Les Obamas font campagne pour Kamala Harris
Dans le Georgia, Barack Obama a parlé de caractère, et dans le Michigan, Michelle Obama a rappelé aux électeurs les enjeux pour la vie des femmes.
Dans le Georgia, Barack Obama a parlé de caractère, et dans le Michigan, Michelle Obama a rappelé aux électeurs les enjeux pour la vie des femmes.
No Time to Die, Killer Heat et American Fiction ne sont que quelques-uns des films que vous devriez regarder sur Amazon Prime Video cette semaine.
Du gore importé aux images effrayantes, ces films vous mettront certainement dans l'ambiance des fêtes.
JEFF PACHOUD via AFPLe collège de Clessé (Saône-et-Loire), à proximité duquel a été retrouvé de le corps de l’adolescente de 14 ans morte poignardée. FAIT DIVERS – Âgé de 14 ans, le petit ami de l’adolescente retrouvée morte poignardée jeudi matin près de Mâcon a été mis en examen pour et placé en détention provisoire, a annoncé le parquet ce vendredi 10 juin 2022. “Une information judiciaire pour homicide volontaire avec préméditation ou guet-apens (assassinat) a été ouverte ce jour et confiée à un juge d’instruction du pôle criminel du tribunal judiciaire de Chalon-sur-Saône”, précise le procureur de la République de Chalon-sur-Saône, Patrice Guigon. Le jeune garçon a été incarcéré dans un établissement disposant d’un quartier pour mineurs et d’une unité sanitaire psychiatrique, selon le magistrat. Un peu plus tôt, le procureur de la République de Mâcon, Éric Jallet, initialement saisi du dossier, avait annoncé que l’expertise psychiatrique du suspect avait conclu ”à une altération importante du discernement, sans abolition, le rendant accessible à ce stade à une sanction pénale”. “Paroles inquiétantes” Jeudi au petit matin à Clessé, le corps de l’adolescente âgée de 14 ans, présentant de nombreuses plaies et un couteau encore planté dans le cou, a été découvert sur la voie publique près de la mairie et de son ancienne école primaire de ce village viticole. Les soupçons des enquêteurs de la section de recherches de la gendarmerie de Dijon se sont rapidement orientés vers son petit ami, qui a été interpellé dans la matinée au collège de Lugny, où la victime était également scolarisée. Placé en garde à vue pour assassinat, le collégien a rapidement confirmé avoir commis les faits, avait indiqué jeudi lors d’une conférence de presse le procureur Éric Jallet. Les premiers témoignages recueillis par les enquêteurs ont indiqué que le suspect avait eu par…
Le 14 décembre 2012, sur le site de rencontres pour homosexuels GayPax, Antoine M., 49 ans, contacte pour la première fois sous le pseudo « Requin TN » le profil d’un certain « Julien57 ». Il est 13h47 : « Hey man, je cherche un plan. Suis bogosse passif pour jeune gars och. » Aussitôt, Julien57 lui répond : « Je cherche aussi un plan. – Tu vis à Thionville même ? – Non, Sérémange. – C’est pas loin… – On peut aller chez toi ? – Oui. Je peux venir te chercher et je te ramène. – OK. T’aimes faire quoi avec un gars ? – Me faire sucer, sodomiser et dominer. » Leur conversation s’arrêta à 15H30 sur la promesse d’une rencontre imminente. C’est son ex-compagnon, Xavier, qui a donné l’alerte le premier. Depuis leur séparation, en 2005, Xavier et Antoine M. ont gardé de bons rapports. Ils s’appellent pour Noël, se souhaitent leurs anniversaires ou juste comme ça, pour se donner des nouvelles. Quand le vendredi 1er février 2013, le jour de ses cinquante ans, Antoine M. ne décroche pas le téléphone, tout de suite, Xavier a un mauvais pressentiment. Il appelle la mère de son ex. Celle-ci n’a pas vu son fils depuis des semaines. Il appelle la mairie de Thionville (Moselle). Antoine M. ne s’est pas rendu à son travail depuis le 16 décembre. Comment ont-ils pu ne pas s’inquiéter plus tôt ? De son côté, Xavier n’hésite plus une seule seconde : son troisième coup de fil est pour les services de police. En fin d’après-midi, dans un appartement du 8 rue Chateaubriand, à Thionville, le corps sans vie d’Antoine M. est découvert par le SAMU. Il est nu, sur le lit, partiellement enroulé dans une couverture rouge, un T-shirt relevé sur la moitié du dos et une paire de baskets de marque Nike aux pieds. Sur la table de chevet,…
1999. Limoges. Ça fait déjà plusieurs minutes que ce quinquagénaire rondouillard s’épuise à allumer des bougies chauffe-plat et à éparpiller du gros sel dans toute la maison. Sa mallette noire jamais très loin. En cet après-midi glacial, flanquée de sa grande et sa petite sœur, Kath a 7 ans. Dubitative, oui, mais trouillarde, non. Enfin, elle n’a peur que d’une chose : que ce type inconnu au bataillon lui vole ses affaires et ses jouets. « C’est un exorciste », leur a expliqué plus tôt leur mère. Un mot difficile à articuler pour une gamine de CE1. « Il vient pour assainir, allumer des bougies et mettre du sel dans les endroits où il ressent des points de concentration d’esprit ». Sa mission terminée, l’insolite bonhomme claque la porte de leur grande maison en crépi qui longe les rails. Le trio de petites filles observe, perplexe, les flammes des bougies disséminées dans toutes les pièces. « C’est dans la chambre de ma sœur cadette que le plus dingue s’est produit. Alors qu’il n’y avait plus de cire, les bougies ont continué de cramer pendant plusieurs jours. C’est ici que les trois gamins sont morts empoisonnés », me raconte Kath vingt ans plus tard. Celle qui vit à Lyon aujourd’hui a grandi dans ce qu’on appelle en toute sobriété une “maison de l’horreur”. Le tas de graviers devant le logis des Villemin qui surplombe la vallée de la Vologne où le petit Grégory à disparu le 16 octobre 1984, les murs orange sans enduit de celui de Delphine Jubillar, l’infirmière qui s’est volatilisée le 16 décembre 2020, les tourelles pointues du château de Sautou du tueur en série Michel Fourniret : à force de défiler dans les JT et la presse, les lieux des faits divers, leur architecture, s’impriment sur nos…
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