Kamala Harris Future Présidente ?
Le petit nombre de Kamala Harris qui ne sont pas la Vice-Présidente examinent les avantages (donateurs dévoyés) et les dangers (appels téléphoniques menaçants) de leur nom.
Le petit nombre de Kamala Harris qui ne sont pas la Vice-Présidente examinent les avantages (donateurs dévoyés) et les dangers (appels téléphoniques menaçants) de leur nom.
La période de trêve hivernale a débuté le 1er novembre et durera, comme chaque année, jusqu’au 31 mars. La présidente régionale de la CLCV, Simone Bascoul, exhorte les locataires en difficulté à tirer parti de cette pause pour rechercher une assistance.
Chaque année, du 1er novembre au 31 mars, les expulsions de locataires sont interrompues : c’est ce que l’on nomme la trêve hivernale. Simone Bascoul, la présidente régionale de l’association de consommateurs CLCV, souligne qu’il existe des aides pour les locataires et qu’il est essentiel de profiter de ces quelques mois de trêve pour tenter de se relever : “ignorer le problème, c’est la pire des options car, durant ce temps, la dette ne fait que croître.”
La joueuse de basketball a été au cœur de la lutte pour mettre fin à l’amateurisme et améliorer l’équité entre les genres dans la N.C.A.A., et son histoire souligne la façon dont le sport universitaire évolue.
ChatGPT fournit des informations générales sur les élections mais dirige les utilisateurs vers la source officielle CanIVote.org pour des informations spécifiques sur le vote.
Vous avez entendu parler du budget vert ? Son véritable nom est le Rapport sur l’impact environnemental du budget de l’État, présenté chaque année par le gouvernement depuis 2020 lors de la discussion de la loi de finances. Une excellente initiative. Cela permet d’identifier ce qui, dans ces dépenses publiques, est bénéfique pour l’environnement, ce qui l’est moins ou ce qui est neutre. Le véritable enjeu est, au fur et à mesure, d’éliminer le négatif et de favoriser le positif.
Mais il y a beaucoup de communication derrière tout cela.
Dans l’édition 2024 du « Budget vert » publiée le 21 octobre, le gouvernement informe les citoyennes et citoyens que, dans le projet de loi de finances 2025 (PLF 2025), les dépenses de l’État favorables à l’environnement s’élèvent à 42,6 milliards d’euros. Mensonge ! Une méthodologie plus transparente donnerait une estimation plus sincère.
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Par exemple, Bercy semble oublier d’inclure d’importantes dépenses fiscales néfastes pour le climat telles que la réduction de la taxe sur le carburant aérien et le traitement préféré du gazole par rapport à l’essence. Cela représente près de cinq milliards d’euros par an, comme l’a récemment souligné la Cour des comptes.
En outre, le gouvernement affirme que ces dépenses favorables augmentent dans le budget suivant : de 33,6 milliards en 2023 à 42,6 milliards dans le PLF 2025. Mensonge ! Cette hausse est en grande partie due à la baisse des prix de l’électricité sur les marchés de gros, ce qui augmente mécaniquement les coûts de soutien aux installations solaires et éoliennes existantes dans le cadre de contrats anciens, diminuant ainsi réellement l’effort supplémentaire.
Il est aisé de proclamer que les dépenses vertes augmentent. Cela masque les coupes bien réelles dans l’aide à la rénovation des logements, l’accès à la voiture électrique pour les ménages modestes et les investissements des collectivités.
Le souci principal du budget vert est que cet exercice ne permet pas de déterminer si la dépense publique est en phase avec les objectifs environnementaux de la France, alors que l’atteinte du « zéro émissions nettes » exigerait une augmentation des investissements publics et privés de 100 milliards d’euros par an d’ici 2030, soit un doublement par rapport à l’effort actuel, comme nous l’expliquons ici.
Cette absence de clarté est dénoncée depuis longtemps par les défenseurs du climat. Elle a enfin été abordée avec la présentation, pour la première fois cette année, de la Stratégie pluriannuelle des financements de la transition écologique et de la politique énergétique nationale, un document également produit par Bercy annexé au PLF.
Cette SPAFTE – plus facile à dire –, dévoilée le 24 octobre, peut se résumer ainsi : les 100 milliards d’investissements supplémentaires procéderont principalement des acteurs privés, ménages et entreprises, tandis que l’effort de l’État, en dehors d’un soutien aux énergies renouvelables fortement lié aux prix de l’électricité, ne progressera pas. Encore une fois, mensonge !
Pour qu’une telle stratégie soit crédible, elle devrait déterminer et évaluer les contraintes réglementaires et fiscales qui pourraient être raisonnablement mises en place dans un délai défini pour mobiliser à ce niveau l’investissement privé, et en quelles conséquences sociales. Ce qui n’est pas le cas. Si cet exercice était mené correctement, il aboutirait probablement à la conclusion que mobiliser l’effort privé nécessitera à court terme un levier public substantiel.
