Les 50+ meilleurs cadeaux pour les joueurs qu’ils n’auront pas déjà
Trouvez les meilleurs cadeaux pour les joueurs en 2024, y compris des consoles, des accessoires, des nouveautés et plus encore.
Trouvez les meilleurs cadeaux pour les joueurs en 2024, y compris des consoles, des accessoires, des nouveautés et plus encore.
OpenAI a annoncé une application de bureau ChatGPT pour Windows et des mises à jour pour l’application de bureau macOS existante. Voici les détails.
Comment la musique fake cible les vrais artistes. a:hover]:text-black [&>a:hover]:shadow-underline-black dark:[&>a:hover]:text-gray-e9 dark:[&>a:hover]:shadow-underline-gray-63 [&>a]:shadow-underline-gray-13 dark:[&>a]:shadow-underline-gray-63″>Une capture d’écran de l’album fake d’Annie, prise le 12 octobre. Une sorte de bouillie IA avait été téléchargée sur la page de l’artiste HEALTH sur Spotify, l’un des trois faux albums qui apparaîtraient sous leur nom ce week-end-là. Le compte X du groupe a fait quelques blagues à ce sujet, les albums ont finalement été supprimés, et je suis retourné à mes affaires. Puis, le week-end suivant, j’ai vu qu’un nouvel album d’Annie était sorti. Cet album était plus plausible – Annie venait de sortir un nouveau single, “The Sky Is Blue” – mais quand j’ai cliqué, je ne pouvais pas le trouver dans la liste des titres de chansons. Confus, j’ai joué l’album et j’ai entendu des chants d’oiseaux et un instrumental vaguement New Age. Cela… ne ressemblait pas à Annie. Alors j’ai fait ce que ferait n’importe quelle personne normale : j’en ai parlé dans mon groupe de discussion. C’est ainsi que j’ai appris que cela arrivait à d’autres artistes, comme à beaucoup d’artistes, et que cela se produisait depuis des mois. (“J’en ai un qui apparaît souvent dans mon radar de nouvelles,” a dit mon pote Gordon.) Pendant un certain temps, des artistes de metalcore comme Caliban, Northlane et Silent Planet avaient été ciblés. Mais beaucoup d’artistes avec des noms d’un seul mot, comme Swans, Asia, Standards, et Gong, l’étaient aussi. Un nouvel album apparaîtrait sur la page Spotify d’un artiste, portant leur nom mais sans ressemblance avec leur musique. Parfois, comme avec les faux albums de HEALTH, ils disparaîtraient après quelques jours. D’autres fois, ils persisteraient indéfiniment, même contre la volonté de l’artiste. a:hover]:text-black [&>a:hover]:shadow-underline-black dark:[&>a:hover]:text-gray-e9 dark:[&>a:hover]:shadow-underline-gray-63 [&>a]:shadow-underline-gray-13 dark:[&>a]:shadow-underline-gray-63″>Pouvez-vous repérer le faux ? Pour moi, tout cela a soulevé une question évidente…
Être entouré de livres n’immunise pas contre les fluctuations économiques. Depuis le printemps passé, Emilie Grieu, créatrice de la librairie Les Pipelettes à Romainville (Seine-Saint-Denis), a « souvent été à découvert dès le dix de chaque mois », partage-t-elle. « C’est inédit », précise cette quadragénaire dynamique.
Pour les environ 3 700 librairies indépendantes présentes en France (au sein de 25 000 points de vente de livres au total, y compris hypermarchés et stations-service, selon le ministère de la Culture), l’année 2024 s’annonce comme un challenge. Après l’enthousiasme des lecteurs et lectrices pour leur librairie de quartier, qualifiée de « commerce essentiel » durant la crise de la Covid, les ventes stagnent.
Selon l’Observatoire de la librairie française, les ventes reculent même pour les livres, hors papeterie (- 0,9 % de janvier à septembre 2024 par rapport aux neuf premiers mois de l’an passé).
