Même perdre peut ne pas arrêter la campagne de vengeance de Trump
Mais à la veille d’une autre élection d’une mince marge, cela vaut certainement mieux que l’alternative.
Mais à la veille d’une autre élection d’une mince marge, cela vaut certainement mieux que l’alternative.
GM revendique la deuxième place en termes de ventes de véhicules électriques aux États-Unis pour le troisième trimestre de cette année, avec 32 000 véhicules électriques vendus. Le constructeur automobile produit des véhicules électriques à travers plusieurs marques fonctionnant sur la même plate-forme, comme les Silverado, Blazer et Equinox EV de Chevy, ainsi que le Hummer EV de GMC et le Lyriq de Cadillac. GM déclare avoir vendu un total de 370 000 véhicules électriques en Amérique du Nord depuis 2016, dont 300 000 spécifiquement aux États-Unis. Tesla reste le leader incontesté, avec plus de 5 millions de véhicules vendus depuis 2008. Dans un courriel envoyé à The Verge, le directeur exécutif des finances et des communications de ventes de GM, James Cain, a écrit que les ventes ont accéléré depuis que la société a construit une plate-forme dédiée aux véhicules électriques (autrefois connue sous le nom d’Ultium) et a commencé à produire des cellules de batterie grâce à ses coentreprises avec LG et Samsung SDI. Les ventes de véhicules électriques de GM au troisième trimestre ont dépassé celles de Ford d’environ 8 600 unités, selon Kelley Blue Book, comme l’a rapporté le New York Times. Entre-temps, le porte-parole de Ford, Dan Barbossa, affirme que le Blue Oval reste “la deuxième marque de véhicules électriques la plus vendue en Amérique après Tesla.” Dans un courriel adressé à The Verge, Barbossa a écrit : Nous restons la deuxième marque. GM additionne chaque marque de véhicules électriques (Chevy, GMC, Cadillac, etc.) qu’ils vendent et fait une affirmation différente. Quoi qu’il en soit, GM a encore du chemin à parcourir avant d’atteindre son objectif de produire 1 million de véhicules électriques, qu’elle avait précédemment prévu d’atteindre d’ici 2025. L’entreprise s’est ensuite distanciée de cet objectif lorsque les problèmes de production, les difficultés de…
HP s’adapte aux exigences croissantes des employés en matière d’efficacité et d’intégration de l’IA. L’entreprise a présenté des innovations destinées à alléger les responsabilités administratives. Parmi ces nouveautés figurent le programme Amplify AI et le PC OmniBook Ultra 14 Flip.
De récentes études révèlent que de nombreux employés britanniques abandonnent leur pause déjeuner pour rattraper leur charge de travail. Environ 40 % des travailleurs éliminent régulièrement cette pause. Pour répondre à cette situation, HP introduit le programme Amplify AI. Ce programme est doté d’outils, de formations et de certifications. Son objectif est de fournir aux entreprises des ressources afin d’optimiser l’utilisation de l’IA.
Une étude antérieure a montré que seulement 42 % des employés estiment que l’IA peut alléger les tâches répétitives. Cependant, HP souhaite faire évoluer cette vision. Neil Sawyer, directeur général pour l’Europe du Nord-Ouest chez HP, souligne la signification de l’IA pour l’avenir du travail. Selon lui, l’IA permettrait aux travailleurs de se concentrer sur des tâches plus essentielles et de mieux profiter de leur journée.
En complément du programme Amplify AI, HP lance son PC IA de nouvelle génération : le HP OmniBook Ultra 14 Flip. Cet ordinateur portable 2-en-1 dispose d’un assistant IA intégré. Il est capable d’analyser des documents, de répondre aux questions et de collecter des données. Ce modèle a été conçu pour diminuer les charges de travail et accroître la productivité. Proposé au tarif de 2019,66 euros, il se présente comme un outil novateur pour les professionnels.
