“Romance familiale : John Singer Sargent et les Wertheimers,” Critique
Asher Wertheimer était un tycoon juif qui a demandé à John Singer Sargent de le peindre. Les résultats sont étranges, glissants—et certaines des meilleures œuvres de l’artiste.
Image : The Verge ; Photo de Rebecca Sapp / Getty Images pour l’Académie des Grammy Awards Réinitialiser le roster de membres, diffuser le spectacle en ligne — est-ce suffisant à l’ère de l’IA ? Aujourd’hui, je dialogue avec Harvey Mason Jr. Il est à la tête de l’Académie des Grammy Awards, une organisation à but non lucratif qui coordonne les Grammy Awards — les distinctions les plus reconnues dans le domaine musical — et administre la fondation MusiCares, qui soutient les artistes en difficulté. Harvey est une personne captivante — en tant que musicien et producteur, il a collaboré avec des artistes comme Destiny’s Child, Britney Spears, Michael Jackson, Girls’ Generation, entre autres, et a également produit des bandes-son de films tels que Pitch Perfect et Straight Outta Compton. Harvey a eu un emploi du temps chargé depuis qu’il a pris son poste de PDG de l’Académie des Grammy Awards en janvier 2020 — son prédécesseur ayant été évincé seulement cinq mois après son arrivée en raison de divers scandales. Les Grammy Awards — tout comme les Emmy et les Oscars — ont été confrontés à un examen minutieux des inégalités raciales et de genre dans la répartition des prix. En outre, l’industrie musicale a connu un coup d’arrêt complet pendant la pandémie de covid-19, avec l’annulation des concerts en direct et des remises de prix, rendant MusiCares plus nécessaire que jamais. Harvey a donc été très occupé ces dernières années. Actuellement, le secteur musical est en plein essor, avec quelques-unes des plus grandes tournées de l’histoire et une nouvelle génération d’artistes émergents. Les nominations pour les Grammy Awards de 2025 viennent d’être révélées, et vous pouvez constater que des artistes tels que Chappell Roan et Sabrina Carpenter figurent dans la liste pour l’Album de l’année aux côtés de…
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Pour commémorer les 10 ans de Clique, Tahar Rahim participe à un Clique X exceptionnel, rempli de surprises. L’acteur ayant gagné deux César s’exprime face à Mouloud Achour et les étudiants de l’école Kourtrajmé pour évoquer son rôle emblématique dans “Un prophète”, son interprétation de Charles Aznavour ainsi que sa passion pour Dragon Ball Z.
“Monsieur Aznavour”, un rôle sans pareil
Pour incarner le célèbre chanteur, Tahar Rahim a subi une transformation impressionnante. L’acteur a tout mis en œuvre pour se rapprocher le plus possible de l’apparence physique et de la voix de l’interprète de “La Bohème”. Bien qu’il s’attendait à un défi de taille, il a noué des liens forts avec le personnage qu’il incarne. “Je ne savais pas que j’avais tant de points communs avec Charles Aznavour. C’est très apaisant quand tu te prépares à jouer un tel monstre.”
Ce personnage, Tahar Rahim l’a travaillé durant plusieurs semaines, ayant parfois jusqu’à 8 heures de cours de chant par jour. Il attribue le succès de sa métamorphose à sa pratique quotidienne, y compris son esprit d’analyse, qui est un autre point commun avec son personnage : “avec Charles Aznavour, nous partageons cette même curiosité pour observer les autres.”
L’acteur récompensé par deux César évoque aussi avec tendresse sa mère. En présence de Mouloud Achour, Tahar Rahim établit un parallèle entre les conseils qu’elle lui a donnés et son nouveau film : “Ma mère me répétait sans cesse : un jour, tu deviendras Monsieur. De réaliser ce film, Monsieur Aznavour, aujourd’hui… Je réalise qu’elle avait raison.” Elle est sa première supporteuse, la personne la plus précieuse de sa vie, et l’acteur lui porte un profond respect.
Un acteur à la fois polymorphe et polyglotte
Tout au long de sa carrière déjà bien établie, Tahar Rahim a côtoyé les plus grands noms du cinéma mondial. Mais avant tout cela, tout commence par une rencontre avec un réalisateur encore sans Palme d’Or : “côtoyer Jacques Audiard, c’est une question de chance.” C’est ce cinéaste qui lui offre son premier grand rôle à l’écran dans “Un prophète”. Premier rôle et premier César pour Tahar, qui se retrouve donc propulsé sur le devant de la scène.
Rapidement, des propositions lui parviennent pour travailler à Hollywood. Dès le contact avec son agent américain, celui-ci lui fait comprendre qu’il ne jouera pas le rôle du terroriste habituel. “Je ne souhaitais pas interpréter des rôles stigmatisants, ça ne m’intéresse pas.” En évitant les clichés, il finit par travailler avec Kevin McDonald, Ridley Scott ou même dans un film Marvel, partageant l’affiche avec des stars comme Antonio Banderas, Sydney Sweeney ou Joaquin Phoenix. “Joaquin a une énergie particulière, il concentre tout au même endroit et je suis un peu dans ce même état d’esprit.”
Mais ce n’est pas tout, car pour ses nombreux rôles, Tahar Rahim a joué dans différentes langues : “J’ai dû apprendre le Gaélique Ancien, je me suis initié à l’Arménien, j’ai parlé Anglais, Allemand, Espagnol, Arabe littéral et Libanais.” L’acteur a donc énormément travaillé pour atteindre le niveau où il se trouve aujourd’hui, sans jamais oublier qu’il n’a pas fait ce parcours seul. “J’ai toujours vécu des échanges enrichissants avec d’autres qui m’ont aidé à grandir, d’une manière ou d’une autre.”
L’interview de Tahar Rahim est disponible en replay sur myCANAL.
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