Les 23 meilleurs films actuellement disponibles sur Apple TV+ (octobre 2024)
Wolfs, Fancy Dance et The Last of the Sea Women ne sont que quelques-uns des films que vous devriez regarder sur Apple TV+ ce mois-ci.
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Les progrès de la science apporteront un éclairage sans précédent sur les complexités de l'océan et un appel renouvelé aux humains pour le protéger.
Un scandale a secoué le concours de pêche du Lake Erie Walleye Trail dans l’Ohio vendredi 30 septembre, quand il a été révélé que le gagnant du tournoi avait lesté son poisson. C’est Jason Fischer, le directeur de l’événement, qui a d’abord trouvé que les poissons présentés par les gagnants, Jacob Runyan et Chase Cominsky, étaient un poil chelous. Dans une vidéo devenue virale (visible ci-dessous), on peut le voir prendre un couteau, ouvrir les prises et découvrir qu’elles étaient remplis de poids. Un spectateur a filmé la réaction de Fischer et l’a postée sur Twitter. « On a des poids dans le poisson », s’exclame le directeur. « Foutez-moi le camp ! » La foule l’a accompagné en criant des insultes et en suggérant d’appeler la police. Ce que Fisher a fini par faire. Publicité Outre son titre de directeur du tournoi, Fischer est également policier dans une banlieue de Cleveland. Il a donc appelé le Département des ressources naturelles de l’Ohio et a remis les preuves de la triche aux agents de protection de la faune. Le bureau du procureur du comté de Cuyahoga a déclaré au New York Times qu’il avait ouvert une enquête et recueilli des preuves sur les lieux. Dans la majeure partie des États-Unis, il est illégal de tricher dans un tournoi de pêche. Les lois et les sanctions diffèrent d’un État à l’autre, mais ce crime est généralement considéré comme une forme de fraude. Au Texas, il s’agit d’un délit de classe A ou d’un crime de troisième degré, selon une loi adoptée en 1985, et peut envoyer le contrevenant en prison pour 10 ans si le grand prix du tournoi de pêche excède les 10 000 dollars (10 087 euros). Au cours des décennies qui ont suivi, d’autres États ont adopté des…
DÉCOUVERTE – Une lueur rouge d’origine inconnue qui a laissé perplexe ce pilote. Vendredi 22 juillet, un utilisateur du site Reddit a partagé les photos de mystérieuses lueurs prises durant un vol au-dessus de l’océan Atlantique. Des halos rouge sang qui traversent les nuages et ont pour le moins intrigué les internautes, comme en attestent les milliers de commentaires en quête d’une explication à ce phénomène. Bien que tentant, le recourt au paranormal n’est pourtant pas de mise dans ce cas, comme l’ont rapidement fait remarquer des internautes. La piste privilégiée est celle de la pêche. En effet, certains navires utilisent des centaines de lampes à led afin d’attirer le poisson. Leur lumière peut être visible à des kilomètres et pourrait être la cause de ces lueurs. Une observation du même type avait d’ailleurs été repérée en 2014, lors d’un vol au-dessus du Pacifique. Un pilote avait été surpris par une étendue rouge s’apparentant à des flammes. Autre raison de privilégier cette théorie qui décevra les amateurs de science-fiction, des photos prises depuis l’ISS de ce phénomène existent déjà, bien que dans une teinte différente. La NASA a publié en février 2020 le cliché d’un astronaute montrant des navires de pêche au large de la Thaïlande. On peut y voir distinctement des étendues de lumière verte dans la nuit. Certains bateaux asiatiques privilégient en effet les lampes de cette couleur pour attirer les poissons. À voir également sur Le HuffPost: Aux Philippines, découverte de l’épave la plus profonde jamais localisée Source
C’est cool. Justement, en parlant d’esthétique analogue, j’ai trouvé cette série un peu plus brumeuse et mélancolique que la dernière. C’est voulu ? Maintenant que tu le dis, c’est vrai. J’avais pas vraiment remarqué avant que tu me le dises. Je pense que cette impression vient du fait que j’ai photographié cette série en hiver et non en été comme la précédente. Aussi, j’ai principalement travaillé avec des appareils argentiques et des pellicules périmées, ça renforce l’atmosphère brumeuse. C’est intéressant de montrer deux séries avec le même sujet mais avec une atmosphère qui contraste – c’est aussi les deux visages du métier de pêcheur, ce sont des gens lumineux qui exercent un métier difficile. Source
