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Apprenez comment ces abeilles ont entravé le projet nucléaire de Meta destiné à alimenter ses centres de données en IA. Une situation incroyable qui soulève des interrogations, notamment sur les répercussions de la technologie sur l’environnement !
Meta, la société mère de Facebook, a mis en pause son projet audacieux de centre de données IA fonctionnant avec de l’énergie nucléaire. La raison ? La découverte inattendue d’une espèce rare d’abeilles sur le site sélectionné. Voici comment cet événement pourrait véritablement freiner les ambitions de Meta en matière d’énergie propre et de capacité de calcul.
Les exigences énergétiques de Meta pour ses modèles d’IA connaissent une forte augmentation, nécessitant des solutions toujours plus puissantes. La société avait envisagé l’énergie nucléaire comme une alternative propre et fiable pour diminuer son empreinte carbone. Cependant, avec la découverte de cette espèce protégée, l’IA se heurte à une impasse environnementale.
Bien que petite, la présence de cette abeille constitue un enjeu de taille. Les abeilles rares comme celles-ci jouent un rôle essentiel dans la pollinisation, qui est vitale pour la biodiversité et la production alimentaire. Ce projet pourrait donc perturber leur habitat et déséquilibrer les écosystèmes locaux. Meta ne pourra pas faire abstraction de ce dilemme !
Meta n’est pas la seule firme technologique à se tourner vers le nucléaire. Google fait des investissements dans des réacteurs nucléaires modulaires (SMR), et Microsoft vient de conclure un contrat pour gérer une centrale nucléaire inactive. La course à l’énergie nucléaire démontre une quête intense pour des solutions énergétiques durables pour des technologies consommatrices d’énergie.
Le cas de Meta illustre le défi croissant du secteur technologique : créer des infrastructures de plus en plus sophistiquées tout en respectant les exigences de préservation de la biodiversité. Je me demande si Meta envisage d’autres sources d’énergie ou si elle va simplement déplacer ses projets futurs.
En attendant, cet incident met en avant la complexité de l’expansion technologique dans un monde de plus en plus conscient des problématiques environnementales. La question demeure : les entreprises du secteur technologique vont-elles s’ajuster aux besoins de la planète, ou envisager d’autres moyens pour contourner ces obstacles ?
Le climat est inquiétant et les motifs d’indignation ou de découragement sont multiples. Néanmoins, à l’approche de l’automne, il est essentiel de partir à la recherche des champignons… et des nouvelles encourageantes. Ce mois-ci, focalisons-nous sur la production d’électricité issue des énergies renouvelables.
La dernière centrale au charbon au Royaume-Uni a été mise hors service le 30 septembre. C’était un challenge considérable pour le berceau de l’industrialisation. Lors de l’approbation de la première directive européenne sur l’électricité d’origine renouvelable en 2001, le charbon constituait 40 % de la production électrique. En réalité, il n’a pas été remplacé par le gaz, dont l’utilisation a également diminué, mais plutôt par l’électricité renouvelable, qui atteint 43 % en 2023.
Du côté de l’Allemagne, la sortie du nucléaire est bien avancée depuis 2023 et la tendance se maintient avec 52 % d’électricité renouvelable dans le mix énergétique, alors que la production fossile est à son plus bas historique, environ 40 %.
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Pour saisir l’enjeu, il est pertinent de considérer à quoi ressemblait le paysage électrique européen au début de ce siècle, alors qu’un objectif de 22 % avait été fixé pour 2010.
En 2000, les énergies renouvelables représentaient 15 % de la production électrique en Europe (surtout de l’hydroélectricité), les énergies fossiles plus de 50 % et le nucléaire environ un tiers.
En 2023, c’est-à-dire en moins de 25 ans, les renouvelables atteignent 44 % (dont 27 % pour l’éolien et le solaire), les énergies fossiles 33 % et le nucléaire 23 %.
Il est vrai que le bilan électrique mondial est encore dominé par les combustibles fossiles, notamment le charbon (35 %), mais les énergies renouvelables représentent tout de même presque un tiers. La dynamique est d’ailleurs forte puisque ces énergies constituent plus de 85 % des nouvelles capacités installées.
Selon l’Agence internationale des énergies renouvelables (Irena), la production d’énergie renouvelable est devenue la moins coûteuse pour les projets récents à l’échelle mondiale, et l’expansion observée depuis 2000 a permis d’économiser plus de 400 milliards de dollars en combustibles. De plus, plus de 16 millions de personnes sont employées dans le secteur à l’échelle mondiale, dont près de deux millions en Europe.
Et qu’en est-il de la France ? Unique pays de l’Union européenne à ne pas avoir satisfait à ses objectifs en la matière, la France est également touchée par la tendance mondiale. La production d’électricité renouvelable a en effet représenté près de 30 % en 2023 (doublement par rapport au début du siècle), l’équivalent de 20 réacteurs nucléaires. Cette même année, plus de 5 000 MW (correspondant à la puissance de cinq réacteurs nucléaires) ont été intégrés au réseau électrique. Il est probable que la production renouvelable atteigne la moitié de celle du nucléaire dès l’année suivante.
La production d’électricité a déjà largement engagé sa transition, alors même que la consommation diminue ou se stabilise dans de nombreux pays. Cela ne suffit naturellement pas à crier victoire, mais admettons tout de même les bonnes nouvelles lorsqu’elles se présentent !
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