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L’écosystème Android est tout à propos du choix. Alors que les propriétaires d’iPhone ont un choix plus restreint de nouveaux appareils à sélectionner lors de leur mise à niveau, il y a une gamme beaucoup plus large de choix sur Android. Vous voulez un zoom de caméra incroyable ? Un stylet intégré ? Un téléphone qui exécute un environnement de bureau complet lorsque vous le branchez à un moniteur ? Vous pouvez le trouver sur Android. Eh bien, vous pouvez trouver tout cela dans un seul appareil. D’un autre côté, tout ce choix peut entraîner des décisions difficiles. C’est là que j’aimerais vous aider ; j’ai testé une bonne quantité de récents téléphones Android, et je pense qu’il y a de véritables gagnants dans la sélection actuelle. Tout dépend de ce que vous recherchez, du montant que vous êtes prêt à dépenser et de ce que vous définissez comme un “téléphone de taille raisonnable”. (J’ai ma propre définition, personnellement.) Alors que vous parcourez les options, vous tomberez presque certainement sur le terme à la mode préféré de la technologie de l’année : IA. En général, l’IA n’a pas encore vraiment réussi à m’impressionner sur un téléphone. La série Pixel 9 a quelques fonctionnalités potentiellement utiles, comme une nouvelle application Captures d’écran qui utilise l’IA pour taguer des informations pertinentes dans les métadonnées, et les appareils Galaxy peuvent traduire un appel téléphonique pour vous en temps réel. Ces choses ne sont pas à négliger ! Mais rien de tout cela n’a l’air de changer la donne que les grandes entreprises technologiques continuent de promettre. Mieux vaut ne pas accorder trop d’importance aux revendications d’IA de n’importe quelle entreprise pour le moment. a:hover]:shadow-highlight-franklin dark:[&>a:hover]:shadow-highlight-franklin [&>a]:shadow-underline-black dark:[&>a]:shadow-underline-white”>Ce que je recherche a:hover]:shadow-highlight-franklin dark:[&>a:hover]:shadow-highlight-franklin [&>a]:shadow-underline-black dark:[&>a]:shadow-underline-white”>Un grand écran Les meilleurs téléphones Android disposent d’une résolution…
Alors que les symboles architecturaux gratuits de l’ère pandémique à New York sont démolis par décret municipal, un chroniqueur photographique des structures de trottoir dit au revoir.
Depuis des mois, les responsables de l’État se préparent à gérer la menace des complotistes d’extrême droite qui pourraient essayer de « stopper le vol ».
Lackawanna County était autrefois un bastion démocrate. En 2024, c’est un champ de bataille fortement contesté, où les enjeux vont bien au-delà de la politique.
Parmi la multitude d’outils pour créer des vidéos avec l’intelligence artificielle, Pika se démarque comme le plus populaire. Avec un financement de 135 millions de dollars, deux experts en IA et une base californienne, tous les éléments sont réunis pour assurer le succès de Pika Labs. Actuellement en version 1.5, Pika AI séduit un nombre croissant d’amateurs de vidéos, notamment des créateurs de contenu sur TikTok et Instagram qui profitent déjà du pack Pikaffet, comprenant des effets tels que gâteau, explosion et squish. À l’approche d’Halloween, Pika Labs dévoile trois nouveaux effets vidéo, ainsi que trois mises à jour supplémentaires pour enrichir sa collection d’effets.
Décapitation, yeux sortis, lévitation, quel effet souhaitez-vous essayer avec ces nouvelles mises à jour ?
Si, comme moi, vous vous sentez submergé par le choix, voici comment créer des vidéos d’horreur avec les nouveaux effets de Pika Labs.
Avant de tenter de générer des vidéos IA sur Pika Art, il est nécessaire de se connecter à la plateforme via ce lien.
À ce stade, vous pouvez choisir d’utiliser votre compte Google, Discord, Facebook ou votre adresse électronique.
Une fois sur l’interface de Pika, vous pouvez télécharger l’image que vous souhaitez modifier. Pour ma part, j’ai utilisé une image générée sur Midjourney, représentant Tim Burton avec une poupée en plastique.
Par la suite, j’ai sélectionné l’effet « Eye-pop it » et ai ainsi créé une image à la fois comique et terrifiante avec une musique d’ambiance parfaite pour Halloween, même en utilisant la version gratuite.
Mais le plan gratuit est-il adéquat pour exploiter pleinement les nombreuses mises à jour de Pika Art ? Ou est-il nécessaire de souscrire à un abonnement payant ?
