Xbox Cloud Gaming. Ce jeu devenu un univers ultra populaire n’était plus disponible sur les appareils de la marque à la pomme depuis août 2020, quand Apple était entré en conflit juridique avec Epic Games, la maison mère de Fortnite. Mais les amateurs peuvent désormais retrouver le jeu de tir et survie directement sur un navigateur internet mobile, sans le télécharger sur l’App Store. Dans les 26 pays où il est possible de jouer via le cloud (en streaming, à distance), “vous avez juste besoin d’un compte Microsoft”, explique un communiqué du groupe informatique, et d’un smartphone ou d’une tablette sous iOS (Apple) ou Android (Google), ou encore d’un ordinateur avec Windows (le système d’exploitation de Microsoft). C’est le premier jeu “gratuit” (mais avec des options payantes) que Microsoft ajoute à sa plateforme Xbox Cloud Gaming, mais d’autres devraient suivre. “Enorme nouvelle!” s’est exclamé Tim Sweeney, le patron d’Epic Games, ce jeudi 5 mai sur Twitter. “Fortnite est désormais disponible GRATUITEMENT en streaming sur les navigateurs sur les iPhone, iPad et Android via Xbox Cloud. Pas d’abonnement nécessaire, ni de taxe Apple à 30%”. Monumental news everyone! Fortnite is now available to play FOR FREE streaming to web browsers on iPhone, iPad, and Android via Xbox Cloud. No subscription required, no 30% Apple tax.https://t.co/eHs1Xvh6D2 — Tim Sweeney (@TimSweeneyEpic) May 5, 2022 Un conflit juridique entre Epic Games et Apple Apple avait retiré Fortnite de l’App Store quand Epic a cherché à contourner ses règles et son système de paiement,…
Qu’il s’agisse de la réplique virtuelle cheloue de Mark Zuckerberg lors du dévoilement de son nouveau Facebook-alias-Meta (non, on ne s’habituera jamais à ce nom), de concerts dans l’univers immersif de Fortnite ou d’une galerie d’art numérique dans Decentraland, il est impossible d’échapper à ce concept qui inonde Internet : le « Metaverse » – métavers en bon français. Publicité En quoi consiste ce métavers ? S’agit-il d’un univers virtuel aux possibilités infinies dans lequel on peut s’évader ? Serait-ce le futur dystopique d’Internet, basé sur la science-fiction spéculative ? Ou s’agit-il simplement d’une façon fantaisiste de catégoriser la réalité étendue (XR), ce terme générique englobant les technologies de réalité augmentée, virtuelle et mixte ? Évoquer le métavers aujourd’hui, c’est un peu comme parler d’Internet dans les années 1970 et 80. Alors que les éléments constitutifs de cette nouvelle forme de communication sont en place, on se demande bien à quoi elle va ressembler et comment les gens vont l’utiliser. Si tout le monde parlait d’Internet à l’époque, peu savaient vraiment ce que ça signifiait ou comment ça fonctionnait. Rétrospectivement, on peut voir que les choses ne se sont pas exactement passées comme certains l’avaient imaginé. Mais bref, alors que le métavers est censé devenir un marché de 800 milliards de dollars d’ici 2024 et que des géants de la technologie comme Facebook, er, Meta, Microsoft, Apple et Google investissent des sommes considérables pour en faire une réalité, il est plus que temps de découvrir la signification qui se cache derrière ce terme obscur. Pour ce faire, nous avons fait appel à un groupe d’experts. Leur mission ? Expliquer une bonne fois pour toutes à celles et ceux qui n’ont toujours pas pigé le concept (soit la plupart d’entre nous), ce qu’est finalement ce putain de métavers. Publicité C’est quoi le métavers exactement ? Bien que le…
REUTERS / Dado Ruvic / IllustrationLa guerre juridique entre Fortnite et Apple est encore loin d’être réglée (image d’illustration). TECHNO – Une juge américaine a rendu ce vendredi 10 septembre une décision majeure dans la bataille qui oppose Apple à Epic Games, l’éditeur du jeu vidéo Fortnite, déterminé à forcer le géant des technologies à faciliter la concurrence sur son App Store (magasins d’applications), au cœur d’une économie de centaines de milliards de dollars. Mais cette décision ne donne pas de clair vainqueur entre Apple, forcé de faire des concessions mais blanchi des accusations de monopoles, et Epic, largement salué comme victorieux mais insatisfait au point de faire appel. Le modèle économique de l’App Store Mis en fonction en 2008, le magasin d’applications mobiles -rapidement imité par les technologies concurrentes- a donné naissance à toute une économie de services accessibles sur son smartphone. Les éditeurs tiers soumettent leurs applications, et si elles sont validées, les utilisateurs d’iPhone ou