Pour les plus petites librairies, celles dont le chiffre d’affaires annuel ne dépasse pas 500 000 euros, comme Les Pipelettes, la condition devient alarmante. D’après une analyse du cabinet Xerfi, de nombreux commerces pourraient faire face à la faillite dès l’année prochaine. Unique au monde grâce à la densité de son réseau, essentielle pour le lien social et le tissu territorial autant que pour l’échange d’idées, cette industrie se retrouve prise dans un redoutable effet ciseau.
D’une part, les coûts ont fortement grimpé depuis 2021. L’énergie en tête. Les plus grandes librairies indépendantes, parmi les plus coûteuses à chauffer, ont enregistré une hausse de 150 % de leur facture d’électricité.
Contrairement aux boulangers, d’autres commerçants « essentiels », les libraires n’ont pas bénéficié de tarifs plafonnés. Résultat ? Comme beaucoup de patrons de PME, certains libraires expriment parfois le sentiment de « travailler pour Engie », confie Amanda Spiegel, à la tête de Folie d’encre à Montreuil (Seine-Saint-Denis) et vice-présidente du Syndicat de la librairie française (SLF).
En outre, la flambée des prix des carburants impacte également les frais de transport (+13 % depuis 2021) que supportent les libraires : ils doivent financer l’acheminement des livres commandés et le retour des invendus au distributeur.
Ce n’est pas tout. Les commerces indépendants, généralement situés en centre-ville, doivent aussi gérer la hausse des loyers, un important poste de dépenses. Dans le quartier populaire en transformation de Romainville, Emilie Grieu doit débourser 3 000 euros par mois pour 70 mètres carrés de surface de vente en rez-de-chaussée et un sous-sol de 30 mètres carrés.
Concernant le personnel, souvent mal rémunéré, il a fallu augmenter les salaires (+10 % de masse salariale) pour faire face à l’inflation, atteignant en 2024 un salaire moyen de 1 720 euros nets, somme modeste pour des diplômés engagés et cultivés.
Dans les librairies indépendantes, la masse salariale représente une part plus conséquente du budget (environ 20 % contre 14 % à la Fnac, 10 % en grande surface, 5 % sur Amazon). C’est logique : conseiller les clients, valoriser des titres méconnus et inviter des auteurs requiert du temps et des compétences. « C’est vital », résume Emilie Grieu, qui emploie Cécile, libraire expérimentée en CDI, et un stagiaire, Alexis, apprenti libraire et passionné de sciences humaines.
À l’opposé, les prix ne suivent pas. Fixés par les éditeurs selon la loi Lang de 1981 sur le « prix unique du livre », ils n’ont crû que de 2,2 % en moyenne en 2024. Cette législation a le mérite de protéger l’écosystème des librairies indépendantes de la concurrence des grandes surfaces, sauvegardant ainsi la pluralité éditoriale.
Le souci, c’est que les remises accordées par les éditeurs aux libraires, d’environ un tiers du prix de vente, ne suffisent plus : « Il faudrait obtenir 38 % à 40 % », estime Emilie Grieu. En conséquence, les marges des librairies se resserrent. Cette année, elles ne dépassent pas 1 % de leur chiffre d’affaires moyen, l’un des taux de marge les plus bas dans le commerce de détail, « avec les fleuristes », nous informe-t-on.
Les livres deviendraient-ils jetables ? En termes logistiques, c’est certain. Toutes catégories confondues, du manuel scolaire au livre de cuisine en passant par le roman, environ 75 000 publications voient le jour chaque année, soit trois fois plus que dans les années 1990. Et ce, alors même que la population n’a augmenté que de 20 % et que les Français ne lisent pas davantage.
Bien que cette richesse puisse illustrer une diversité bienvenue dans l’offre de lecture, il en résulte qu’à peine arrivées en rayon, les nouveautés doivent céder la place à des titres encore plus récents. « Nous passons notre temps à décharger et à remplir des cartons », témoigne Anne Martelle. La production éditoriale pousse les cadences à un rythme insoutenable :
« On n’a plus le temps de lire ! s’écrie sa collègue Amanda Spiegel. Dans ces conditions, on ne parvient plus à faire découvrir les livres, on perd l’essence même du métier. »
Cette précipitation impacte également l’empreinte carbone de la filière : l’écologie était l’un des thèmes majeurs des rencontres nationales de la librairie, tenues à Strasbourg en juin dernier. Au début de l’année, l’association de libraires indépendants Pour l’écologie du livre a lancé une « trêve des nouveautés », sous l’égide de sa cofondatrice Anaïs Massola, libraire au Rideau rouge, à Paris.