Twitter/Sea ShepherdA 300km de La Rochelle, Sea Shepherd a découvert des milliers de poissons morts. L’ONG de défense de l’environnement a accusé quatre navires-usines d’être responsable de cette hécatombe. Parmi les bateaux incriminés, Sea Shepherd pointe notamment le Margiris. PÊCHE – Ces images font froid dans le dos. Sea Shepherd a publié ce jeudi 3 février des photos de milliers de poissons morts à 300 kilomètres au large de La Rochelle, dans le golfe de Gascogne. Sur ses réseaux sociaux, l’ONG annonce qu’il s’agit d’une opération de quatre navires-usines, dans cette zone, dont le deuxième plus grand chalutier du monde, le Margiris et ses 143 mètres de longueur. “Sur ces images prises il y a quelques heures (dans la journée de ce jeudi, NDLR), plus de 100.000 merlans bleus morts non ciblés ont été rejetés à la mer par un seul de ces navires”, écrit l’ONG, qui précise qu’habituellement, les merlans bleus sont “destinés à fabriquer des surimis”. “Jusqu’à quand va-t-on autoriser ce pillage en règle?”, se demande Sea Shepherd. Voilà ce qui se passe en ce moment dans le golfe de Gascogne au large de La Rochelle. Quatre navires-usines opèrent dans la zone, dont le Margiris, le deuxième plus grand chalutier du monde (banni en Australie). pic.twitter.com/nA64Fm7VlC — Sea Shepherd France (@SeaShepherdFran) February 3, 2022 Après vérification, les milliers de poissons morts sont des merlans bleus, habituellement destinés à fabriquer des surimis — Sea Shepherd France (@SeaShepherdFran) February 3, 2022 À la vue de ces images et après des interpellations sur les réseaux sociaux, notamment de la part de personnalités comme le journaliste et militant Hugo Clément, la ministre de la Mer Annick Girardin “a demandé au Centre national de surveillance des pêches de faire la lumière sur ce sujet afin d’identifier les causes de ces rejets importants de poissons”….
Qu’elle soit compétitive dans la simulation de vie préférée des jeunes adultes Animal Crossing, complètement hasardeuse dans Hadès ou technique et mouvementée dans Assassin’s Creed, la pêche est devenue un passage obligatoire dans les jeux vidéo. Depuis quelques années, le moindre point d’eau se transforme presque systématiquement en bassin de pêche aux canards, où de mystérieuses bestioles aquatiques apparaissent pour se repaître de nos appâts. Plus qu’une amusante coïncidence, ce mini-jeu s’est très largement imposé dans la grammaire vidéoludique comme un moment de pause dans nos aventures. Quand certains joueurs y trouvent d’ailleurs un répit salvateur, d’autres envisagent la pratique comme une véritable perte de temps, voire même une activité visant à gonfler artificiellement la durée de vie. Le mini-jeux de pêche étant rarement très utile au développement d’une intrigue ; les bars, merlus et multiples barracuda sont au mieux des objets de faible valeur marchande et au pire de simples créatures écaillées dont le seul intérêt est de compléter notre catalogue de découvertes. « C’est vrai que c’est très intriguant, m’explique Mathieu Triclot, philosophe spécialiste des jeux vidéo. Il y a cinq minutes j’étais en train de me battre contre des hordes de monstres et là, je me retrouve à attendre, ligne dans l’eau, qu’un poisson morde à l’hameçon. C’est une situation si triviale et si peu héroïque, que ça en devient presque absurde. » Mais alors, d’où peut bien venir cette étonnante obsession pour la pêche ? Les développeurs de jeux vidéo se retrouveraient-ils secrètement tous les week-end pour aller taquiner le goujon ? Un secret caché au fond du jardin Aussi étrange que cela puisse paraître, la pêche a toujours eu une place confortable au sein de l’industrie du jeu vidéo. En 1977, l’année de lancement de la célèbre console Atari 2600, sort le premier jeu de…
Benoit Tessier via ReutersEmmanuel Macron, en visite dans le Nord le 19 novembre 2021, a assuré son soutien aux pêcheurs français. PÊCHE – “Nous allons continuer à nous battre, nous ne lâcherons pas nos pêcheurs.” Voici ce qu’a assuré ce vendredi 19 novembre Emmanuel Macron en annonçant que la France prendra une position “avant Noël” sur le différend avec le Royaume-Uni concernant les licences de pêche. “Détermination, fermeté et accompagnement de nos pêcheurs, c’est ça la politique que nous faisons depuis le début et nous ne céderons rien”, a déclaré le chef de l’État face à la presse à Aulnoye-Aymeries (Nord), alors que l’opposition accuse le gouvernement d’avoir laissé tomber les pêcheurs. Il a de nouveau appelé avec force la Commission européenne à “jouer son rôle” et à régler le contentieux avec les Britanniques. “Je recevrai les pêcheurs de toutes les régions concernées une fois que j’aurai les retours de la Commission”, a-t-il annoncé à Guise (Aisne) en fin d’après-midi. “Et avant Noël, la France aura pris une position”, a-t-il ajouté, en précisant qu’il ne voulait