Le premier jeu vidéo entièrement généré par l’IA est incroyablement étrange et amusant
L’IA générative pourrait transformer la conception des jeux vidéo, mais le premier titre jouable est tout simplement bizarre et fascinant.
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Lorsque l’on aborde le sujet des chatbots IA, ou de l’intelligence artificielle en général, deux noms reviennent fréquemment : ChatGPT et Claude AI. Cependant, ces deux assistants ne sont que le résultat de deux entreprises majeures de l’intelligence artificielle : OpenAI et Anthropic, qui sont aujourd’hui des leaders dans le développement de modèles de langage et de chatbots de plus en plus avancés.
Mais quelles sont les distinctions entre ces deux entreprises ? Qui détient l’avantage en matière de performance, de sécurité et de perspective d’avenir ?
Alors que nous avons déjà mis en parallèle ChatGPT avec Gemini de Google et Copilot de Microsoft, nous allons aujourd’hui examiner un duel entre OpenAI et Anthropic.
OpenAI a été établi en 2015 et depuis, la startup est rapidement devenue l’une des sociétés les plus influentes dans le secteur de l’intelligence artificielle.
Son modèle de langage phare, GPT (Generative Pre-trained Transformer), est reconnu pour sa capacité à produire un texte pertinent et engageant en réponse à diverses requêtes.
En 2020, OpenAI a introduit GPT-3, suivi récemment de GPT-4, ayant des capacités impressionnantes pour répondre aux besoins des utilisateurs en matière de compréhension, de rédaction et d’interaction conversationnelle.
Anthropic, pour sa part, a été fou ddée par d’anciens membres d’OpenAI et a donc été créée avec l’intention d’explorer des pratiques de développement de l’IA sécuritaires et éthiques.
Claude, son modèle phare, nommé d’après le mathématicien Claude Shannon, se caractérise par sa focalisation sur la sécurité, la transparence et la réduction des biais.
Actuellement, Anthropic a mis au point Claude 3.5 Sonnet et plus récemment Haiku, dans l’optique d’une IA qui est à la fois efficace et consciente des impacts potentiels de ses interactions.
La lutte entre OpenAI et Anthropic est loin de s’arrêter. L’entreprise dirigée par Sam Altman est à présent en train de lancer des agents IA autonomes.
Quant à Anthropic, elle semble se concentrer davantage sur la pertinence des réponses de son chatbot IA.
En parlant de chatbot, examinons les caractéristiques spécifiques à chaque assistant conversationnel d’OpenAI et d’Anthropic.
ChatGPT est un outil polyvalent et adaptable développé par OpenAI et lancé il y a près de deux ans.
Le chatbot s’appuie aujourd’hui sur l’architecture GPT-4o pour fournir une expérience conversationnelle améliorée.
Ses principaux atouts se manifestent sous plusieurs formes :
Pour sa part, Claude AI met l’accent sur l’éthique et la fiabilité en privilégiant une approche responsable de l’intelligence artificielle.
Son développement se base donc sur des principes essentiels :
À ce stade, il apparaît clairement qu’OpenAI et Anthropic ont chacune opté pour des stratégies distinctes afin de se démarquer.
Cependant, à ce jour, ChatGPT semble mener la danse grâce à sa notoriété. Ce qui nous amène à un autre aspect crucial de cette comparaison entre OpenAI et Anthropic : la confrontation entre les performances de ChatGPT et de Claude AI.
Même sans avoir de connaissances en machine learning, il est évident que les assistants conversationnels d’OpenAI et d’Anthropic se distinguent par des approches uniques en matière de génération de contenu.
ChatGPT demeure proéminent par sa tendance à fournir des réponses détaillées et substantielles, ce qui en fait un chatbot AI particulièrement prisé dans des contextes nécessitant des explications complexes ou des idées créatives, surtout avec l’intégration de ChatGPT Search que vous pouvez activer en suivant ce guide.
À l’inverse, Claude AI choisit une approche plus ciblée. Elle privilégie réellement la concision et la prudence dans ses réponses, ce qui le rend bien adapté à des contextes délicats.
La gestion de conversations plus longues met également en lumière d’importantes différences entre les deux assistants.
