“Wicked” et “Gladiator II” offrent des affrontements nostalgiques et à moitié satisfaisants
Avec un retour musical à Oz et une épopée sanglante de la Rome antique, les studios hollywoodiens parient sur le spectacle à gros budget.
Avec un retour musical à Oz et une épopée sanglante de la Rome antique, les studios hollywoodiens parient sur le spectacle à gros budget.
À l’occasion de ses nouvelles mémoires, l’acteur de “Dune” réfléchit à certaines de ses expériences de lecture formatrices.
De la tendance du “gaming confortable” à une nouvelle génération de compagnons IA, nos appareils essaient de nous envelopper dans un cocon numérique et physique.
Le 4 novembre 2024, les gendarmes de la compagnie de Lodève, dans l’Hérault, ont interpellé six hommes âgés de 21 à 34 ans. Ces suspects sont concernés par l’enlèvement, la séquestration et la violence infligée à un jeune de 19 ans durant la nuit du 11 au 12 septembre dernier.
Le responsable de cet enlèvement, résidant à Clermont-l’Hérault, était convaincu que la victime avait un lien avec le vol de 20.000 euros de drogues commis à son domicile cet été (ou en relation avec la personne réellement responsable).
La victime revendait sur Snapchat, des cigarettes de contrebande achetées en Espagne, ainsi que des drogues correspondant à celles volées. Ses ravisseurs se faisaient passer pour des acheteurs. Le jeune homme, trompé, accepte un rendez-vous à la sortie de son lotissement situé dans la commune de Peret (à 15 km au sud de Clermont-L’Hérault).
Les ravisseurs se présentent à lui comme étant de la DZ mafia, un cartel de drogue originaire des quartiers nord de Marseille, impliqué dans des meurtres et des enlèvements, avec un contexte de trafic de stupéfiants. Leur intention était de l’emmener dans la ZUP de Nîmes pour le mettre à mort, d’après ses dires.
Le jeune homme a ensuite été déshabillé, frappé à coups de poings et de pieds après avoir été confronté à deux gros chiens hostiles. Ces agresseurs présumés avaient pour objectif de le faire céder. Ils n’hésiteront pas à le brûler avec des cigarettes pour l’inciter à parler.
La victime, qui a subi cinq jours d’ITT, a été piégée dans une véritable embuscade. Ce jeune paysagiste a été retenu en otage de 20h00 à 02h00 du matin. Ne fournissant aucune réponse à ses ravisseurs, il a finalement été laissé en pleine nuit, en pleine nature, à mi-chemin entre Peret et Clermont-l’Hérault. Il a fini par marcher jusqu’à chez ses parents avant de déposer une plainte.
Des témoins de l’enlèvement avaient déjà donné l’alerte. Le numéro de la plaque d’immatriculation des suspects avait été noté. Lors des perquisitions début novembre, un revolver a été trouvé, ainsi qu’un grand nombre de munitions, un point américain, une machette, des gants en cuir, 2.000 euros en espèces, ainsi que des stupéfiants.
Les suspects ont été présentés en comparution immédiate le 13 novembre 2024. Toutefois, trois d’entre eux ont sollicité un délai pour préparer leur défense. En attendant leur procès pour enlèvement et séquestration, prévu pour début 2025, ils ont été placés en détention provisoire.
En libérant leur victime, ces derniers ne s’attendaient probablement pas à ce qu’elle porte plainte. Et si elle n’était pas celle qu’ils croyaient ? Selon nos informations, les prévenus reconnaissent au moins avoir été informés de cette séquestration, mais nient y avoir pris part.
Ils risquent jusqu’à 10 ans d’emprisonnement.
Une des notes sur des jurés potentiels disait : « Je l’aimais mieux que tout autre juif Mais Pas Question », puis ajoutait : « Doit Kicker, trop Risqué. »
Déconcertée et désabusée, cette femme a réalisé que le motif de son tatouage avait été conçu par une IA ! Une situation alarmante qui révèle le rôle de la génération d’images par intelligence artificielle dans nos vies quotidiennes.
