L'orbe de balayage oculaire de Sam Altman a un nouveau look et sera livré directement à votre porte
Le projet ambitieux de vérification d'identité Worldcoin, désormais appelé World, veut un avenir où les humains sont « vérifiés par orbe ».
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Wolfs, Fancy Dance et The Last of the Sea Women ne sont que quelques-uns des films que vous devriez regarder sur Apple TV+ ce mois-ci.
Leslie est l’invitée de Clique. La chanteuse, principalement connue pour ses tubes “Sobri” ou “Et j’attends”, revient sur le devant de la scène après dix ans d’absence. Elle se confie sur son passé d’adolescente star et son retour dans le monde de la musique. Les nouveaux projets de Leslie Star des années 2000, Leslie n’a pas sorti d’album depuis dix ans. Une période pendant laquelle la chanteuse ne s’est quasiment pas exprimée publiquement. “La chute, ce n’est pas le fait de vendre ou de ne pas vendre des disques, c’est la solitude.” Aujourd’hui, elle fait son retour sur le morceau “Dans les veines”, une collaboration avec Franglish et Kore sur la compilation de ce dernier “Raï’n’B Fever volume 5”. Aujourd’hui, Leslie est bien occupée : elle prévoit de ressortir ses premiers albums sur les plateformes de streaming, promet un nouveau projet en 2025 et une date à l’Olympia. Quand elle évoque son passé, Leslie reste détachée. “Je n’ai jamais réécouté ce que je faisais à l’époque. Je suis toujours portée par l’instant présent et le futur.” Son passage chez “Graine de Star” lui a valu de se distinguer des autres candidats et de sortir son premier album “Je suis et je resterai” à seulement 15 ans. “Le succès m’est tombé dessus et je ne pensais pas une seule seconde que ça allait marcher pour moi.” C’est ce succès précoce qui a poussé la chanteuse à faire, selon ses mots, des “sacrifices”. Notamment sur sa jeunesse sous les projecteurs, qui l’a privée d’une adolescence conventionnelle : “Je n’avais pas vécu la vie, je ne savais pas quelle femme je voulais devenir.” Son enfance en Afrique : vecteur d’influences et de valeurs Leslie a passé une grande partie de son enfance au Gabon puis au Togo. “En Afrique, il y a un côté très uni et tourné vers l’optimisme. Ce soleil-là, je l’ai gardé dans mon cœur.” De cette période, l’artiste conserve un souvenir ému et un attachement fort aux cultures de ces deux pays. C’est également là-bas que Leslie a découvert la musique et sa voix, grâce à son frère qui a énormément contribué à son éducation musicale. “Je ne rêvais pas plus que ça d’être chanteuse, c’était ma passion mais ce n’était pas mon rêve, c’était celui de mon frère.” C’est lui qui, quelques années plus tard, l’encourage à s’inscrire au télé-crochet ”Graine de Star” en 2001. Une adolescence pas comme les autres Dans les années 2000, les jeunes chanteuses devaient remplir certaines cases imposées par l’industrie musicale. C’est le cas de Lorie qui en avait témoigné lors de son passage chez Clique. De son côté, Leslie réfute tout comportement négatif envers elle : “J’ai la chance d’avoir eu des équipes très bienveillantes. La seule chose qu’ils me demandaient c’était de sourire même si quand tu es adolescente, la dernière chose que tu as envie de faire, c’est de sourire !” Leslie s’exprime également sur les projets qu’elle a refusé dans sa carrière. Elle remercie surtout ses producteurs de l’époque qui lui ont laissé une grande liberté. “Refuser, c’est un luxe que l’on s’octroie avec les conséquences qui vont avec.” Leslie revient plus en forme que jamais et ce n’est que le début de la nouvelle étape de sa carrière. Affaire à suivre. L’interview de Leslie est disponible en replay sur myCANAL.
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[Le privé à l’assaut du supérieur] Sécurité, rentabilité, aides publiques : l’enseignement supérieur privé se développe dans l’intérêt des fonds d’investissement, pas toujours dans celui des étudiants. Et l’accès de tous aux études est menacé.