Grâce à ses récentes améliorations et ses outils d’extension, dont ceux pour Google Chrome, ChatGPT excelle dans le maintien du contexte au cours de dialogues prolongés.
De son côté, Claude AI, tout en maintenant un suivi contextuel efficace, tend à présenter des réponses plus succinctes, conformément, comme toujours, à sa philosophie de sécurité.
En ce qui concerne l’intégration technique, les deux plateformes offrent des solutions API solides pour leur intégration dans des applications tierces.
L’API de ChatGPT, largement utilisée, propose une flexibilité supérieure, permettant aux entreprises de déployer facilement des solutions d’IA à une échelle conséquente.
L’API de Claude, pour sa part, attire spécifiquement les organisations soucieuses de la protection des données, étant plus axée sur la sécurité.
Concernant la compréhension des intentions utilisateurs, chaque assistant met en avant ses forces spécifiques.
ChatGPT excelle dans l’interprétation de directives complexes et s’adapte efficacement aux situations nécessitant une approche créative.
De son côté, Claude AI est souvent préféré dans les contextes professionnels où la précision et l’objectivité sont cruciales, avec une attention particulière pour éviter les biais et les contenus sensibles.
Based on their revenue streams, @AnthropicAI emerges as an infrastructure player, while @OpenAI operates more like a consumer-facing company.
Going to be interesting to see where each company is a few years from now. pic.twitter.com/EPzqgCqZlg
— Kenneth Auchenberg 🛠 (@auchenberg) October 21, 2024
OpenAI et Anthropic, via ChatGPT et Claude d’Anthropic, proposent chacun des formules qui répondent aux besoins de leurs clients respectifs, qu’ils soient particuliers ou professionnels.
OpenAI met à disposition plusieurs versions de son modèle GPT, comme GPT-3.5 et GPT-4. Toutefois, ces modèles sont accessibles à travers des abonnements mensuels.
Par exemple, pour ChatGPT, le tarif est de 20 $/mois pour le modèle GPT-4 dans la version Plus. Sinon, il est possible de choisir une facturation à l’utilisation via l’API.
À noter que le coût de l’API OpenAI pour GPT-4 Turbo est de 0,03 $ pour mille tokens en entrée et 0,06 $ pour mille tokens en sortie, ce qui, à mon sens, fait de ce tarif une option pour des utilisations intensives.
De son côté, Anthropic propose plusieurs options pour Claude, telles que Claude Instant, la plus abordable, ainsi que Claude 3.5 Sonnet, la plus avancée.
Notez que chaque version est proposée à des coûts variés selon ses capacités et ses usages.
Par exemple, Claude Instant est moins onéreux, à 1,63 $ par million de tokens, mais il est principalement destiné aux tâches simples.
À l’inverse, Claude 3.5, qui s’avère efficace pour des tâches plus complexes comme la génération de code et l’analyse de données, peut coûter jusqu’à 11 $ par million de tokens, selon les versions et options sélectionnées.
Pour les entreprises ayant besoin de traiter d’importants volumes de données, Claude pourrait s’avérer plus intéressant grâce à sa capacité à gérer davantage de contexte (jusqu’à 200K tokens), dépassant ainsi ChatGPT, qui atteint un maximum de 128K tokens avec GPT-4 Turbo.
La rivalité entre OpenAI et Anthropic illustre deux visions distinctes de l’intelligence artificielle conversationnelle.
D’un côté, OpenAI, avec ChatGPT, se concentre sur la polyvalence, la créativité et une large adoption grâce à des fonctionnalités diversifiées.
De l’autre, Anthropic, avec Claude AI favorise l’éthique, la sécurité et la justesse de ses réactions.
Bien que ChatGPT domine actuellement en termes de popularité, Claude se distingue néanmoins par sa capacité de traitement et son approche éthique de l’IA.
En ce qui concerne la tarification, les deux entreprises mettent en avant différents modèles : ChatGPT opte pour un abonnement mensuel fixe, tandis qu’Anthropic privilégie une facturation variable basée sur l’utilisation, allant de 1,63 à 11 $ par million de tokens selon les options disponibles.