Aimez-vous les tatouages ? En avez-vous ? Si c’est le cas, l’histoire de Kaarina Vuorinen pourrait vous toucher, car les tatouages sont censés incarner l’esprit et l’unicité de leurs porteurs…
Que se produit-il lorsque la création artistique provient d’une intelligence artificielle ? C’est l’expérience qu’a vécue Kaarina Vuorinen, une passionnée de tatouage âgée de 30 ans venant de Helsinki.
Lors de sa visite chez son tatoueur, Kaarina avait expressément demandé un tatouage de type épée gothique. Tout semblait se dérouler normalement, jusqu’à ce que, au cours de la séance, son tatoueur révèle avec fierté qu’il avait eu recours à un générateur d’images par IA pour créer le tatouage.
Pour le tatoueur, cette œuvre était une grande réussite, mais pour Kaarina, cela a été un véritable choc. « J’étais sous le choc. J’étais tellement déçue », a-t-elle confié à nos journalistes lors de l’entrevue. Il faut dire que le tatouage généré par IA était esthétiquement plaisant, mais manquait de substance.
Ainsi, si vous êtes un fervent ambassadeur des tatouages ou un artiste dans l’âme, vous pourrez vous mettre à la place de Kaarina. Beaucoup estiment que l’IA est une technologie froide dépourvue de l’humanité requise. Elle ne transmet pas l’émotion inhérente aux œuvres d’art classiques.
Recourir à l’IA pour la conception de tatouages devient de plus en plus courant. Cette tendance est en grande partie favorisée par des générateurs d’images très avancés capables de créer des motifs en quelques instants.
Cependant, pour certains artistes, cette approche frôle le déni. « C’est comme pratiquer du sport sous substances », déclare Matt Doherty, tatoueur du New Jersey. Il insiste sur le fait que l’art du tatouage exige une habileté, de la patience et une inspiration que l’IA ne peut pas répliquer.
Au-delà du manque d’imagination humaine, les critiques pointent un autre problème : les générateurs d’images puisent souvent dans des œuvres préexistantes disponibles en ligne, soulevant ainsi des préoccupations d’éthique et de plagiat. Dans le domaine du tatouage, où chaque design est censé être unique et personnel, ce processus est jugé irrespectueux envers les artistes.
Bien que les images produites par IA paraissent impeccables, il est essentiel de reconnaître que dans le domaine des tatouages, l’IA a des limitations techniques. Matthew Hatch, tatoueur à Toronto, rappelle une expérience avec un client qui avait apporté une image générée par IA montrant des galaxies dans l’univers. « Si nous avions réalisé le tatouage tel quel, cela aurait eu l’air d’un bleu », raconte-t-il.
Pour cet artiste, certains designs, bien qu’impactants sur un écran, ne se traduisent pas fidèlement en tatouages sur la peau, en raison des particularités de l’encre et de la texture cutanée.
Les tatouages, par leur nature, sont des œuvres personnelles et permanentes. Opter pour un design créé par IA pour une chose aussi durable peut sembler risqué. Pour ceux qui apprécient la créativité humaine et la connexion avec leur artiste, l’IA semble dépourvue de l’étincelle qui rend un tatouage véritablement unique. La question se pose alors : un tatouage peut-il réellement être unique s’il est créé par une machine ? Le métier de tatoueur va-t-il également être remplacé par l’IA ? Quelles sont vos impressions ?
Au-dessus de mon bureau, je garde un Post-it avec une citation de la pièce : « Le pire n’est pas si long que nous puissions dire ‘C’est le pire.’ »
Enlisée depuis 2015 dans une crise sans fin, l’économie brésilienne semble cette année faire l’objet d’un nouveau revirement. S’agit-il d’un coup de chance passager ou des résultats favorables des politiques mises en œuvre par Luiz Inácio Lula da Silva (« Lula ») depuis son retour au pouvoir il y a deux ans ?