d’iPad peuvent les télécharger, uniquement via cette plateforme. “Apple a aidé à construire une économie qui rapporte plus de 500 milliards de dollars par an, et ne reçoit qu’une lichette de ce montant pour toute l’innovation qu’elle a facilité et les coûts d’opération”, a affirmé le patron Tim Cook au New York Times début avril, qualifiant l’App Store de “miracle économique”. La firme de Cupertino prélève une commission de 30% sur les ventes d’applications dans l’App Store et sur les achats de biens et services numériques au sein de ces applis. Certains développeurs bénéficient d’un taux réduit de 15% (nouveaux venus, revenus annuels inférieurs à 1 million de dollars, etc…). D’autres sociétés, comme Spotify et Netflix, évitent la commission en n’offrant pas la possibilité de souscrire à leurs services depuis l’appli, et en laissant les consommateurs comprendre d’eux-mêmes qu’ils doivent se rendre sur…
C’est dans le stade Pudong de Shanghaï que s’est déroulée ce 31 octobre dernier la finale du championnat du monde de League of Legends, l’un des jeux les plus importants de la scène esport. Les joueurs de Damwon, favoris de la compétition, ont finalement soulevé la « Summoner’s Cup » après un match intense. Le prestigieux trophée était transporté dans une malle créée par Louis Vuitton pour l’occasion. L’an dernier déjà, la marque de luxe avait conçu en partenariat avec Riot Games un écrin de voyage (un sac pour montres de luxe N.D.L.R) pour abriter le Graal des esportifs. Il semble que l’esport soit maintenant assez branché pour intéresser les marques de luxe. L’intérêt du luxe pour l’esport a d’abord commencé avec le gaming. En avril 2019, le créateur de Moschino, Jérémy Scott, avait annoncé une collaboration avec le jeu Les Sims et un an plus tard, un Pikachu géant déambulait sur le podium de la fashion week de Londres. Puis en janvier 2020, le directeur artistique des collections femme de Louis Vuitton, Nicolas Ghesquière, avait imaginé les tenues de deux personnages de League of Legends. Enfin, la marque de luxe italienne Gucci avait annoncé fin juin sa « montre Fnatic », nom de l’une des équipes les plus connues dans le monde en esport. Mais alors que s’est-il passé pour que l’esport passe du truc ok qu’on regarde grandir de loin à égérie de marques de luxe ? Que ceux qui ont toujours en tête le cliché de l’ado boutonneux qui joue aux jeux vidéo et n’attire en sponsor que des marques de cartes graphiques se trompent. Depuis quelques années, l’esport connaît un essor mérité, faisant passer le cliché du geek habituellement dépeint dans les médias à un sportif de haut niveau. Ce qu’il est. Et ce depuis 2017, lorsque l’équipe danoise…
TIKTOK – Copie conforme. Depuis le confinement, TikTok rencontre un véritable succès et pas seulement auprès des adolescents. Si les danses sont encore la thématique de prédilection de la plateforme, d’autres contenus sont de plus en plus partagés. Depuis le début de l’année, Ana Coto s’est fait connaître sur le réseau social grâce à ses mouvements endiablés sur des patins à roulettes. Elle réunit à ce jour près de deux millions d’abonnés. Et ce succès ne passe pas inaperçu. Au début du mois d’août, un nouvel emote, des danses vendues sur Fortnite pour les différents personnages, a fuité, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus. Il s’agit en réalité de mouvements réalisés par Ana Coto dans un TikTok qui a été viral au moment du confinement. La vidéo compte plus de 15 millions de vues. “Flattée mais pas créditée?”, a ainsi interpelé la jeune femme sur Instagram. Comme il s’agit d’une simple fuite, Ana Coto espère être approchée par Epic Games pour que son pseudo figure sur cet emote intitulé “Freewheelin”. Son courrier est pour le moment resté lettre morte. Epic Games a déjà obtenu gain de cause Ce n’est pas la première fois qu’Epic Games reproduit des danses devenues popularisées par des stars. On trouve en effet dans Fortnite des danses popularisées par Snoop Dog, Will Smith ou des personnages de films. Et le cas de pas chipés sur les réseaux sociaux n’est pas non plus inédit. En juillet dernier, l’emote intitulé “Renegate”, qui reprend la danse imaginée par Jalaiah Harmon sur TikTok a été commercialisée sur le jeu. Mais sa créatrice a été créditée. En avril dernier, le créateur de la chorégraphie de “Phone it in”, le saxophoniste new-yorkais Leo Pellegrino, a amené l’affaire devant le tribunal de Pennsylvanie. Epic Games venait alors de dévoiler un…
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