Mouloud Achour reçoit l’actrice Catherine Frot dans Clique. Actuellement à l’affiche de la pièce “Lorsque l’enfant paraît”, elle raconte comment sa carrière dans le cinéma a décollé après ses 40 ans, son discours après gagné le César de la meilleure actrice, mais aussi sa relation unique avec Jean-Pierre Bacri. Comment le théâtre a changé sa vie Après avoir remporté deux Césars pour ses rôles au cinéma dans “Marguerite” et “Un air de famille”, Catherine Frot revient à son premier amour : le théâtre. Elle joue actuellement la pièce “Lorsque l’enfant paraît” mis en scène par Michel Fau au théâtre Marigny. Cette comédie a réuni plus de 200 000 spectateurs pour plus de 300 représentations, le succès est immense. Selon l’actrice principale, “c’est un divertissement pur avec une grande profondeur.” Cette passion pour le théâtre, Catherine Frot l’a toujours eu. C’est dans cet environnement qu’elle a commencé sa carrière d’actrice, aux côtés de Peter Brook dans les années 1980. “On faisait tout nous-même : les décors, les costumes… On réfléchissait ensemble et c’était fantastique.” Finalement, c’est en 1996 qu’elle devient populaire aux yeux du grand public grâce au film “Un air de famille”. Elle décroche le César du meilleur second rôle féminin pour son personnage de Yolande Ménard : “Ce film, c’était la pochette surprise incroyable.” C’est seulement à 39 ans que Catherine Frot explose au cinéma, une situation très rare chez les actrices. Une grande carrière au cinéma Pour Catherine Frot, “Le métier d’acteur, c’est entraîner les gens avec soi, c’est jouer avec le public.” Cette mentalité ne l’a jamais quittée tout au long de sa carrière d’actrice. Elle y a croisé le chemin de noms importants du cinéma comme Cédric Klapisch, Francis Veber, Xavier Giannoli et le grand Jean-Pierre Bacri, décédé en 2021. Elle lui rend hommage sur le plateau en répondant à un extrait où il évoque les attentes du public : “On le reconnaît bien, il se demande ce qu’on peut faire ou pas aujourd’hui en tant qu’acteur et il a raison. On se la pose tous les jours cette question.” De son côté, pour garder les pieds sur Terre, la comédienne prend en compte les remarques que le public fait sur son travail. “La critique m’a toujours beaucoup apporté. Pour moi, l’auto-critique, c’est vital.” L’interview de Catherine Frot est disponible en replay sur myCANAL.
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François Civil est à l’affiche du film “L’amour ouf”. Invité sur le plateau de Clique, l’acteur revient sur ses débuts dans le cinéma, sa sensibilité et sa relation étroite avec Gilles Lellouche. “L’amour ouf” : le projet fou de Gilles Lellouche Dans “L’amour ouf”, en salles le 16 octobre, François Civil incarne Clotaire, un jeune homme issu d’un quartier défavorisé dans les années 80. Sa rencontre avec Jackie, campée par Adèle Exarchopoulos, lui apprend l’amour et la puissance des sentiments. Un long-métrage ambitieux et intense tiré du roman éponyme de Neville Thompson. Pour François Civil, ce film est très particulier. “Il y avait quelque chose d’extraordinaire à explorer avec ce personnage, autant dans sa lumière que dans son obscurité, dans sa violence que dans son amour, dans sa poésie que dans sa crasse.” C’est la dualité du personnage et la complexité de ses émotions qui ont inspiré François Civil dans l’appréhension du rôle. Il s’agit de sa deuxième collaboration avec Gilles Lellouche sur un plateau, rencontré lors du tournage de “Bac Nord”. François Civil exprime son admiration pour l’acteur et réalisateur qu’il considère comme “un mec généreux, humain et fort qui coche toutes les cases du grand acteur.” Sa sensibilité artistique François Civil n’a pas voulu suivre le chemin de ses parents, deux universitaires, et, à l’adolescence, il s’est tourné vers l’art. “J’avais besoin de faire quelque chose de mes mains : du skate, de la basse…” C’est ce côté touche à tout qui l’a mené à se diriger vers la comédie, énergisé par l’euphorie de faire rire sa classe lors d’une petite représentation en cours de français. L’anecdote raconte qu’il a commencé le théâtre pour suivre une fille qui lui plaisait : “mais si elle avait fait de la gym, je n’y serais pas allé.” ironise-t-il. Souvent rattaché à son physique avantageux, François Civil revient sur cette image qui lui est attribuée : “J’essaye de me protéger un peu de ce qu’on projette sur moi.” L’acteur ne veut pas se laisser définir par son apparence et souhaite se concentrer sur ses rôles et la profondeur de ses personnages. Sa sensibilité l’accompagne au quotidien et dans l’élaboration de ses rôles. Grand anxieux, il a conservé ses craintes et ses inquiétudes des débuts. “Si on se met pas en danger dans n’importe quelle création artistique, on passe à côté de la substance.” Il considère cette peur comme un moteur à son travail d’acteur. “L’amour ouf” sort en salles le 16 octobre. L’interview de François Civil est disponible en replay sur myCANAL.