Ingénieux, les participants ont refusé certains ouvrages selon des critères délibérément surprenants (comme la couleur de la couverture…). Cette initiative incitera-t-elle les éditeurs à réduire leur production (un peu) ? Les libraires auraient tout à y gagner, car le rythme élevé des commandes et des retours pèse sur leur budget.
Et après ? « Déjà sur le fil, écrivent les spécialistes de Xerfi, la situation financière des librairies (indépendantes, NDLR.) pourrait encore se détériorer dans les années à venir ». Dès 2025, précisent-ils, les plus petites pourraient encaisser des « pertes considérables » et des fermetures.
Cette vulnérabilité menace la pluralité de l’offre culturelle en France et soulève également une question politique. Dans un contexte économique délicat, les libraires se trouvent en effet exposés aux manœuvres de riches entrepreneurs d’idées, souvent proches de l’extrême droite. En septembre 2023, Vivendi, le groupe dirigé par Vincent Bolloré, a acquis l’Écume des pages, célèbre enseigne parisienne située à Saint-Germain-des-Prés.
Cet automne, un autre milliardaire « patriote » (sic) s’intéresse aux librairies indépendantes : Pierre-Edouard Stérin, leader du fonds Otium Capital, finance le projet nommé « Périclès » à hauteur de 150 millions d’euros pour « l’enracinement, l’identité » et « l’anthropologie chrétienne ».
Après avoir échoué l’an passé à acquérir le groupe Editis (Belfond, Julliard, Robert Laffont…) puis, en août dernier, le magazine Marianne, il a publié une annonce. Il recherche « un entrepreneur » afin de constituer d’ici cinq ans « un réseau de 300 librairies indépendantes dans les régions françaises » qui organiseraient « plus de 5 000 événements culturels locaux ». L’objectif ? « Réinventer le concept de librairie multi-activités avec une offre culturelle au service des familles ». Une bataille culturelle est en cours.
Cela fait plusieurs mois que l’on attend, et Appel Intelligence est finalement accessible avec des innovations qui arrivent sur l’iOS 18.1. Si vous avez un iPhone compatible, vous pouvez dès à présent expérimenter les nouvelles capacités d’intelligence artificielle d’Apple. En particulier, les modèles iPhone 15, 15 Pro Max et iPhone 16.
Voici pourtant les fonctionnalités récentes d’Apple Intelligence que vous devez absolument découvrir.
L’iPhone 16 et l’iPhone 16 Pro Max profitent de nombreuses améliorations concernant leur appareil photo.
Ces deux modèles sont désormais capables de filmer en 4K à 120 images par seconde et d’utiliser la personnalisation audio avec Audio Mix.
Ce n’est pas tout, avec la mise à jour iOS 18.1, Apple Intelligence propose également une autre nouveauté : la fonctionnalité Clean Up.
Cette fonctionnalité permet de l’édition d’images, ou en d’autres termes, de retoucher des photos, comparable à Magic Editor des modèles Pixel 9 Pro et Pixel 9 Pro XL.
La version d’Apple a cependant la spécificité d’analyser l’image automatiquement pour repérer les éléments à ajuster.
Grâce à son IA, un simple geste de sélection ou un cercle autour de l’élément indésirable suffit pour que Clean Up l’élimine tout en reconstruisant intelligemment l’espace concerné.
Les assistants vocaux ont pris beaucoup de popularité récemment, et je ne pouvais pas manquer de vous parler de la nouvelle version de Siri, optimisée par ChatGPT.
Après avoir effectué la mise à jour vers l’iOS 18.1, vous remarquerez que Siri offre des réponses plus précises.