Pour conclure, le choix entre OpenAI et Anthropic dépend généralement de vos priorités personnelles. Ainsi, réfléchissez à cette question : préférez-vous la polyvalence innovante de ChatGPT ou l’approche éthique et sécurisée de Claude ?
N’hésitez pas à expérimenter les deux plateformes gratuitement dès aujourd’hui pour découvrir laquelle répond le mieux à vos attentes.
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Le nouveau Mac Mini d’Apple ressemble à quelqu’un qui a frappé le Mac Studio avec un rayonnement de réduction, et j’adore ça. Mais il y a au moins un, euh, problème sensible : vous devez l’atteindre en dessous pour l’allumer. Si cela vous dérange (et que vous n’aimez pas le retourner pour qu’il ressemble à un petit chapeau), vous pouvez automatiser son démarrage et son arrêt en créant un horaire d’alimentation. Je vais vous dire comment. Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles vous pourriez vouloir faire cela. Je l’ai fait sur mon MacBook Air parce que je ne l’utilise pas très souvent, et j’en ai eu assez d’ouvrir son couvercle seulement pour trouver un ordinateur portable à l’arrêt. Quelqu’un d’autre pourrait vouloir que son ordinateur se réveille au milieu de la nuit pour effectuer des sauvegardes programmées. D’autres pourraient avoir besoin d’éteindre leur Mac pour des raisons professionnelles. Il était une fois, vous pouviez créer un tel horaire en utilisant un menu de paramètres facile dans Préférences Système. Malheureusement, cette fonctionnalité particulière n’a pas fait le saut vers macOS Ventura lorsque Apple a remplacé Préférences Système par l’application Paramètres système semblable à iOS. La bonne nouvelle est qu’ même après qu’Apple ait supprimé ses paramètres d’horaire d’alimentation faciles à utiliser, vous pouvez toujours créer les automatisations qu’elle permettait. La mauvaise nouvelle est que vous devez utiliser l’outil de ligne de commande d’Apple, Terminal, pour le faire. C’est une tâche décourageante si vous n’avez jamais joué avec des interfaces de ligne de commande, et les instructions d’assistance d’Apple pour configurer l’horaire d’alimentation de cette manière ne sont pas très utiles. Mais ne vous inquiétez pas. Je vais vous décrire comment faire ci-dessous. Mais d’abord, quelques notes. a:hover]:shadow-highlight-franklin dark:[&>a:hover]:shadow-highlight-franklin [&>a]:shadow-underline-black dark:[&>a]:shadow-underline-white”>Comment configurer un horaire d’alimentation macOS a:hover]:text-gray-63 [&>a:hover]:shadow-underline-black dark:[&>a:hover]:text-gray-bd dark:[&>a:hover]:shadow-underline-gray [&>a]:shadow-underline-gray-63…
Alexa n’a pas bénéficié d’un lancement spectaculaire rempli de grandes annonces sur l’avenir. Au contraire, semblable à un chargeur de téléphone à nom fictif ou à une imitation de votre fard à joue préféré, elle est tout simplement apparue sur Amazon un jour. Il y a dix ans, lors de la semaine du 6 novembre 2014, Amazon a dévoilé l’Echo, marquant le début de l’ère des assistants vocaux. Cet appareil a rapidement engendré des dizaines d’autres, tant d’Amazon que d’entreprises rivales. Il est devenu le symbole d’une manière d’interagir avec la technologie centrée sur la voix, une révolution dans “l’informatique omnipresente” que beaucoup, y compris Amazon, croyaient transformer nos habitudes. Aujourd’hui, des appareils Alexa habitent des millions de foyers, à l’écoute et répondant tout au long de la journée. Dans cet épisode de The Vergecast, nous nous penchons sur la signification réelle de tout cela. The Verge’s Jennifer Pattison Tuohy se joint à nous pour discuter des raisons derrière ce lancement inattendu de 2014, de l’explosive croissance de l’écosystème Alexa, et des obstacles qu’Amazon et d’autres ont rencontrés en cherchant à comprendre ce que ces haut-parleurs intelligents pouvaient réellement offrir. D’un certain point de vue, Alexa a réussi, devenant une partie intégrale de nos vies numériques. Pourtant, malgré son succès, Alexa n’a jamais été à la hauteur des grandes aspirations d’Amazon. Ce n’est pas l’ordinateur surpuissant et multi-fonction de Star Trek; ce n’est même pas une meilleure methode pour faire du shopping. Finalement, c’est surtout pour la musique et les minuteries. Alexa a toujours été destinée à la musique et aux minuteries. Néanmoins, un changement significatif se profile à l’horizon pour Alexa. Nous discutons beaucoup de ce que pourrait signifier l’upgrade dite “Remarkable Alexa” pour l’assistant vocal, alors qu’Amazon ajuste sa technologie sous-jacente pour tirer parti de puissants modèles linguistiques…