pas “en faire un sujet de la présidence française” de l’Union européenne qui débute le 1er janvier. “Les Britanniques ne respectent pas” les accords “La Commission doit nous protéger. Elle doit aller au bout, ça va trop lentement et trop mollement”, a-t-il regretté, en prévenant que si “la Commission ne joue pas son rôle, la France le fera”. “Le processus est trop lent”, a admis à Bruxelles une porte-parole de la Commission. Évoquant un “sujet à traiter d’urgence”, cette dernière promet de demander à Londres “une intensification du processus dans un délai clairement défini.” “Je refuse qu’on nous renvoie à un dialogue bilatéral”, a poursuivi dans le Nord Emmanuel Macron, car “ce n’est pas qu’un sujet entre la France et les Britanniques, c’est un sujet…
AP Photo/Pierre GuillaumeDeux bateaux de pêche français au large du Havre le 8 octobre 2012 BREXIT – Friture sur la ligne. Après un week-end particulièrement crispé et des menaces de sanctions ou de procédure de contentieux, le ton est redescendu entre Paris et Londres. La France a finalement accepté de repousser d’éventuelles sanctions, les discussions se poursuivant ce mercredi 3 novembre pour tenter de régler le contentieux sur les licences de pêche. En vertu de l’accord de divorce de Brexit, les pêcheurs européens peuvent continuer à travailler dans certaines eaux britanniques à condition de pouvoir prouver qu’ils y pêchaient auparavant. Mais Français et Britanniques se disputent sur la nature et l’ampleur des justificatifs à fournir. Si la bisbille a résolument une dimension administrative et politique, Emmanuel Macron se montrant ferme en début de campagne présidentielle et Boris Johnson tentant de mettre en avant les effets positifs du Brexit, elle a aussi évidemment une dimension économique et surtout environnementale. Les eaux britanniques sont particulièrement poissonneuses, rappelait ainsi à l’AFP, Clara Ulrich, ingénieure halieute et directrice adjointe à la direction scientifique de l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer): “Les poissons adultes pondent dans les eaux centrales ou du nord, les oeufs sont transportés plutôt vers le sud de la mer du Nord et s’installent plutôt le long des côtes françaises et jusqu’au Danemark. Quand ils deviennent adultes, ils partent vers les eaux un peu plus profondes, un peu plus froides et un peu plus poissonneuses et oxygénées du nord”. Or ce que cherchent à attraper les pêcheurs ce sont des poissons adultes. Kenan AUGEARD / AFPCarte des zones économiques exclusives du Royaume-Uni, de Jersey, Guernesey et des pays voisins, et des zones de pêche autour du Royaume-Uni L’ensemble du cycle décrit par Clara Ulrich est accentué par le…
Les algues font partie du régime alimentaire de l’homme depuis des milliers d’années. Des archéologues en ont trouvé dans les cuisines préhistoriques des peuples du Chili et sa consommation a été documentée dans les premiers récits écrits de populations du monde entier. Les algues sont très nutritives, riches en protéines, vitamines, acides aminés et acides gras comme les oméga-3, oméga-6 et oméga-7. De nombreux scientifiques pensent que les algues pourraient être l’aliment du futur et pourraient potentiellement assurer une sécurité alimentaire durable à des millions de personnes. Aujourd’hui, nous avons tendance à penser qu’il s’agit d’un aliment de base de la cuisine asiatique, notamment japonaise. Mais en réalité, ces plantes aquatiques font partie de la tradition culinaire de nombreux pays du monde, dont l’Italie, où j’ai passé un mois entier cet été. Appelée u Mauru – du mot sicilien màguru, qui signifie maigre, pauvre – cette algue gélatineuse rougeâtre pousse sur les rochers dans les eaux peu profondes de la région de Catane, sur la côte est de la Sicile. Là-bas, elle était consommée comme en-cas par les pêcheurs qui revenaient de leurs sorties en mer matinales. Ils l’arrachaient des rochers, l’assaisonnaient de citron et de sel et la mangeaient sur leur bateau de pêche avant de rejoindre le rivage. Les pêcheurs installaient également des stands sur le littoral et la vendaient comme salade aux baigneurs pendant l’été. C’est un follower de VICE sur Instagram qui m’a fait découvrir ce mets délicat en me disant qu’il était difficile à trouver. Il ne plaisantait pas : il s’avère que les locaux considèrent ce plat comme une sorte de tabou depuis plus de 30 ans. Mais nous y reviendrons plus tard. U Mauru, de son nom scientifique Chondracanthus teedei, a été enregistré pour la première fois par le pharmacien, botaniste et phycologue allemand…
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