Comment Trump pourrait changer la trajectoire de la guerre en Ukraine
Tout accord sera probablement favorable aux Russes, bien que le temps pour Poutine de maintenir une économie de guerre puisse arriver à son terme.
Tout accord sera probablement favorable aux Russes, bien que le temps pour Poutine de maintenir une économie de guerre puisse arriver à son terme.
QuelsQuels enseignements initialement peuvent être extraits de l’élection présidentielle américaine du mardi 5 novembre ? Selon les informations recueillies, notamment une vaste enquête menée après le vote auprès d’environ vingt mille personnes par Edison Research pour plusieurs médias, dont CNN, le déplacement de certains segments d’électeurs vers le camp républicain, en particulier au sein de l’électorat hispanique, est à l’origine du succès de Donald Trump.
Beaucoup pensent maintenant que les États-Unis pourraient sombrer dans la violence politique. Certains rejoignent des communautés survivalistes, mettent des aliments en conserve—et achètent des armes.
Les effets complets des politiques économiques du Président ne seront pas ressentis avant des années. Cela pourrait être trop tard pour Kamala Harris et d’autres démocrates.
En 25 ans de carrière, Rim’K a marqué le rap français. D’abord aux côtés de la Mafia K’1 Fry, du 113 et de DJ Mehdi, puis en solo, il s’est imposé comme une légende du Hip-Hop. Sur le plateau de Clique, il aborde sa longue carrière, sa relation avec ses parents et son futur concert à l’Adidas Arena en 2025. Un concert historique Le 12 décembre 2025, Rim’K va se produire à l’Adidas Arena. Le tonton du rap français promet une grande célébration. “Quand on parle de fête, on ne se trompe pas : ça va être les neveux, la famille, les nouveaux, les anciens. J’espère que ce sera mémorable.” Pour Rim’K, le rap est une affaire d’échange : “Je viens d’une grande famille, la musique, j’ai toujours vu ça comme un partage.” En parallèle, le rappeur prépare un album pour la fin de l’année. Il prévoit également de remettre “Les Princes de la ville”, l’album du 113 sorti en 1999, sur les plateformes de streaming. L’héritage du rap Rim’K raconte l’histoire de sa carrière très prolifique. Avant ses projets solos, l’artiste se produisait à la fin des années 90 avec la Mafia K’1 Fry et le 113. “Chacun avait son rôle : A.P. c’est celui qui tient les reines, Mokobé celui qui ramène la rigolade. On était complémentaires, c’est ça la force du 113.” Cette équipe qui a défini une partie de la genèse du rap français tel qu’on le connaît aujourd’hui. Avec la sortie du documentaire événement sur DJ Mehdi, producteur attitré du 113, le collectif bénéficie d’un regain d’intérêt de la part du public. Le chanteur fait également part de sa désolation face aux mauvaises habitudes d’une partie des rappeurs américains. “La folie du rock de l’époque, c’est en train d’arriver dans le rap.” Il fait notamment référence à Rich Homie Quan, décédé en septembre dernier d’une overdose. Les deux rappeurs ont collaboré sur le titre “Everyday” en 2016. “Quand la vague rap est arrivée à Atlanta, il y a plein de gars qui ont été envoyés au feu. On a dépassé un stade quand on voit le nombre de rappeurs qui se sont fait tuer aux États-Unis.” Sa famille, le partage Pour Rim’K, la famille est primordiale, son tube “Tonton du Bled” met d’ailleurs son père à l’honneur. “S’il était encore là, il aurait vu que ce n’est pas seulement de la musique que je voulais faire, c’était de le rendre fier, lui et toute notre famille.” À l’ouverture du Musée de l’Immigration à Paris, les conservateurs ont souhaité exposer le morceau “Tonton du Bled”, un moment fort pour lui. Il a également dédié une chanson à sa mère, “Maman”. “C’est pareil pour pleins de gens issus de l’immigration : nos parents nous ont tout donné et de ne pas pouvoir leur rendre, c’est déchirant.” L’artiste considère qu’il est du devoir des enfants d’émigrés de transmettre son héritage aux générations futures, tout comme il le fait avec sa musique. L’interview de Rim’K est disponible en replay sur myCANAL et sur la chaîne YouTube de Clique.
L’article RIMK : “L’ESSENCE DU RAP, C’EST DE REPRÉSENTER LES MINORITÉS ET METTRE LE DOIGT LÀ OÙ ÇA FAIT MAL” est apparu en premier sur Clique.tv.