Lorsqu’il accède à la présidence pour la première fois en 2003, avec un programme de gauche en rupture avec ses prédécesseurs, peu d’analystes parient sur une réussite, tant les défis économiques paraissent colossaux pour un président nouveau, issu des syndicats et sans expérience.
Parmi ces défis : un service de la dette publique colossal atteignant 10,3 % du PIB, la nécessité urgente de reconstituer des réserves en dollars pour stabiliser une monnaie nationale vulnérable aux spéculations, et la contrainte de rembourser les prêts souscrits au Fonds monétaire international (FMI).
Contre toute attente, Lula adopte alors une politique monétaire stricte et une rigueur budgétaire pour rassurer les créanciers brésiliens et anticiper le remboursement au FMI.
Deux ans plus tard, profitant de la montée des prix des matières premières agricoles et minières, qui revigorent l’économie brésilienne, le président change de cap et choisit une politique économique plus expansive.
Conséquence, entre 2003 et 2011, le produit intérieur brut (PIB) croît en moyenne de 4,1 % par an, permettant au Brésil de se hisser au rang de septième puissance économique mondiale. 21 ans plus tard, est-il en train de réitérer sa performance des années 2000 ?
À la fin de 2023, les évaluations des organismes internationaux et des banques convergeaient vers une prévision de croissance modeste (maximum 1 %) pour 2024 et 2025. Un an plus tard, le tableau a radicalement évolué.
Lors du seul second trimestre 2024, l’activité a progressé de 1,4 %, et la croissance pourrait atteindre jusqu’à 3 ou même 3,5 % en 2024. 2025 s’annonce également sous de bons auspices, plaçant le Brésil parmi les rares pays du G20, aux côtés de l’Inde ou des États-Unis, à afficher une croissance dynamique. Cette perspective n’a pas échappé à l’agence Moody’s qui, le 1er octobre, a amélioré la note du pays.
De plus, l’inflation est maîtrisée à moins de 4 %, le taux de chômage est maintenant de 6,9 %, son niveau le plus bas depuis 2014, et le déficit public, initialement projeté à 2,6 % du PIB, sera finalement largement revu à la baisse.
À l’instar des années 2000, le secteur primaire exportateur reste le principal moteur de l’économie brésilienne grâce à une production et des exportations en hausse de soja, maïs, canne à sucre, poulets, porcs et bœufs. En 2024, la production devrait augmenter grâce à l’expansion des terres cultivables.
Bien que la déforestation en Amazonie ait ralenti depuis la fin du mandat de Jair Bolsonaro, elle demeure à des niveaux historiquement élevés, et la déforestation augmente désormais dans le Cerrado, un macro-biome équivalent à trois fois la France, couvrant 23 % du territoire national dans la région centrale.
En parallèle, l’industrie agroalimentaire (abattage, découpe, transformation, congélation) connaît elle aussi une forte croissance, soutenue par des groupes de portée mondiale comme JBS.
Cependant, il est complexe d’attribuer ce rebond impressionnant de la croissance uniquement au boom des matières premières, comme au début des années 2000. En 2024, la contribution de ce secteur à la croissance sera même négative, selon l’Institut brésilien de statistiques IGBE, en raison d’une baisse des prix de certains produits agricoles et miniers, ainsi que des impacts du phénomène climatique El Niño.
Toutefois, le Brésil peut s’appuyer sur le secteur industriel de l’énergie, qui s’affirme de plus en plus comme un pilier de l’économie nationale. Cela est vrai tant pour le pétrole, dont l’industrie est en expansion depuis la découverte de nouveaux gisements il y a vingt ans, que pour le gaz et les énergies renouvelables, qui représentent déjà 88 % du mix électrique national.
À l’image de 21 ans auparavant, Lula soutient les secteurs en croissance par une politique de stimulation de la demande intérieure pour propager cet élan au reste de l’économie. L’objectif : générer de la croissance et de nouvelles recettes fiscales en dynamisant à la fois l’investissement public et la consommation des ménages.
