The Northeast Is Becoming Fire Country
Les cartes des récents incendies dans la région ressemblent à celles de la Californie en août, avec des centaines de points rouges.
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L’histoire unique de El Museo lui a permis d’être à l’avant-garde de ce qui est désormais plus largement accepté comme la raison d’être des musées.
Jon Sperling a secrètement propagé une espèce non indigène à travers le Nord-Est. “C’est fou ce que ce gars faisait,” a déclaré un biologiste.
Et, si ce n’est pas le cas, comment pouvez-vous en obtenir ?
Mon cerveau tourne en boucle quand on me dépose au centre. Je trippe encore et quand je ferme les yeux, différentes réalités possibles défilent devant moi. Si je me concentre assez sur l’une d’entre elles, j’arriverai à rentrer dedans.
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Mon cerveau tourne en boucle quand on me dépose au centre. Je trippe encore et quand je ferme les yeux, différentes réalités possibles défilent devant moi. Si je me concentre assez sur l’une d’entre elles, j’arriverai à rentrer dedans.
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Un film remarquable est-il simplement un film qui a presque été, si ce n’est mauvais ou raté, du moins étrange ? La sensation de sa grandeur n’est-elle pas celle d’une étrangeté devenue évidence ? Une perception d’un monde improbable et pourtant indiscutable ? Un univers qui n’existe pas mais qui, durant deux heures, se transforme en ce qui est unique, notre monde en somme ? Les protagonistes du dernier long-métrage d’Alain Guiraudie sont peu nombreux. Les décors, eux, sont ceux d’un hameau du Gard, comprenant une maison, une ferme, une église et une forêt : rien de bien extraordinaire. La dramaturgie est sommaire : chaque fois que Jérémy, de retour à Saint-Martial pour les funérailles de son ancien patron, sort se promener, il croise une connaissance. Sans explication aucune : chacun apparaît simplement au détour d’un bois, au bord d’un lit ou à la croisée d’une route. On pourrait presque croire que l’on assiste à une comédie de boulevard, les sous-bois et les automobilistes remplaçant juste les placards. Les mêmes scènes se reproduisent, autour d’une table pour l’apéritif ou dans les bois pour la récolte des cèpes. À l’identique ou presque. Lorsqu’un corps disparait, l’enquête policière se déroule avec apathie et même complaisance : à la place de la police, n’importe quel observateur aurait rapidement identifié le coupable. Les dialogues oscillent entre sagesse rurale et réflexions métaphysiques. C’est que l’un des personnages est prêtre, mais d’une manière étrange : demandant à ce qu’on le confesse – au lieu de l’inverse – et tenant des discours excentriques sur le besoin de la violence dans ce monde. La cause guiraudienne a toujours tourné autour du désir. Elle l’est plus que jamais dans Miséricorde. La liberté de Guiraudie, bien sûr, qui depuis un quart de siècle a habitué son public à emprunter des chemins peu conventionnels. Des chemins cinématographiques mais aussi littéraires,…
WEIZMANN INSTITUTE OF SCIENCEDes personnes aux odeurs similaires sont plus susceptibles de venir ami.e.s. SENS – Et si les odeurs jouaient un rôle pour nouer des amitiés? Si l’odorat est connu pour être utilisé à des fins de séduction et de reproduction chez de nombreuses espèces (humains compris), son utilité sociale ne s’arrêterait pas là. C’est en tout cas ce qu’affirme une nouvelle étude de chercheurs israéliens. Publiée dans la revue scientifique Sciences Advance ce vendredi 24 juin, on y découvre que les personnes ayant des odeurs corporelles similaires ont plus de chances de s’entendre et de devenir amis. Ainsi, des duos ou groupes d’amis ont très probablement des odeurs plus similaires que des groupes d’inconnus pris au hasard. “Nos résultats impliquent que nous sommes peut-être plus semblables à d’autres mammifères terrestres à cet égard que nous ne le pensons généralement”, écrivent plusieurs auteurs de l’étude, les chercheurs Inbal Ravreby, Kobi Snitz et Noam Sobel. Odeurs, amis et nez électronique Le rôle que l’odeur peut jouer dans nos amitiés est depuis longtemps assez flou. Pour étudier la question, les chercheurs ont recruté 20 duos d’amis de même sexe en Israël, qui ont déclaré avoir immédiatement sympathisé lors de leur première rencontre. Les chercheurs ont alors prélevé des échantillons de leurs odeurs corporelles à l’aide d’un nez électronique composé d’une multitude de capteurs. L’objectif était par la suite de représenter schématiquement chaque odeur corporelle, afin d’ensuite les comparer. Les résultats ont ainsi révélé que les odeurs des amis étaient plus proches que celles des duos de personnes aléatoirement formées. Afin de ne pas simplement se reposer sur le nez électronique, les chercheurs ont également fait appel à 24 “renifleurs” humains, qui ont abouti aux mêmes résultats. Mieux comprendre les déficiences sociales Autre découverte, les chercheurs estiment qu’un nez électronique qui cartographie les…
Pluton photographiée par la sonde New Horizons. Version optimisée et améliorée à partir d’une image originale de la NASA. Crédit : NASA Plus besoin d’être Thomas Pesquet pour avoir un aperçu de ce que ça fait d’être dans l’espace ou du moins en ce qui concerne l’olfactif. Depuis plusieurs années, de nombreux scientifiques sont obsédés à l’idée de reproduire l’odeur que l’on peut sentir en orbite. Publicité Début 2000, le chimiste britannique Steve Pearce s’est intéressé de près au parfum de l’espace. Ce dernier avait commencé par recréer l’odeur à bord de la station spatiale Mir. Mais il s’agissait là plus de la puanteur d’êtres humains enfermés dans un espace clos sans air frais que de l’odeur de l’espace qui reste bien mystérieuse. À l’intérieur du véhicule spatial, Steve Pearce raconte y sentir une « odeur de transpiration des pieds, un corps qui dégage un parfum rance, le tout avec du dissolvant et de l’essence ». Rien qui ne donne bien envie. Suite à ses premiers travaux, le scientifique est approché par la Nasa qui le met au défi de reproduire l’odeur de l’espace. Le but n’est pas d’assouvir la curiosité des fans d’astronomie mais d’utiliser cette fragrance durant l’entraînement des astronautes sur Terre afin qu’ils s’habituent à l’odeur du vide spatial que beaucoup décrivent par une odeur de grillée bien caractéristique. Parfum qu’il parviendra à reproduire en 2008. Dernièrement, une campagne de financement participatif a proposé de retrouver cette odeur, vérifiée par des astronautes, et de la mettre en bouteille pour la vendre au grand public sous le nom de “Smell of Space”. Le projet a eu un succès retentissant. 614 376 dollars ont été récoltés pour un objectif initial de 1 969$. Dans une interview donnée à CNN, Matt Richmond, à l’origine du crowdfunding parle d’un « mélange…
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