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Après leurs parcours olympique et paralympique exceptionnels, les médaillés d’or Earvin Ngapeth et Charles Noakes sont les invités de Clique. Les deux athlètes reviennent sur leurs victoires, le harcèlement et leur sensibilité artistique. Deux champions sur le toit du monde Earvin Ngapeth a gagné sa deuxième médaille pendant les Jeux de Paris 2024. Suite à cette victoire au sein de l’équipe de France, il a été élu “meilleur joueur de volley” des JO. Le champion olympique prépare depuis son retour dans l’équipe de Poitiers après avoir joué près de dix ans à l’étranger. Pour le sportif, originaire de la ville et fils d’Eric Ngapeth lui-même joueur de volley, ce retour en France est placé sous le signe de la famille et des retrouvailles. “C’est une ville de volley avec un club historique.” Charles Noakes, le champion français de para badminton, se joint à Earvin Ngapeth. Sa prestation aux épreuves paralympiques de badminton a été particulièrement remarquée. “Il y a eu quelques doutes au niveau du spectacle que les paralympiques représenteraient et il y a eu une réponse incroyable dans le monde entier.” souligne Earvin Ngapeth. Le joueur de para badminton s’est exprimé sur les bienfaits du sport sur sa confiance en soi et sur le rayonnement des sportifs paralympiques dans les médias : “Mon rôle, c’est d’éduquer les jeunes : de leur montrer que même si on a un handicap, on a tous un talent, on est tous capable de faire de grandes choses.” Leurs carrières artistiques Le point commun entre Charles Noakes et Earvin Ngapeth n’est pas que sur le terrain. En parallèle de leur carrière sportive respective, les deux athlètes sont également artistes. Earvin Ngapeth a publié quatre albums de rap et a collaboré avec S.Pri Noir. “Je faisais de la musique avant de jouer au volley. Pour bien faire mon sport, j’ai besoin d’écrire et d’aller en studio.” De son côté, Charles Noakes a joué dans la série Vestiaires, diffusée sur France 2. Il partage également ses vidéos humoristiques sur Instagram. “L’humour c’est la meilleure façon de s’accepter et de faire changer le regard sur le handicap.” Victime de harcèlement dans sa jeunesse, le champion paralympique est aujourd’hui plus fort que jamais face à ces brimades : ”J’ai pris une belle revanche sur la vie.” L’interview d’Earvin Ngapeth et Charles Noakes est disponible en replay sur myCANAL.
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Panayotis Pascot et Charlie Haid ont participé à l’émission “Loups Garous”. Pour l’occasion, ils sont les invités de Clique afin d’évoquer ce nouveau jeu grandeur nature, les anecdotes du casting, mais aussi leurs carrières respectives en tant qu’humoriste et mentaliste. Loups Garous, l’émission adaptée du jeu de société Diffusée à partir du 11 octobre sur Canal+, la nouvelle série de Panayotis Pascot et de Fary reprend le célèbre jeu du “Loup-Garou”. Les créateurs Hervé Merly et Philippe des Pallières leur ont offert les droits du jeu pour l’émission. Parmi les collaborateurs de Panayotis Pascot, on retrouve Mister V, Freddy Gladieux et Jason Brokerss : “C’est l’élite de l’humour, donc on est vraiment très contents.” La série a déjà été renouvelée avant sa diffusion, pour deux saisons supplémentaires. “C’est la chance de travailler avec Canal, ils font confiance aux idées.” De Loups Garou à leurs projets respectifs Cinq ans après Presque, Panayotis Pascot revient avec son nouveau spectacle Entre les deux. Il a été écrit pendant une période de dépression pour l’humoriste qui “n’est plus un enfant et n’a pas encore d’enfant” et se retrouve donc dans cet “entre-deux” dont il ne comprend pas le but ni le sens. “Je crois que ce spectacle a un peu éloigné la part d’enfant qui restait en moi.” Avec ce one-man-show vient la panique du deuxième projet, l’inquiétude de ne pas être à la hauteur du premier. “J’ai la chance d’être entouré de gens talentueux et d’apprendre énormément à leur côté.” Charlie Haid, le mentalisme de la série, rejoint Panayotis Pascot en deuxième partie d’émission. Âgé de 22 ans, il s’est fait notamment connaître sur Youtube grâce à ses vidéos de mentalisme et de psychologie. “C’est pas un don, c’est un travail, c’est comme le piano. Tout le monde peut devenir pianiste, il y en aura juste qui seront très bons très vite et d’autres pour qui ce sera plus difficile.” L’interview de Panayotis Pascot et Charlie Haid est disponible en replay sur myCANAL.