À Nîmes, les formations en Intelligence Artificielle présentent un univers innovant et captivant pour les professionnels du secteur technologique désireux d’élever leur parcours. Que ce soit pour découvrir l’univers fascinant de l’IA, se familiariser avec des outils avancés tels que ChatGPT, ou exploiter pleinement le potentiel des technologies comme Microsoft 365 Copilot, Nîmes se distingue comme un centre d’innovation et de connaissance. Les divers programmes offerts dans la ville incluent des sessions pratiques et en profondeur, permettant aux participants d’acquérir des compétences tout à fait utilisables dans le monde professionnel.
Les formations à Nîmes fournissent une immersion dans le secteur vivant de l’Intelligence Artificielle. Les cours englobent une vaste gamme de thématiques, passant de l’introduction à l’IA, à l’apprentissage automatique, en incluant les réseaux de neurones et le traitement du langage naturel. Ces programmes permettent aux professionnels d’acquérir des compétences diverses, essentielles dans cet environnement technologique en perpétuelle évolution.
Nîmes met à disposition une lignée variée de formations conçues pour satisfaire les exigences de tous les niveaux de compétence. Parmi les choix, on retrouve des initiations à ChatGPT, des cours pratiques sur l’utilisation des capacités d’intelligence artificielle dans le domaine de la communication, ainsi que des ateliers pratiques sur l’application des outils technologiques tels que Microsoft 365 Copilot.
Nîmes ne se limite pas à la formation des novices ; la ville offre aussi un Master en Informatique, spécialisé en Intelligence Artificielle et Big Data. Ce cursus prestigieux prépare les étudiants à devenir des experts dans les domaines de l’informatique avancée.
Se former en IA à Nîmes, c’est aussi se préparer à des carrières passionnantes et rémunératrices. Le secteur de l’intelligence artificielle ouvre des portes à des métiers très recherchés, tels que ingénieur en intelligence artificielle, dont le rôle est central dans l’innovation technologique. Les participants aux formations peuvent s’attendre non seulement à acquérir des compétences prisées mais également à devenir des acteurs majeurs dans la transformation numérique actuelle.
En sus des formations théoriques, Nîmes propose des ateliers multimédia animés par les EPN, où les participants peuvent approfondir leur compréhension des outils informatiques les plus récents, optimisant ainsi leurs compétences numériques dans un cadre pratique et interactif.
Avec ses formations en Intelligence Artificielle, Nîmes n’est pas seulement une destination d’apprentissage, mais un véritable tremplin pour les innovateurs et les leaders de demain. S’investir dans ces formations, c’est saisir l’opportunité de réinventer sa carrière et de relever les défis technologiques avec une expertise indiscutable.
Alors que la vie civique américaine est de plus en plus façonnée par des algorithmes, la confiance dans le gouvernement a chuté. Y a-t-il un moyen de revenir en arrière ?
Est-ce dans le cadre de la mise en œuvre de l’AI Act, la première législation régissant l’utilisation de l’IA au sein des pays de l’UE ? Rien n’est moins sûr pour l’instant. Ce qui est indiscutable, c’est que le gouvernement va désormais surveiller tout ce qui se passe sur Google. En effet, Matignon, grâce à l’IA, va contrôler et observer de près nos recherches en ligne et nos publications sur les réseaux sociaux. Mais quelle en est la raison ?
Selon nos informations, le programme, dirigé par le SIG ou le Service d’Information du Gouvernement, comprend la surveillance des moteurs de recherche ainsi que celle des réseaux sociaux.
