How R.E.M. a créé la musique alternative
Dans le désert culturel de l’ère Reagan, ils ont montré qu’un groupe pouvait percer auprès du grand public sans être ringard, ni nostalgique, ni jouer du hair metal.
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No Time to Die, Killer Heat et American Fiction ne sont que quelques-uns des films que vous devriez regarder sur Amazon Prime Video cette semaine.
Le Samaïn Fest, qui se tient du 24 au 26 octobre près de Rennes afin de soutenir une école bretonne du réseau Diwan, programme en tête d’affiche Deströyer 666, une formation de metal australienne connue de longue date pour ses discours de haine.
Tout comme l’envie de rouler une pelle, de danser ou de hurler sur des montagnes russes, les mosh pits sont un phénomène chelou mais étrangement naturel. Quelque chose dans les riffs et les percussions gargantuesques nous donne envie de foncer sur d’autres personnes, comme des autos-tamponneuses humaines, des particules de gaz ou le pack d’avants du Castres Olympique. Dans n’importe quelle autre situation – comme essayer de prendre le métro ou faire ses courses dans un supermarché – les mosh pits seraient l’enfer sur terre. Mais lors d’un concert de metal, ou plus précisément au Download Festival (qui a eu lieu du 10 au 12 juin dernier), ils se transforment en quelque chose d’entièrement différent. Pendant les deux ans de la pandémie, les mosh pits ont été le plus souvent interdits. Et même quand ils ne l’étaient pas, ils n’étaient tout simplement plus en odeur de sainteté. Cet été, les festivals et les concerts viennent à peine de retrouver leur rythme. Les gens se détendent enfin suffisamment pour avoir envie de se trémousser et de crowd surfer. Tout cela n’est pas que cosmétique : le moshing permet aux gens de se sentir libres et connectés. Certains prétendent même que la pratique devrait être utilisée comme une activité thérapeutique, invoquant sa capacité à réduire le stress. Au Download en 2022, il y avait évidemment beaucoup de moshing. Comme d’anciennes tribus se livrant à une danse initiatique, les gens vont spécifiquement à ce festival pour se défouler en faisant du moshing. Le photographe de VICE Chris Bethell s’est donc rendu au milieu des mosh pits pendant les sets de Bury Tomorrow, Dying Fetus, Creeper, Funeral For a Friend, Skindred et bien d’autres pour prendre quelques tofs de ce rituel. Source
NurPhoto via Getty ImagesNo One Is Innocent, le 7 juillet 2018 à au Plane’R’Fest. JUSTICE – Accusé d’agression sexuelle, Marc Gulbenkian, le chanteur du groupe de métal No One Is Innocent, a annoncé sur les réseaux sociaux, ce vendredi 15 avril, le report de leur tournée, deux semaines après les révélations de Mediapart. L’artiste conteste ce qui lui est reproché. Une enquête préliminaire a été ouverte. “J’ai décidé d’un commun accord avec les membres de No one is Innocent de reporter l’ensemble des dates du groupe le temps que je puisse prouver sereinement mon innocence devant la justice”, déclare Marc Gulbenkian, dit “Kemar”, dans un court texte publié sur Facebook et Instagram. Une femme accuse le chanteur de l’avoir agressée sexuellement en août 2017, en marge du festival Les Rocktambules, dans le Gard. La quadragénaire, qui connaissait les membres du groupe No One Is Innocent, avait déposé une main courante en juin 2018 avant de porter plainte en mars 2019. “Je ne voulais pas couper les liens avec ce couple d’amis” “J’ai mis longtemps à faire ces démarches car je considérais Marc et sa femme comme de la famille et je ne voulais pas couper les liens avec ce couple d’amis”, a indiqué la plaignante au site d’informations en ligne, dans un article paru fin mars. Après la publication de l’article, Marc Gulbenkian avait publié sur le compte Instagram du groupe un message vocal dans lequel la victime présumée remercie les remercie de l’avoir invitée. Ce qui pour lui démontrait “qu’il n’y a pas eu d’agression” Suite à cette publication, Mediapart a consulté un enregistrement sonore dans lequel le chanteur évoquait “un moment d’égarement” et disait avoir “déconné sur ce coup-là”. No Is Innocent devait se produire ce samedi dans la commune de La Seyne-sur-Mer mais la municipalité a décidé de reporter leur…