De plus, une nouvelle interface visuelle sera probablement visible après avoir activé Siri avec Apple Intelligence. Ce dernier se manifeste désormais avec un motif multicolore dynamique qui recouvre entièrement l’écran.
En ce qui concerne les fonctionnalités, Siri a affiché des améliorations majeures dans ses interactions. Il propose maintenant des réponses plus naturelles et une plus grande compréhension des dialogues.
Sa capacité à suivre le fil de la discussion est également remarquable. Cela permet d’enchaîner plusieurs questions tout en conservant le contexte initial.
Un autre point fort que j’ai observé se situe dans la fluidité des échanges avec l’assistant d’Apple.
Il est désormais possible d’interrompre Siri en plein discours pour apporter une précision ou poser une question complémentaire.
Pour ceux qui préfèrent écrire, une simple double pression sur la partie inférieure de l’iPhone 16 permet de passer en mode texte.
Une autre fonctionnalité à retenir dans l’iOS 18.1 : les outils d’écriture soutenus par Apple Intelligence.
Ce sont effectivement une série d’outils qui vous permettent de transformer et surtout de contrôler vos écrits.
Il y a notamment la fonction Writing Tools qui aide à réinventer le contenu tout en gardant l’essence du message.
C’est un outil que je trouve enrichissant pour explorer les variations d’un titre ou pour stimuler notre créativité.
Writing Tools propose également de modifier le style de communication en ajustant le ton des messages, que ce soit formel, décontracté ou concis.
Et oui, certains peuvent avoir des réticences à confier leur écriture à l’intelligence artificielle. Pourtant, cet outil est une ressource précieuse pour de nombreux utilisateurs dans leur communication quotidienne.
Bien qu’Apple n’ait pas encore mis au point une fonction d’IA similaire au système d’appel de Google, iOS 18.1 améliore significativement les fonctionnalités téléphoniques de l’iPhone 16.
Alors que la messagerie vocale visuelle était déjà une caractéristique emblématique des iPhone, le système évolue désormais vers une solution encore plus complète.
Désormais, chaque utilisateur peut gérer ses appels directement tout en tirant parti des capacités d’enregistrement et de transcription d’Apple Intelligence.
Le système annonce automatiquement l’enregistrement au début de l’appel via un message audio.
À la fin de la conversation, les transcriptions sont disponibles dans l’application Notes, avec un résumé succinct.
Après avoir délaissé l’application Mail d’Apple pour Gmail durant plusieurs années, iOS 18.1 propose assez d’améliorations pour inciter un retour vers la messagerie native de l’iPhone. Grâce à ses nouvelles fonctionnalités, l’expérience utilisateur est considérablement enrichie.
À mon sens, l’amélioration la plus remarquable est l’intégration d’Apple Intelligence pour le tri intelligent des courriels.
Le système identifie automatiquement les messages importants et les regroupe sous un onglet Priorité dans la boîte de réception. Cela permet d’éviter de devoir parcourir manuellement chaque message pour retrouver les communications cruciales.
Apple Intelligence est également doté de la capacité à créer des résumés automatiques des emails directement dans votre boîte de réception.
Cela devrait permettre de déterminer rapidement la pertinence de chaque message, offrant ainsi un gain de temps considérable par rapport à la lecture intégrale de chaque email.
En outre, l’application Mail sur iOS 18.1 s’enrichit également de Smart Replies. Il s’agit d’une fonction alimentée par Apple Intelligence qui propose des réponses automatiques contextualisées, facilitant encore plus la gestion quotidienne des emails.
Voilà ! Ces cinq nouvelles fonctionnalités de l’iOS 18.1, chacune alimentée par Apple Intelligence, n’attendent que vous. Assurez-vous de vérifier si votre appareil supporte Apple Intelligence. Vous pouvez trouver la liste des appareils compatibles avec Apple Intelligence dans cet article.