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Amélie Nothomb, l’autrice belge aux 20 millions de livres vendus, est l’invitée de Mouloud Achour dans Clique. À l’occasion de la sortie de son nouveau roman “L’impossible retour”, elle revient sur l’affection de ses fans, son attachement au Japon et son amour pour Mylène Farmer. Sa proximité avec ses lecteurs Le 21 août dernier, Amélie Nothomb publiait “L’impossible retour” aux Éditions Albin Michel. L’autrice écrit un ouvrage par an depuis 1991, ce qui fait de ce roman son 33ème. Malgré cette cadence effrénée, elle ne se repose jamais sur ses lauriers : “À chaque fois que je publie un livre, j’ai l’impression de remettre mon titre en jeu.” Repartir de zéro à chaque fois permet à Amélie Nothomb de garder les pieds sur terre, tout en abordant des sujets différents de roman en roman : “Mes livres sont de plus en plus graves.” Si l’autrice a toujours du succès aujourd’hui, c’est grâce à ses fidèles lecteurs. Pour elle, ils ne sont pas forcément acquis à sa cause. “J’ai de la gratitude envers mes lecteurs qui veulent bien de moi.” Grâce à la qualité de ses écrits, Amélie Nothomb a réussi à créer un véritable lien avec ceux qui lisent ses livres : “Mes lecteurs me connaissent très intimement.” Amélie Nothomb, seule dans son monde Durant toute sa carrière, l’autrice belge est toujours apparue comme quelqu’un d’à part dans les médias. Cette image lui colle à la peau, sans pour autant la déranger. Elle en est consciente et n’a aucun problème à assumer sa solitude : “Je ne suis pas très dîner en ville, donc je trouve toujours des excuses pour ne pas y aller.” Si elle accepte aussi facilement d’être seule, c’est aussi pour faire face à ses sentiments négatifs : “Je pense que je ne pourrais pas me délivrer de mes démons.” Le fait d’être seule dans son monde, elle le partage avec une autre artiste qu’elle apprécie grandement : Mylène Farmer. Amélie Nothomb a eu la chance de la rencontrer il y a presque 30 ans : “En 1995, le magazine Vogue Allemand m’avait dit ‘vous avez le droit de faire venir la personne que vous voulez rencontrer et on vous arrange une interview croisée.’ J’ai choisi Mylène Farmer et elle a accepté.” Les deux femmes finissent par passer la soirée ensemble. “C’était génial.” Sa passion débordante pour la Japon Amélie Nothomb a vécu une partie de son enfance au Japon. Elle était alors élevée par une nounou japonaise qu’elle a pu revoir lors d’un voyage il y a 12 ans. Cette anecdote touchante s’arrête là, puisque lorsqu’on lui demande des nouvelles de cette dame, elle répond : “J’en suis à un stade où je ne sais même si elle est en vie.” Grâce à sa vie au Japon, Nothomb a pu analyser la culture nippone et ses différences avec l’Europe. “Les Japonais ne disent pas ‘non’, ils refusent en utilisant des subterfuges verbaux.” Une société qui lui correspond parfois plus qu’en France ou en Belgique, notamment sur la notion du temps : “Les Japonais ont compris le temps. Le temps n’est jamais révolu, ce n’est ni le passé, ni le futur, c’est tout à la fois. Ce sont des gens qui vivent le temps dans sa véritable dimension.” Quand on aborde son avenir, Amélie Nothomb se voit continuer de publier des romans régulièrement. Pour elle, il n’est pas question de se faire concurrencer par les intelligences artificielles : “Historiquement, on sait que ce qui consomme moins perdure et je consomme beaucoup moins que l’intelligence artificielle.” L’interview d’Amélie Nothomb est à retrouver en replay sur myCANAL et sur la chaîne YouTube de Clique.
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