Quelle est votre style d’échec en matière de parentalité ?
Aimez-vous regarder des TikToks pendant que votre tout-petit mange un bagel trouvé sur le sol du métro ? Faites ce quiz pour déterminer à quel point vous êtes vraiment un mauvais parent.
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Un midi de juillet, Jeanne Goujon décide de manger le placenta de sa cinquième fille, Aria, en entier. Un peu d’huile d’olive, un aller-retour dans la poêle et quelques morceaux de salade fraîchement cueillis dans le jardin. « C’est comme une pièce de viande, une éponge de sang. C’est un peu filandreux mais pas trop, un peu gélatineux mais pas trop, un peu spongieux mais pas trop, un peu viandard mais pas trop », raconte-t-elle sans vraiment trouver de comparaison. Un geste peu commun, impensable pour bon nombre d’entre nous, effectué après un accouchement à la maison, naturellement, sans aucune aide médicale, qui lui a procuré une sensation de puissance qu’elle n’avait jamais ressentie avant. Elle le raconte dans un livre, Pourquoi j’ai mangé mon placenta, (Mama Éditions) où elle écrit par exemple : « J’ai mangé mon placenta, en entier, comme un animal. Comme une sauvage, le sourire plein la bouche ». D’emblée, Jeanne annonce la couleur. « On ne peut pas comparer mon histoire avec celle d’une autre femme ». Dans ce livre, c’est son expérience qu’elle retrace. Pas celle de la majorité des femmes. Pour ces trois premiers enfants, Jeanne a accouché à l’hôpital, comme tout le monde. Elle s’est laissée emporter par la vague médicale. Ses accouchements ont tous été déclenchés avant le terme pour des raisons de confort, créant de la frustration chez la jeune maman. « J’ai été choquée par certaines façons de faire, certaines interventions médicales. Des gestes, des mots… Je trouvais que c’était contre ma nature ». Une prise de conscience qui la pousse à se renseigner sur la naissance naturelle, une pratique où on laisse faire le corps. « Au 4e enfant, on m’a proposé d’accoucher à la maison et tout d’un coup, quelque chose s’est déclenché en moi, un processus…
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