HP s’adapte aux exigences croissantes des employés en matière d’efficacité et d’intégration de l’IA. L’entreprise a présenté des innovations destinées à alléger les responsabilités administratives. Parmi ces nouveautés figurent le programme Amplify AI et le PC OmniBook Ultra 14 Flip.
De récentes études révèlent que de nombreux employés britanniques abandonnent leur pause déjeuner pour rattraper leur charge de travail. Environ 40 % des travailleurs éliminent régulièrement cette pause. Pour répondre à cette situation, HP introduit le programme Amplify AI. Ce programme est doté d’outils, de formations et de certifications. Son objectif est de fournir aux entreprises des ressources afin d’optimiser l’utilisation de l’IA.
Une étude antérieure a montré que seulement 42 % des employés estiment que l’IA peut alléger les tâches répétitives. Cependant, HP souhaite faire évoluer cette vision. Neil Sawyer, directeur général pour l’Europe du Nord-Ouest chez HP, souligne la signification de l’IA pour l’avenir du travail. Selon lui, l’IA permettrait aux travailleurs de se concentrer sur des tâches plus essentielles et de mieux profiter de leur journée.
En complément du programme Amplify AI, HP lance son PC IA de nouvelle génération : le HP OmniBook Ultra 14 Flip. Cet ordinateur portable 2-en-1 dispose d’un assistant IA intégré. Il est capable d’analyser des documents, de répondre aux questions et de collecter des données. Ce modèle a été conçu pour diminuer les charges de travail et accroître la productivité. Proposé au tarif de 2019,66 euros, il se présente comme un outil novateur pour les professionnels.
Les recherches indiquent également que seulement 25 % des travailleurs utilisent l’IA au quotidien dans leur métier. Cette confusion concernant l’implémentation de l’IA représente un blocage pour beaucoup. HP souhaite surmonter ces barrières grâce à des outils plus accessibles. L’IA est perçue comme un moyen de faciliter les tâches simples et récurrentes. Cela permettrait aux employés de se concentrer sur l’essentiel et de récupérer du temps libre.
HP n’est pas seul sur ce marché en expansion. D’autres entreprises telles que Lenovo ont également intégré des solutions IA. Leurs ventes de PC compatibles IA ont augmenté de 228 % au second trimestre 2024. Cette tendance démontre un intérêt croissant pour des outils qui optimisent le travail. HP espère stimuler l’adoption de l’IA et maximiser la productivité des compagnies.
À travers ces nouvelles initiatives, HP désire transformer la façon dont l’IA est perçue et appliquée. Le programme Amplify AI et le HP OmniBook Ultra 14 Flip offrent des solutions en phase avec les besoins contemporains. HP vise à simplifier le quotidien des travailleurs et à renforcer leur productivité grâce à l’intelligence artificielle.
Depuis qu’elle a débarqué au Japon à la fin des années 1970, la scène punk rock est restée une partie intégrante du paysage musical local. Aujourd’hui, le cœur du punk rock japonais bat dans des pièces exiguës et des lieux souterrains de Tokyo et d’Osaka comme Zone-B, Rathole, Hokage et King Cobra, pour n’en citer que quelques-uns. Ces lieux sont le théâtre de tous les genres de punk. Que vous aimiez le Oi !, le hardcore, le crust, le pop punk, le ska, le psychobilly ou autre, vous trouverez forcément un concert pour vous. Au-delà des crêtes, des tatouages et du style, les Japonais ont également adopté la philosophie des débuts du punk rock. Les tournées sont organisées et financées par les Japonais eux-mêmes, la musique est produite indépendamment et il existe de nombreux magasins de disques locaux qui s’adressent aux punks en quête de nouveautés. À bien des égards, le caractère incisif et bruyant du punk rock japonais reflète celui des groupes occidentaux qui l’ont influencé, mais la scène japonaise est aussi radicalement différente. Les punks d’ici, comme dans d’autres parties du monde, sont animés par un fort sentiment anti-raciste et souvent issus de mouvements anti-gouvernementaux. Les concerts de punk japonais ont aussi un style qui leur est propre. Il est courant de voir le public se déchaîner dans un « circle pit », puis se courber poliment pour se frayer un chemin à travers la foule pour se chopper une autre bière. Dans les concerts de groupes de hardcore, les jeunes donnent des coups de pied en moulinette et des coups de poing en l’air, puis reprennent une attitude plus sérieuse entre les chansons. Les chanteurs au crâne rasé font un doigt d’honneur à la foule et hurlent des hymnes en chœur, tandis qu’entre les chansons, ils se courbent…