Les recherches indiquent également que seulement 25 % des travailleurs utilisent l’IA au quotidien dans leur métier. Cette confusion concernant l’implémentation de l’IA représente un blocage pour beaucoup. HP souhaite surmonter ces barrières grâce à des outils plus accessibles. L’IA est perçue comme un moyen de faciliter les tâches simples et récurrentes. Cela permettrait aux employés de se concentrer sur l’essentiel et de récupérer du temps libre.
HP n’est pas seul sur ce marché en expansion. D’autres entreprises telles que Lenovo ont également intégré des solutions IA. Leurs ventes de PC compatibles IA ont augmenté de 228 % au second trimestre 2024. Cette tendance démontre un intérêt croissant pour des outils qui optimisent le travail. HP espère stimuler l’adoption de l’IA et maximiser la productivité des compagnies.
À travers ces nouvelles initiatives, HP désire transformer la façon dont l’IA est perçue et appliquée. Le programme Amplify AI et le HP OmniBook Ultra 14 Flip offrent des solutions en phase avec les besoins contemporains. HP vise à simplifier le quotidien des travailleurs et à renforcer leur productivité grâce à l’intelligence artificielle.
Nigel Pickford a passé sa vie à chercher des trésors engloutis—sans quitter la terre ferme.
La campagne présidentielle de l’intellectuel public pourrait faciliter le chemin de Donald Trump vers la Maison Blanche. Pourquoi ne veut-il pas se retire?
La victoire des Dodgers en World Series avait tout : un lancer astucieux, des héroïsmes en fin de match, et un rappel que le sport donne un exemple civique.
Louisa Compton supervise la couverture pour Channel 4, essayant d’expliquer un cycle électoral étrange à une Grande-Bretagne désorientée.
Sous l’assaut de tous les côtés, dans les dernières semaines de sa campagne, l’ancien Président parle souvent d’ennemis de l’intérieur, y compris ceux qui essaient de prendre sa vie.
Seulement lorsque la mémoire s’est estompée et qu’il a lutté pour la retenir a-t-il réalisé, avec un sursaut, qu’il avait rappelé quelque chose.
Dès les premiers jours de la course présidentielle américaine, les médias internationaux ont souligné le côté dystopique des discours du candidat républicain. Le quotidien britannique The Guardian rapportait en mars 2024 qu’en dépit de sa victoire lors du Super Tuesday, le candidat Trump avait délivré un discours lugubre et peu enclin à enthousiasmer les foules. À une semaine du vote, le ton de l’ex-président s’est encore intensifié : il enchaîne les déclarations extravagantes et complotistes, déverse quotidiennement des flots d’insultes à l’encontre de sa concurrente démocrate. Les interrogations sur sa santé mentale abondent, et pourtant rien n’y fait : malgré ses nombreux dérapages, Trump demeure en lice et le résultat de l’élection semble d’une imprévisibilité accrue. Les origines de cette incertitude sont certainement diverses, mais il en existe une peu souvent considérée à sa juste mesure : il s’agit de la dimension eschatologique propre au discours trumpien. Depuis son arrivée en politique, le milliardaire a toujours navigué, consciemment ou non, entre tropes et modèles bibliques. Il aime se présenter comme un homme ayant péché, mais élu par Dieu. De nombreux analystes ont noté sa propension à s’afficher tel un nouveau Cyrus, un nouveau David, voire le Dernier Empereur du Monde tel que décrit dans la tradition du Pseudo-Méthode, auteur anonyme d’une apocalypse célèbre datant du VIIe siècle après Jésus-Christ. On se souvient notamment qu’en 2019, lors de négociations avec la Chine, il avait lancé, devant les caméras : I am the Chosen One ! (« Je suis l’Élu ! »). Depuis qu’il est revenu dans la bataille présidentielle, Trump a emprunté de nouveau cette voie, en soulignant de manière toujours plus accentuée l’aspect apocalyptique de ses discours. Pour lui, c’est le cœur même de l’Amérique qui est en péril sous la présidence de Joe Biden. Selon ses dires, les démocrates auraient délibérément ruiné l’économie du pays. D’ailleurs, il…
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