Quoi qu’il arrive, cette décision soulève de nombreuses interrogations, tant sur la vie privée que sur la sécurité publique.
Du côté du gouvernement, par l’intermédiaire du Premier Ministre, on soutient qu’il s’agit d’une initiative permettant d’identifier les préoccupations et les besoins des citoyens.
À mon avis, plutôt que d’utiliser l’IA pour surveiller les recherches de chaque individu, prétendument pour comprendre leurs besoins, pourquoi ne pas simplement organiser un sondage ? Simple comme bonjour !
En fin de compte, je dis cela sans véritable conviction. Ce n’est pas à moi de dire à l’État comment agir.
1,26 million d’euros, c’est la somme dédiée à ce projet de surveillance des comportements des citoyens français via l’intelligence artificielle.
Ce qui représente plus de 5 millions d’euros sur une période de quatre ans, car le gouvernement va émettre un appel d’offres par l’intermédiaire du SIG pour élargir ses capacités et son champ de surveillance numérique.
À titre d’information, nous avons déjà eu un dispositif de surveillance lors de l’observation de notre utilisation des réseaux sociaux.
Mais cette fois, le gouvernement souhaite investir notre vie privée et surveiller tout ce que nous faisons sur le web : recherches sur Google, YouTube, Instagram et TikTok.
De plus, à cette extension de la surveillance, s’ajoute une amélioration des outils d’IA que l’État entend utiliser.
Rien ne pourra échapper aux yeux du gouvernement. Il sera même capable de percevoir l’état émotionnel dans lequel nous faisons nos recherches et partageons nos Reels sur Instagram.
Il pourra même anticiper les éventuels événements et décrire, en détaillant, le contenu des images que nous partageons.
Ne nous mentons pas, nous savons tous, du moins moi, que cette méthode a pour but de mieux analyser l’opinion publique, surtout avec l’élection prochaine devant avoir lieu avant avril 2027.
Pour cela, le gouvernement va détecter les signaux faibles, ceux susceptibles de signaler une tendance émergente, et de les prioriser.
En plus de surveiller nos recherches en ligne et nos activités sur les réseaux sociaux, le nouveau système d’IA que va développer le gouvernement français va également identifier en amont les mouvements sociaux émergents.
C’est le même principe que le cas des Gilets jaunes en 2018 et d’autres manifestations récentes survenues en Martinique et en Nouvelle-Calédonie.
L’objectif, cette fois-ci, est de pouvoir prévoir ce type de mouvement afin d’éviter que la situation ne s’envenime.
Cependant, pour y parvenir, le gouvernement français a lancé un appel d’offres pour découvrir et détecter, grâce à l’IA, les signaux faibles. Notamment les publications qui acquièrent rapidement de la visibilité, ainsi que les cas d’astroturfing, c’est-à-dire des mouvements fabriqués à partir de faux comptes sur les réseaux sociaux.
Bien que l’analyse et la surveillance soient limitées aux informations accessibles au public, excluant spécifiquement les contenus privés sur les réseaux sociaux tels que Facebook et Instagram, des doutes se posent concernant le respect des droits fondamentaux.
L’organisme a considéré qu’une consultation de la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés n’était pas nécessaire. La raison étant que l’analyse de données publiques ne serait pas de son ressort.
Les sociétés choisies fin mars devront respectivement se conformer aux principes du RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données).
L’élargissement du champ de la surveillance numérique et l’intégration d’algorithmes prédictifs soulèvent en effet de nouvelles questions d’ordre éthique.
Quant à la nouvelle mesure de vigilance, elle pourrait provoquer des controverses, surtout dans le contexte politique actuel.
Comme mentionné plus haut, un contexte politique marqué par des élections législatives anticipées possibles et l’approche de l’échéance présidentielle de 2027.
The Diplomat, Heartstopper et Hellbound ne sont que quelques-unes des émissions que vous devez regarder sur Netflix ce mois-ci.
Depuis la course de 2020, l’État est au centre d’un mouvement national pour contester les élections. Maintenant, un groupe de fonctionnaires non élus sème des soupçons sur les résultats de 2024.
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