BÉBÉS – Faire s’endormir un nouveau-né n’est pas toujours facile. Une utilisatrice de Tik Tok a elle découvert une méthode sur mesure pour sa fille: elle lui fait écouter un morceau de metal, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article. Dimanche 8 août, @maryeobrien a partagé sur le réseau social une vidéo où l’on peut voir son compagnon bercer leur bébé en pleurs afin qu’il s’endorme. Et celui-ci ne trouve le sommeil que lorsqu’il reconnaît un certain morceau de metal. En trois jours, la vidéo a été vue plus d’un million de fois et a généré des milliers de commentaires. En effet, voir un enfant s’endormir en écoutant de la musique bruyante et très rythmée comme le metal peut surprendre, car il est communément admis et recommandé d’utiliser de la musique douce, lente et répétitive qui ralentira les battements du cœur du nourrisson et conduira à une respiration plus calme et profonde. Si certaines recherches ont prouvé que les comptines avaient le pouvoir de calmer et de rassurer les enfants, une étude publiée en octobre 2019 par The Harvard Gazette a démontré que les bébés ont tendance à être davantage détendus lorsqu’ils entendent de la musique. Et la réaction positive qu’ils éprouvent a lieu, qu’ils connaissent ou non le titre qu’ils écoutent, et quelle que soit la langue dans la chanson. Metal ou comptine, il semblerait donc que cela importe peu. Mais il faut être capable de reconnaître ce qui plaît le plus à l’enfant que l’on essaie d’endormir. À voir également sur Le HuffPost: Rendu célèbre par TikTok, Nathan Apodaca vient en aide aux sans-abri Source
En 2010, Joseph Ouechen (37 ans) lance un blog consacré à la photographie de mode sur lequel il met en avant le travail d’autres artistes. Trois ans plus tard, il finit par s’acheter un appareil photo et commence sa propre carrière. Depuis, il est devenu l’un des photographes de rue les plus connus du pays. Il s’intéresse tout particulièrement aux fans de métal au Maroc – qui sont toujours considéré·es comme des « satanistes ». J’ai parlé à Joseph de son travail. VICE : Est-ce que tes débuts dans la photo ont été difficiles, surtout que tu n’as pas étudié la discipline ?Joseph Ouechen : Je suis né à Sidi Moumen, un quartier pauvre de Casablanca, et j’ai été renvoyé en première année de secondaire parce que je n’étais pas bon à l’école et que je n’aimais pas étudier. J’ai appris la photo par moi-même, sur Internet. Pourquoi tu t’es intéressé à la scène métal marocaine ?L’idée m’est venue en 2003, quand un groupe de métal s’est fait arrêter au festival L’Boulevard à Casablanca. On les a accusés d’être des « satanistes ». Ils ne faisaient que jouer du métal. Après ça, j’ai commencé à aller aux festivals de métal pour prendre des photos et en savoir plus sur ce genre de musique qui n’est pas encore très répandu au Maroc. J’aime bien leur style, les symboles et les mots sur leurs vêtements, leurs cheveux et leurs accessoires. Qu’en est-il de ton autre projet, On the Streets ?C’est un projet en cours qui explore et documente la vie moderne quotidienne au Maroc. Il cherche à défier les stéréotypes sur la société marocaine. Tu penses qu’il existe un « mauvais » type de photographe ?À mon avis, un·e mauvais·e photographe c’est quelqu’un qui n’est pas spontané·e. En 2013, je suis allé…
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