Comment regarder Irlande contre Nouvelle-Zélande en ligne gratuitement
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Au cœur de Roubaix, des agences dédiées à l’intelligence artificielle générative se développent pour stimuler l’innovation dans les domaines créatifs et technologiques. Avec une expertise distinctive, ces agences offrent des solutions personnalisées pour satisfaire une clientèle avide de nouveauté. Apprenez comment ces acteurs exploitent leurs compétences pour transformer le paysage numérique, en se concentrant sur l’intégration, la formation et l’optimisation des processus grâce à l’IA générative.
La génération d’IA est essentielle à la transformation numérique d’aujourd’hui. À Roubaix, des agences comme Distilia s’emploient à maximiser l’efficacité et l’innovation des entreprises en développant des produits adaptés et en améliorant les processus en place. Grâce à une approche intégrée, elles soutiennent les entreprises dans l’adoption de l’IA pour réussir leur transformation numérique. Découvrez leur philosophie dans cette présentation de l’agence Ideine.
Les agences de Roubaix vont au-delà de l’intégration de l’IA. Elles offrent également des formations personnalisées pour guider les entreprises dans cette révolution technologique. Par exemple, l’agence Smartforge fournit des formations d’initiation à l’intelligence artificielle, explorant des techniques avancées comme ChatGPT et l’automatisation des tâches. Ces sessions permettent aux entreprises de maîtriser les outils d’IA générative pour en maximiser l’utilisation au quotidien.
Roubaix est un environnement fertile pour l’innovation, soutenu par un écosystème énergique composé de ses entreprises technologiques. L’établissement d’ovhCloud témoigne de cet intérêt pour l’IA, investissant constamment dans le secteur de l’intelligence artificielle générative. Découvrez les contributions notables de Roubaix dans ce domaine d’avenir sur Digitad.
Des agences bien établies, telles que JUST AI, et des entrants récents, comme NetDevices, s’attachent à développer l’IA générative. Ces spécialistes locaux, comme Logitourisme, proposent des solutions innovantes à Roubaix. La variété des services offerts reflète l’évolution continue du secteur, qui s’efforce de répondre de plus en plus précisément aux besoins des clients.
Les agences de Roubaix investissent également dans des outils génératifs pour l’image et le contenu visuel. Des générateurs d’images IA prévus pour 2024 dévoilent un potentiel créatif énorme. Ces outils permettent de réaliser des visuels captivants qui enrichissent le contenu des marques. Pour en savoir plus, consultez les meilleurs générateurs d’images par IA.
Dans une approche proactive, des entreprises comme Gestia Solidaire illustrent la capacité de Roubaix à attirer des financements et à multiplier les opportunités de développement local. En se concentrant sur la formation, la recherche et l’innovation, Roubaix s’affirme comme un centre névralgique dans le domaine de l’IA générative.
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Enlisée depuis 2015 dans une crise sans fin, l’économie brésilienne semble cette année faire l’objet d’un nouveau revirement. S’agit-il d’un coup de chance passager ou des résultats favorables des politiques mises en œuvre par Luiz Inácio Lula da Silva (« Lula ») depuis son retour au pouvoir il y a deux ans ?
Lorsqu’il accède à la présidence pour la première fois en 2003, avec un programme de gauche en rupture avec ses prédécesseurs, peu d’analystes parient sur une réussite, tant les défis économiques paraissent colossaux pour un président nouveau, issu des syndicats et sans expérience.
Parmi ces défis : un service de la dette publique colossal atteignant 10,3 % du PIB, la nécessité urgente de reconstituer des réserves en dollars pour stabiliser une monnaie nationale vulnérable aux spéculations, et la contrainte de rembourser les prêts souscrits au Fonds monétaire international (FMI).
Contre toute attente, Lula adopte alors une politique monétaire stricte et une rigueur budgétaire pour rassurer les créanciers brésiliens et anticiper le remboursement au FMI.
Deux ans plus tard, profitant de la montée des prix des matières premières agricoles et minières, qui revigorent l’économie brésilienne, le président change de cap et choisit une politique économique plus expansive.
Conséquence, entre 2003 et 2011, le produit intérieur brut (PIB) croît en moyenne de 4,1 % par an, permettant au Brésil de se hisser au rang de septième puissance économique mondiale. 21 ans plus tard, est-il en train de réitérer sa performance des années 2000 ?
À la fin de 2023, les évaluations des organismes internationaux et des banques convergeaient vers une prévision de croissance modeste (maximum 1 %) pour 2024 et 2025. Un an plus tard, le tableau a radicalement évolué.