En plus du plan gratuit, Pika Labs met à disposition trois options payantes. Celles-ci varient entre 8 et 76 € par mois. Mais ces tarifs sont-ils vraiment justifiés ?
Pour ceux désireux d’améliorer leur expérience, vous pouvez choisir le plan Standard à 8 € par mois.
Ce plan vous offre 700 crédits vidéo chaque mois, vous permettant ainsi plus de liberté dans vos créations. De plus, vous bénéficierez de vitesses de génération améliorées et pourrez télécharger vos vidéos sans filigrane.
Ce tarif vous permet également de monétiser vos créations et d’accumuler des crédits supplémentaires.
They’re ALIIIIIIIVE!
Our freaky new Pikaffects are ready just in time for spooky season. 😱🎃👻
Try levitating, eye-popping, and decapitating the whole family. pic.twitter.com/wx0fddcP91
— Pika (@pika_labs) October 29, 2024
Pour les créateurs ambitieux, je recommande le plan PRO qui inclut 2000 crédits vidéo par mois.
Et bien entendu, sans filigrane ! C’est l’option idéale pour ceux désirant utiliser leurs créations à des fins commerciales et maximiser l’impact de leurs vidéos.
Alternativement, si vous cherchez une totale liberté, le plan UNLIMITED est fait pour vous ! Avec des crédits vidéo illimités et des vitesses de génération exceptionnelles, vous pourrez créer sans limite.
C’est le plan parfait pour les agences ou les créateurs professionnels, idéal pour ceux nécessitant un outil fiable et performant afin de produire en grande quantité et sans contraintes.
De plus, toutes les vidéos sont sans filigrane et prêtes à être commercialisées. Que demander de mieux…
Je souhaite signaler qu’après l’ajout des nouveaux effets, j’ai noté une certaine lenteur lors de la génération de ma vidéo.
Cela pourrait être causé par une hausse du trafic, le site ayant été accablé par un nombre élevé de visiteurs en l’espace de quelques heures.
Le directeur créatif et fondateur de Pika, Cohen-Grumi, a précisé que le succès de Pika s’est intensifié après les mises à jour des effets Pikaffect.
Cependant, il a également noté qu’ils ont résolu le problème. Cela malgré les défis de charge qu’ils ont dû surmonter.
Quoi qu’il en soit, je vous recommande vivement d’expérimenter ces nouvelles mises à jour de Pika Art, même juste pour le plaisir.
Lorsqu’il s’agit de parler du tri des déchets en France, certaines opinions reviennent fréquemment : « Cela n’a aucune utilité », « Tout finit mélangé », « C’est envoyé et enfoui ailleurs »… En 2022, 59 % de nos compatriotes estimait que le recyclage était « un geste minime sans impact écologique véritable ».
Cependant, selon les industriels, le tri représenterait le « premier acte éco-responsable », et le recyclage un secteur industriel en plein essor. Les quantités recyclées augmentent en effet de manière continue et alimentent une industrie en expansion.
L’entreprise américaine Eastman développe en Normandie ce qu’elle appelle « la plus grande usine de recyclage de plastique au monde », capable de traiter 160 000 tonnes de déchets polyester chaque année. Située au bord de la Seine à quelques dizaines de kilomètres du Havre, à proximité d’importants axes de transport, elle pourra recevoir les déchets des grandes métropoles européennes.
Ce projet, qui s’élève à 2 milliards d’euros, attire l’attention de LVMH, Estée Lauder, L’Oréal ou Danone, qui cherchent à se procurer du plastique recyclé. TotalEnergies a, de son côté, investi 500 millions d’euros dans la transformation de sa raffinerie de Grandpuits (Seine-et-Marne) pour produire du biocarburant et du plastique recyclé en collaboration avec Paprec et l’espagnol Plastic Energy.
Suez est également de la partie, s’associant avec le canadien Loop Industries pour investir 250 millions d’euros dans une usine de recyclage de polytéréphtalate d’éthylène (PET) en Moselle. Ce plastique, l’un des plus courants, est fabriqué à partir de pétrole et fait l’objet d’investissements visant à améliorer ses capacités de recyclage.
On peut également mentionner la société française Axens et le japonais Toray, qui ont pour projet de construire une usine dans l’Ain pour recycler 30 000 tonnes de PET par an. Quel est donc ce secteur, présenté comme respectueux de l’environnement, vers lequel se dirigent nos déchets ?