Les organisations autonomes décentralisées, ou DAO, offrent aux utilisateurs d'Internet indépendants un refuge sûr, mais elles constituent également une aubaine pour ceux qui ont un objectif plus sombre.
Si les gouvernements ne s'attaquent pas à ces problèmes, le racisme, le classisme, l'austérité et bien d'autres continueront d'être à l'origine de la mortalité et de la maladie parmi les minorités.
GONZALO FUENTES via REUTERSEmmanuel Macron s’alarme d’une “société qui se racialise” (Emmanuel Macron à l’ouverture du Forum sur l’égalité hommes-femmes le 30 juin 2021) POLITIQUE – “Je vois la société se racialiser progressivement”, s’est alarmé Emmanuel Macron dans une interview au magazine Elle, en estimant que “la logique intersectionnelle fracture tout” car elle “renvoie chacun à son identité”. “Je suis du côté universaliste. Je ne me reconnais pas dans un combat qui renvoie chacun à son identité ou son particularisme”, ajoute le chef de l’Etat, en évoquant cette approche qui dénonce le cumul des discriminations lorsque l’on fait partie de plusieurs minorités. Pour lui, “les difficultés sociales ne sont pas uniquement structurées par le genre et par la couleur de peau, mais aussi par l’inégalité sociale”. “Je pourrais vous présenter des jeunes hommes blancs qui s’appellent Kévin, habitent Amiens ou Saint-Quentin, et qui ont aussi d’immenses difficultés, pour des raisons différentes, à trouver un job”, répond-il au témoignage de la réalisatrice Amandine Gay sur les difficultés d’être femme et noire. Violences conjugales, crop top et avortement Evoquant son bilan en matière de violences faites aux femmes, au lendemain du forum de l’ONU pour l’égalité femmes-hommes, Emmanuel Macron revendique des “avancées” mais reconnaît que les bracelets anti-rapprochements, mis en place depuis septembre 2020 contre les conjoints violents, sont encore trop peu utilisés. “C’est en train de monter progressivement, même si 145 bracelets posés, c’est trop peu”, dit-il. Il exprime par ailleurs son opposition à un délai allant jusqu’à 16 semaines pour l’avortement, le jugeant en ce cas “traumatisant”. “Je n’y suis pas favorable. Chaque année, 4000 à 5000 femmes vont à l’étranger pour pouvoir le faire, mais c’est avant tout le signe d’un échec de notre prise en charge”, selon lui. Il se dit une nouvelle fois hostile, comme son ministre…
Stuart C. Wilson via Getty ImagesJohn Boyega dénonce le traitement des minorités dans “Star Wars” (photo d’illustration du 2 janvier 2020) CULTURE – L’acteur britannique John Boyega a reproché à Disney le traitement réservé aux personnages joués par des comédiens issus des minorités, comme le sien, dans les derniers épisodes de la saga “Star Wars”, selon lui “mis en avant” puis “laissés de côté”. Dans un entretien publié mercredi par le site du magazine GQ, il accuse notamment Disney, à qui la franchise appartient, d’avoir “mis en avant un personnage noir, de le marketter comme s’ils allaient être plus importants dans la franchise qu’ils ne le sont, et ensuite le laisser de côté”. Selon le magazine GQ, John Boyega fait référence au traitement de son personnage (le stormtrooper rebelle Finn) dans le dernier opus de la série, mais aussi au sort réservé à celui d’autres acteurs non-blancs, comme Naomi Ackie (la guerrière Jannah), Oscar Isaac (le pilote Poe Dameron) et Kelly Marie Tran (la mécanicienne Rose Tico), au développement avorté et parfois incohérent. “Ils ont donné plein de nuances à Adam Driver (qui joue Kylo Ren), ils ont donné plein de nuances à Daisy Ridley (Rey), soyons honnêtes. Daisy le sait. Adam le sait. Tout le monde le sait”, poursuit l’acteur britannique. “Mais quand on en vient à Kelly Marie Tran ou à John Boyega, on fout tout en l’air”. Stéréotypes usés Il explique comment son coiffeur sur le tournage n’avait aucune expérience avec les cheveux comme les siens, mais “avait tout de même le culot de faire comme si”. Ou encore comment il avait été victime de racisme de la part du public, dont certains membres menaçaient de “boycotter le film parce que (j’en) faisais partie” ou lui envoyait “des menaces de morts” sur les réseaux sociaux. “Cela vous met…
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