Pour inciter à l’investissement, le gouvernement mise sur les entreprises publiques (notamment le géant pétrolier Petrobras) et la banque publique de développement brésilienne (BNDES). Entre 2022 et 2023, celle-ci a injecté, sous formes de prêts avantageux, l’équivalent de 2,5 points de PIB dans l’économie, principalement pour financer d’importants projets d’infrastructure.
Concernant la demande des ménages, le gouvernement a utilisé plusieurs leviers : une augmentation de plus de 50 % de la « Bolsa Familia » (une allocation familiale versée à 18 millions de foyers), une hausse de 6,8 % du salaire minimum (et des retraites indexées sur ce minimum), soit 3 points de pourcentage au-dessus de l’inflation.
On peut également noter l’augmentation du seuil d’exonération de l’impôt sur le revenu de 1 900 à 2 700 réaux par mois (600 euros) ainsi que l’annulation de 57 milliards de réaux (10 milliards d’euros) de dettes après des négociations avec les créanciers, ce qui a soulagé 15 millions de ménages.
En fin de compte, selon l’IBGE, la consommation des ménages a grimpé de 3,4 % et les dépenses publiques de 2,6 % en l’espace d’un an. Cela peut-il perdurer ? Rien n’est moins sûr.
D’une part, un taux d’intérêt réel élevé, destiné à maîtriser l’inflation, impactera bientôt la croissance. D’autant plus que l’investissement total, qu’il soit privé ou public, demeure désespérément faible au Brésil.
D’autre part, la hausse des importations de 1,4 % au second trimestre 2024 et de 4,1 % sur un an, consécutive à une augmentation de la demande interne, met en lumière le déficit chronique de productivité de l’industrie brésilienne dans son ensemble (hors énergie et agroalimentaire) et des services en particulier.
Surtout, le gouvernement actuel semble ne pas avoir retenu une leçon essentielle des années 2000, à savoir qu’il est illusoire de maintenir un modèle de croissance basé sur la distribution des richesses sans s’attaquer aux revenus élevés.
Or, il n’existe aucun signe indiquant une volonté de faire contribution des plus riches, alors même que le système fiscal brésilien, qui exonère, par exemple, les dividendes de tout impôt, est connu pour sa régressivité.
Cela s’explique politiquement : Lula semble vouloir apaiser le puissant milieu des affaires.
Choisir parmi les nombreuses IA génératives d’images disponibles peut s’avérer complexe, étant donné les spécificités de chaque modèle. À titre d’exemple, Midjourney brille dans la création d’images IA plus réalistes. D’autre part, FLUX se montre plus compétent que Midjourney pour représenter les mains. Pour sa part, Ideogram version 2.0 semble être l’IA génération de visuels la plus prometteuse, capable d’incorporer du texte dans ses créations.
En plus de cela, de nombreuses autres fonctionnalités sont à votre disposition. Notamment la palette de couleurs, le Magic Prompt et la création d’images orientées design.
Rassurez-vous ! Nous allons examiner toutes les fonctionnalités essentielles d’Ideogram 2.0.
Ideogram 2.0 semble transformer la création d’images numériques grâce à ses fonctionnalités que je considère très innovantes.
Avec les bons prompts, vous pouvez aisément obtenir des rendus de qualité impressionnante. Cela rend les textures d’un réalisme saisissant, que ce soit pour la peau, les cheveux ou les matériaux.
C’est comme si l’on contemplait une vraie photographie. Cependant, il est également possible d’obtenir des images réalistes avec Midjourney. Il suffit simplement de bien manipuler les prompts, en utilisant par exemple des invitations négatives.
Ideogram 2.0 semble également briller dans la création de textes, grâce à une fonctionnalité très recherchée par les designers, qui peuvent désormais incorporer des textes parfaits dans leurs projets, que ce soit pour des cartes de vœux personnalisées ou des supports marketing professionnels.
Ce n’est pas tout ! Ideogram 2.0 se distingue également par sa gestion des couleurs et la création d’ambiances adaptées à vos besoins.
