Pourquoi Josh Brolin aime James Joyce
À l’occasion de ses nouvelles mémoires, l’acteur de “Dune” réfléchit à certaines de ses expériences de lecture formatrices.
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Sous l’assaut de tous les côtés, dans les dernières semaines de sa campagne, l’ancien Président parle souvent d’ennemis de l’intérieur, y compris ceux qui essaient de prendre sa vie.
L’actrice recommande certains de ses comptes préférés de détectives, de morts et de laissés-pour-compte.
Du gore importé aux images effrayantes, ces films vous mettront certainement dans l'ambiance des fêtes.
Depuis le début de la guerre entre le Hezbollah et Israël, et surtout l’intensification des bombardements israéliens depuis la fin septembre, les Libanais payent un lourd tribut, notamment dans le Sud agricole.
Il existe deux types de relations amoureuses en prison : les inattendues et celles plus recherchées, dont la rencontre a été provoquée. Lorsque l’on pense à une relation amoureuse en prison, on imagine aisément un truc malsain, une obsession pour le danger ou le meurtre. Cette attirance a un nom : l’hybristophilie, qui symbolise le fait d’être attiré par une personne ayant commis un crime. « Un psychiatrique auprès des tribunaux, Daniel Zagury, m’a un jour dit : “Il vaut mieux être la femme de Guy Georges que de Monsieur Dupont.” Certaines femmes dont la vie est monotone, fantasment ces hommes un peu connus, elles les idéalisent, les voient à la télévision. Elles veulent justifier leurs actes, c’est la notoriété macabre qui les attire », raconte Marine Mazéas, journaliste judiciaire qui vient de publier L’aimé meurtrier, livre où elle donne la parole à ces femmes en couple avec des hommes incarcérés. En témoignent les nombreux courriers de fans que le meurtrier en série américain, Charles Manson, a reçu après son incarcération. Ce dernier a d’ailleurs fini par épouser une jeune femme de 26 ans, fascinée par son histoire, alors qu’il avait 80 ans. Il en est de même pour le tueur français, Nordahl Lelandais, qui a multiplié les relations en prison ces derniers mois. Une des femmes avec qui il a eu une aventure dernièrement avait, par le passé, épousé un autre détenu condamné pour avoir tué sa petite fille. Mais il n’est pas question de fascination morbide pour la journaliste Marine Mazéas qui a tenu à écarter ce type de relation de son ouvrage pour se concentrer sur l’amour soudain, qui saisit et emporte tout sur son passage, y compris le passé des détenus. « Ce sont des histoires qui auraient pu avoir lieu à l’extérieur. Ces femmes sont généralement…
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