Illustration de la compilation fêtant les 10 ans d’Antinote. Dans la vie de tout un chacun, vient fatalement ce moment où l’on n’est plus trop jouasse de fêter son anniversaire, encore moins de le crier sur tous les toits. Passé un certain âge, on commence même à entrer dans une forme de doux déni, en voulant faire croire aux autres ainsi qu’à soi-même qu’on a toujours 18 ans, alors que le corps, lui, ne trompe absolument personne. Publicité À l’échelle d’un label de musique à l’esthétique affirmée et à la force de frappe commerciale relative tel qu’Antinote, le cap des dix ans, ce n’est pas encore le moment pour se regarder dans le miroir en pleurant sur ses vertes années, mais ce n’est plus vraiment non plus le temps des fêtes galantes et des courses dans l’herbe avec une pâquerette dans la bouche au ralenti. Alors quoi ? Son maître-d’œuvre Zaltan, Quentin Vandewalle de son vrai nom, le reconnaît en substance : « C’est vrai que dix ans, c’est un peu bâtard. A priori ce n’est pas le moment le plus sexy, t’as un peu le cul entre deux chaises. Limite, tu te dis que c’était cool il y a dix ans. » Ce qui n’empêche pas, loin s’en faut, le crew parisien d’avoir préparé pour l’occasion une bamboche d’anniversaire digne de ce nom en décembre dernier à la Station Gare des Mines, avec la compile qui va avec, la tournée des copains et les T-shirts de circonstance. Dix ans, c’est aussi le moment de se poser sur ses bases, d’observer le chemin parcouru, souvent contre vents et marées (et Covid), dans cette économie si précaire (d’aucuns parleraient volontiers de gouffre financier) que constitue l’écosystème d’un petit label indépendant parisien de musique électronique de qualité, pointue et défricheuse à la…
Extrait du documentaire « Les nouveaux gabbers ». Apparu dans les années 90 aux Pays-bas, le mouvement gabber devient rapidement un véritable phénomène dans tout le nord l’Europe. Au tournant des années 2000, il tombe peu à peu en disgrace et beaucoup se mettent à trouver ce style ringard. C’était sans compter sur une poignée de fans hardcore, pour qui c’était tout sauf un effet de mode. Pour eux, Gabber, c’est pas juste un style musical ou une tenue, c’est un état d’esprit. C’est une communauté pour « ceux qui se sentent en marge de la société ». Ils ont tenu bon et continué de jouer ces doux beats aux styles inimitables jusqu’à aujourd’hui. Publicité À travers les portraits intimes de Gabbahontaz, Earlyvenus ou encore DJ Dissoactive on vous amène à découvrir les nouvelles pousses de cette sous-culture musicale hardcore qui est, aujourd’hui, en train de renaitre et de gagner des nouveaux adeptes, notamment grâce aux réseaux sociaux. Survet’ Australian, Sweats Thunderdome, Nike Air Max Classics, coupes Cherry Moon, danse Jumpstyle (aka Hakken) et caissons de basse dans la caisse : tout y est pour vous faire vibrer et rêver de prendre un aller simple pour Rotterdam. Pensez à activer les sous-titres français. Thibault est sur Instagram VICE France est sur TikTok, Twitter, Insta, Facebook et FlipboardVICE Belgique est sur Instagram et Facebook. Dernière étape pour t’abonner à la newsletter VICE… En vous abonnant à la newsletter de VICE, vous acceptez de recevoir des courriers électroniques qui peuvent contenir de la publicité ou du contenu sponsorisé. Source
Please active sidebar widget or disable it from theme option.
{{ excerpt | truncatewords: 55 }}
{% endif %}