Vous pouvez par exemple mettre en place vos propres palettes de couleurs. Cela vous permettra par la suite de garantir une cohérence visuelle parfaite dans vos travaux.
Tout comme Midjourney, Ideogram 2.0 propose la fonction « Describe » ou « Décrire » en français.
Celle-ci permet de uploader une image et de demander à l’IA d’Ideogram de proposer le prompt adéquat.
En plus de cette fonction « Describe », vous bénéficierez également d’une option pour peaufiner vos invites : la fonction « Magic Prompt ».
En finalité, vos prompts seront plus riches en détails, contenant toutes les informations nécessaires pour permettre à Ideogram 2.0 de générer une image plus impressionnante.
En dehors du Magic Prompt et de Describe, Ideogram 2.0 propose aussi une fonctionnalité très utile pour travailler sur les couleurs de vos images.
Vous pouvez ainsi sélectionner parmi divers schémas de couleurs prédéfinis ou concevoir vos propres palettes personnalisées.
C’est l’équivalent parfait pour adapter les teintes de vos créations à vos préférences ou aux exigences de vos projets.
De plus, lorsque vous créez une nouvelle image, le logiciel veille à ce que les couleurs choisies s’accordent avec la palette que vous avez sélectionnée.
Cela permet de maintenir une cohérence visuelle, un aspect que je trouve essentiel pour des travaux de design ou d’identité de marque.
Pour couronner le tout, cette fonctionnalité de palette de couleurs est compatible avec tous les formats d’images supportés par Ideogram 2.0.
Vous pouvez donc l’employer avec une grande variété de types de fichiers, offrant ainsi une flexibilité maximale dans votre processus créatif.
Introducing Ideogram 2.0 — our most advanced text-to-image model, now available to all users for free.
Today’s milestone launch also includes the release of the Ideogram iOS app, the beta version of the Ideogram API, and Ideogram Search.
Here’s what’s new… 🧵 pic.twitter.com/nvD0ogRh2J
— Ideogram (@ideogram_ai) August 21, 2024
La réponse est oui ! Ideogram 2.0 est totalement gratuit. De plus, cette version offre jusqu’à 40 images sans frais par jour. Que pourrait-on demander de plus !
La question que vous devriez vous poser est de savoir si un plan gratuit donne accès à toutes les fonctionnalités offertes par le modèle.
Eh bien, la réponse est encore un grand oui. Vous aurez même accès à une communauté pour découvrir des œuvres existantes et partager vos visuels.
Sinon, Ideogram 2.0 se présente également avec deux options payantes : un abonnement à 8 $ par mois et un autre à 20 $ par mois.
L’abonnement à 8 $ par mois est parfait pour ceux qui nécessitent un accès prioritaire à la génération d’images, d’une meilleure qualité, d’un téléchargement en PNG, et d’un éditeur intégré.
Ce premier plan comprend 400 prompts par mois, l’option de télécharger vos images en PNG ainsi qu’un éditeur d’images.
La seconde option, celle à 20 $, vous offre un accès complet à toutes les fonctionnalités mentionnées précédemment, avec 1000 prompts par mois et une création d’images illimitée.
Tout d’abord, vous devez vous connecter à la plateforme via son site officiel. Ensuite, entrez votre identifiant (vous pouvez le faire en utilisant un compte Google ou Apple) et votre mot de passe.
Une fois dans l’interface, vous verrez une zone dédiée aux prompts où vous allez décrire l’image que vous souhaitez créer.
En bas de la description, dans la fenêtre de saisie de vos prompts, vous trouverez le choix du style avec lequel votre image sera élaborée.
À ce stade, vous avez la possibilité de produire une image en 3D, réaliste, un anime ou un visuel de style design.
Côté palette de couleurs, elle se situe à gauche de la zone de saisie des invites. Au-dessus de cette palette se trouve le bouton d’activation du Magic Prompt ainsi que quelques options pour ajuster la taille de l’image.