Lors du seul second trimestre 2024, l’activité a progressé de 1,4 %, et la croissance pourrait atteindre jusqu’à 3 ou même 3,5 % en 2024. 2025 s’annonce également sous de bons auspices, plaçant le Brésil parmi les rares pays du G20, aux côtés de l’Inde ou des États-Unis, à afficher une croissance dynamique. Cette perspective n’a pas échappé à l’agence Moody’s qui, le 1er octobre, a amélioré la note du pays.
De plus, l’inflation est maîtrisée à moins de 4 %, le taux de chômage est maintenant de 6,9 %, son niveau le plus bas depuis 2014, et le déficit public, initialement projeté à 2,6 % du PIB, sera finalement largement revu à la baisse.
À l’instar des années 2000, le secteur primaire exportateur reste le principal moteur de l’économie brésilienne grâce à une production et des exportations en hausse de soja, maïs, canne à sucre, poulets, porcs et bœufs. En 2024, la production devrait augmenter grâce à l’expansion des terres cultivables.
Bien que la déforestation en Amazonie ait ralenti depuis la fin du mandat de Jair Bolsonaro, elle demeure à des niveaux historiquement élevés, et la déforestation augmente désormais dans le Cerrado, un macro-biome équivalent à trois fois la France, couvrant 23 % du territoire national dans la région centrale.
En parallèle, l’industrie agroalimentaire (abattage, découpe, transformation, congélation) connaît elle aussi une forte croissance, soutenue par des groupes de portée mondiale comme JBS.
Cependant, il est complexe d’attribuer ce rebond impressionnant de la croissance uniquement au boom des matières premières, comme au début des années 2000. En 2024, la contribution de ce secteur à la croissance sera même négative, selon l’Institut brésilien de statistiques IGBE, en raison d’une baisse des prix de certains produits agricoles et miniers, ainsi que des impacts du phénomène climatique El Niño.
Toutefois, le Brésil peut s’appuyer sur le secteur industriel de l’énergie, qui s’affirme de plus en plus comme un pilier de l’économie nationale. Cela est vrai tant pour le pétrole, dont l’industrie est en expansion depuis la découverte de nouveaux gisements il y a vingt ans, que pour le gaz et les énergies renouvelables, qui représentent déjà 88 % du mix électrique national.
À l’image de 21 ans auparavant, Lula soutient les secteurs en croissance par une politique de stimulation de la demande intérieure pour propager cet élan au reste de l’économie. L’objectif : générer de la croissance et de nouvelles recettes fiscales en dynamisant à la fois l’investissement public et la consommation des ménages.
Pour inciter à l’investissement, le gouvernement mise sur les entreprises publiques (notamment le géant pétrolier Petrobras) et la banque publique de développement brésilienne (BNDES). Entre 2022 et 2023, celle-ci a injecté, sous formes de prêts avantageux, l’équivalent de 2,5 points de PIB dans l’économie, principalement pour financer d’importants projets d’infrastructure.
Concernant la demande des ménages, le gouvernement a utilisé plusieurs leviers : une augmentation de plus de 50 % de la « Bolsa Familia » (une allocation familiale versée à 18 millions de foyers), une hausse de 6,8 % du salaire minimum (et des retraites indexées sur ce minimum), soit 3 points de pourcentage au-dessus de l’inflation.
On peut également noter l’augmentation du seuil d’exonération de l’impôt sur le revenu de 1 900 à 2 700 réaux par mois (600 euros) ainsi que l’annulation de 57 milliards de réaux (10 milliards d’euros) de dettes après des négociations avec les créanciers, ce qui a soulagé 15 millions de ménages.
En fin de compte, selon l’IBGE, la consommation des ménages a grimpé de 3,4 % et les dépenses publiques de 2,6 % en l’espace d’un an. Cela peut-il perdurer ? Rien n’est moins sûr.
D’une part, un taux d’intérêt réel élevé, destiné à maîtriser l’inflation, impactera bientôt la croissance. D’autant plus que l’investissement total, qu’il soit privé ou public, demeure désespérément faible au Brésil.
D’autre part, la hausse des importations de 1,4 % au second trimestre 2024 et de 4,1 % sur un an, consécutive à une augmentation de la demande interne, met en lumière le déficit chronique de productivité de l’industrie brésilienne dans son ensemble (hors énergie et agroalimentaire) et des services en particulier.
Surtout, le gouvernement actuel semble ne pas avoir retenu une leçon essentielle des années 2000, à savoir qu’il est illusoire de maintenir un modèle de croissance basé sur la distribution des richesses sans s’attaquer aux revenus élevés.
Or, il n’existe aucun signe indiquant une volonté de faire contribution des plus riches, alors même que le système fiscal brésilien, qui exonère, par exemple, les dividendes de tout impôt, est connu pour sa régressivité.
Cela s’explique politiquement : Lula semble vouloir apaiser le puissant milieu des affaires.
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