La question demeure : pourquoi tromper les Français alors qu’on est un chef de gouvernement en fin de carrière et sans perspective politique ? Il n’y aurait finalement pas grand risque à leur communiquer la vérité. Que le gouvernement, face à l’urgence existentielle d’aujourd’hui, adopte l’attitude suivie face à la crise existentielle de 1939 : le mensonge, autrement dit, l’abandon.
Ou dire, à l’inverse, comme Jean Monnet, responsable des affaires d’intendance durant la guerre et qui n’était pas particulièrement partisan de gauche, que l’urgence existentielle et les ressources à mobiliser pour y faire face sont telles qu’il n’existe pas d’autre option que de briser les carcans idéologiques et les égoïsmes.
Dans le court métrage documentaire d’Ömer Sami, le souhait d’un homme d’être cryogéniquement congelé après sa mort soulève des questions pour sa femme et ses enfants.
En 2020, la chanson « How to Medical » de Sarah Cooper, qui interprétait en playback les remèdes proposés par Donald Trump contre le Covid-19, est devenue virale sur les réseaux sociaux. La dernière tendance de TikTok donne à ce sketch une nouvelle tournure.
Avoir 30 ans est terrifiant. Je le sais parce que les miens arrivent cette année. Rien que de l’écrire, ça me fait froid dans le dos. Si je participais à The Voice, je serais directement catégorisée comme « chanteuse qui a de l’expérience », minaudant des ballades au piano dans une robe en satin recouvrant mes chevilles. Le simple fait d’évoquer The Voice me fait sentir hyper vieille, un peu comme quand nos parents tapent « Tick Tock » dans la barre de recherche Google. L’autre jour, j’imaginais me promener dans les années 90 — les vraies années 90 — avant que l’internet à haut débit n’existe. Putain, mais qui fait ça ? Publicité Bref, avant d’avoir 30 ans, vous avez normalement emmagasiné plein d’expérience et appris pas mal de trucs. Et si vous travaillez dans les médias, vous en ferez une liste. C’est la règle. On ne peut pas imaginer passer de l’autre côté sans lister des conseils qui parlent de crème solaire et de gueule de bois. Conséquemment, je vous présente la liste du « cap des 30 » de VICE. Sans me vanter, sachez que j’ai fait pas mal de recherches : j’ai interrogé mes connaissances et fait des sondages en ligne auprès de divers inconnus. Ce qui suit est donc le fruit d’une accumulation des sagesses multiples et la seule liste dont vous aurez besoin pour passer sereinement ce fameux cap des 30 ans. 1) Prenez soin de votre peau Revoyez-vous à 27 ans, en train de vous enduire de gommage Yves Rocher sous la douche avant de vous tartiner le visage de crème hydratante Clearasil. Vous pourriez tout aussi bien vous plonger la tête dans une bassine de liquide vaisselle tous les matins. C’est dire à quel point vous prenez soin de votre peau. Ayant souffert d’acné pendant la majeure partie de…
Lia, sa petite sœur et sa mère. Toutes les photos sont de Lia. Avant d’arriver sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, je vivais à Paris avec ma famille. On venait de se faire cambrioler, c’était l’occasion d’un nouveau départ. Avec ma sœur, qui a deux ans de moins que moi, quand on a appris qu’on allait déménager là-bas avec notre mère, notre beau-père et notre toute petite sœur, on se voyait déjà faire du baby-sitting pour tous les enfants de la ZAD. Les parents nous ont dit « on va vivre à cet endroit, vous allez pouvoir construire vos propres espaces ». On était contentes d’y aller, moi j’avais l’image d’une communauté qui était en train de naître. On est resté là-bas de mes 11 ans à mes 15 ans. Publicité Au début, on vivait et dormait tous les cinq dans un petit camion, prêté par des amis. Moi, j’allais au collège à Blain, à une dizaine de kilomètres de la ZAD, puis je suis allée à Héric, plus près. Ensuite, on eu une caravane à nous, mais on était encore à l’étroit. On était installés dans un champ où plusieurs autres personnes logeaient. Plus tard, on a eu un poids lourd avec la caravane, c’était un peu plus grand et il y faisait moins froid. La caravane est devenue notre espace pour mes sœurs et moi, on y dormait à 3 dans le même lit. Il s’est avéré qu’il n’y avait pas tant d’enfants que ça sur la ZAD, mais je m’en fichais, j’avais ma sœur avec moi, je n’étais pas seule. Elle et moi, on faisait des jeux dans la forêt, c’est génial d’avoir eu cette forêt à côté de nous. Au collège, j’avais honte. J’entendais des trucs comme « les zadistes c’est des crasseux », je n’invitais personne chez moi, je ne…
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