Lorsque vous aurez effectué vos réglages, il sera temps d’entrer votre prompt. Pour ma part, j’ai opté pour : « Un anniversaire d’un garçon de 5 ans, orné de ballons colorés et de guirlandes, avec une bannière ‘Joyeux anniversaire’ à l’arrière-plan. Le garçon souriant reçoit un présent de ses parents, un homme et une femme aux apparences joyeuses, debout de chaque côté de lui. Ils tiennent chacun une boîte-cadeau colorée, l’offrant au garçon, entouré d’une ambiance festive et chaleureuse. Un gâteau d’anniversaire avec 5 bougies allumées repose sur une table décorée. ».
Après que le modèle ait terminé de créer l’image, celle-ci devient accessible via l’onglet « Mes images » à gauche en haut de l’interface, à côté du bouton « Explore ».
Et voilà ! Si le résultat ne correspond pas à vos attentes, vous pouvez l’ajuster en ajoutant ou en retirant des détails de votre prompt.
Cela m’amène à la dernière partie de cet article : quelques astuces pour optimiser vos résultats sur Ideogram.
La première étape consiste à choisir intelligemment le style qui conviendra le mieux à votre objectif.
Vous devez donc décider entre réalisme, design ou anime par exemple. N’oubliez pas que chaque style est optimisé pour donner des résultats distincts.
Ensuite, la clé pour obtenir des images de qualité via Ideogram 2.0 réside dans la précision de vos instructions.
Cela signifie que plus vos prompts seront étoffés (couleurs, textures, styles, etc.), mieux l’IA pourra capter vos souhaits et produire des résultats en adéquation avec vos désirs. D’où l’importance de la fonction Magic Prompt.
Vous pouvez également tirer profit de la fonction de palette de couleurs pour vous assurer que les teintes employées dans les images s’intègrent parfaitement à votre identité visuelle ou à vos préférences esthétiques.
Surtout, n’ayez pas peur d’essayer des formats d’image originaux, comme des rapports hauteur/largeur atypiques. Cela peut vous donner l’opportunité de créer des compositions à forte valeur visuelle et uniques.
Enfin, pour garantir la meilleure qualité possible, réglez l’outil sur le paramètre de rendu maximal. Vos images en ressortiront avec une netteté et un niveau de détail optimaux.
Et comme mentionné précédemment, n’oubliez pas de vous inspirer des créations de la communauté Ideogram. Cela pourrait vous inciter à dépasser vos propres limites créatives et à découvrir de nouvelles sources d’inspiration.
En matière de création d’images, plusieurs plateformes se distinguent par leurs fonctionnalités variées.
Ideogram 2.0, par exemple, fournit une excellente qualité dans la génération de texte et un photoréalisme saisissant, avec une API flexible et de vastes options de personnalisation, en particulier via des palettes de couleurs et des rapports ajustables.
Sa communauté engagée contribue également à sa popularité, de même que sa simplicité d’utilisation.
Midjourney et Flux Pro se situent juste derrière, incorporant des styles artistiques bien raffinés et une grande précision dans la disposition des éléments, bien que la personnalisation reste plus restreinte dans Flux Pro.
DALL-E 3, quant à lui, brille par son réalisme et la convivialité, tout en proposant une API flexible.
Pour finir, Stable Diffusion se distingue grâce à sa forte communauté open source et une grande flexibilité de style, même si elle requiert une configuration plus minutieuse pour une utilisation efficace.
Chaque outil dispose donc d’atouts spécifiques adaptés à différents besoins créatifs et techniques.
À vous de sélectionner celui qui vous correspond le mieux. J’ai déjà préparé des dossiers complets sur Midjourney, DALL-E et FLUX.
Alors que les studios d’Hollywood, les acteurs et les écrivains se disputent l’utilisation de l’IA dans les films, une nouvelle sortie majeure l’a totalement adoptée.
Please active sidebar widget or disable it from theme option.
{{ excerpt | truncatewords: 55 }}
{% endif %}