Ce secteur économique a acquis une certaine ampleur. L’industrie du recyclage emploie 34 400 personnes en France et a généré en 2022 un chiffre d’affaires de 11,6 milliards d’euros, soit une augmentation de 7,7 % par rapport à l’année précédente, grâce à la vente de 39,8 millions de tonnes de matières premières issues du recyclage.
La Fédération professionnelle des entreprises du recyclage (Federec) regroupe 1 200 membres, dont deux tiers sont des PME et TPE. S’ajoutent à cela des start-up et des bureaux d’études.
« Les entreprises de ce secteur sont généralement des PME dispersées sur tout le territoire, précise Raphaël Guastavi, directeur adjoint à la direction économie circulaire de l’Agence de la transition écologique (Ademe). Lorsqu’elles croissent, elles sont souvent acquises par de grands groupes comme Veolia ou Suez, qui les transforment en filiales. »
Ce développement est principalement dû aux objectifs publics d’augmentation du recyclage. Sur le plan national, l’État a mis en place une stratégie de réduction, de recyclage et de réutilisation des déchets à travers la loi AGEC et la loi Climat-résilience.
Celles-ci prévoient notamment une réduction de 20 % des emballages plastiques à usage unique d’ici 2025 et un taux de collecte de 90 % pour les bouteilles plastiques destinées aux boissons d’ici 2029. Pour accompagner le déchet dans sa transformation en ressource, l’Union européenne a également établi des objectifs de taux de recyclage.
Pour concrétiser ces ambitions, l’État impose aux producteurs de mettre en place des filières REP – pour responsabilité élargie des producteurs – et définit des objectifs à respecter.
Ce système repose sur le principe du pollueur-payeur. En pratique, les producteurs de déchets versent une contribution financière à des entités appelées éco-organismes qui organisent le tri, la collecte et le traitement en collaboration avec les collectivités locales ou des entreprises privées. En d’autres termes : les producteurs doivent gérer la fin de vie de leurs matériaux.
C’est par exemple le cas de Citeo, l’éco-organisme chargé des déchets de papier et des emballages ménagers, dont le conseil d’administration comprend des dirigeants de Carrefour, Heineken, Danone, Henkel, etc. Alimenté chaque année à hauteur de 800 millions d’euros par des industriels, Citeo « finance 73 % des coûts bruts de référence associés aux opérations de collecte, tri et traitement des emballages ménagers ».
À l’heure actuelle, 23 filières REP existent en France et constituent donc cette industrie du recyclage. Les entreprises sont tenues par la loi de verser une contribution à une REP dès qu’elles fabriquent ou distribuent un produit concerné.
En plus du tri des déchets, la seconde source de revenu et d’activité est la transformation d’une partie des volumes récupérés en matière première de recyclage (MPR), qui sera ensuite réutilisée dans la fabrication d’un objet.
L’enjeu réside dans l’augmentation du taux d’incorporation, c’est-à-dire la proportion de MPR dans la matière totale utilisée par les industriels. En France, selon les flux, ce taux varie considérablement, principalement en raison des fluctuations de la demande pour ces MPR par rapport aux matières vierges.
La faible incorporation peut également être attribuée à la qualité du tri ou aux difficultés à séparer les flux de déchets. C’est particulièrement vrai pour les papiers graphiques, utilisés pour les prospectus, la presse ou l’édition, pour lesquels les centres de tri ont du mal à atteindre des normes de qualité.
Le plastique illustre bien les diverses difficultés auxquelles sont confrontées les filières de recyclage. Bien que son taux d’incorporation ait doublé entre 2018 et 2020, il demeure faible, en grande partie en raison de la crise énergétique provoquée par la guerre en Ukraine : cela a forcé les industriels à répercuter les coûts de collecte et de traitement sur les prix des MPR.
« Le coût de la résine de plastique recyclé a doublé en un an en 2021 à cause de l’augmentation des prix de l’énergie, perdant ainsi sa compétitivité par rapport aux résines vierges », constate Christophe Viant, président de Federec Plastiques.
Au premier semestre 2023, c’est l’effondrement du prix du baril de pétrole qui a réduit la demande en MPR car, mécaniquement, les matières vierges deviennent moins chères. « Sans débouchés fiables et constants, les opérateurs sont incapables d’écouler leurs stocks de matières et doivent ralentir la collecte des déchets en amont ainsi que leur valorisation », ajoute Christophe Viant.
Enfin, le cadre réglementaire concernant les plastiques destinés à l’usage alimentaire est très strict et renforce les exigences des industriels sur la qualité de la MPR. Par exemple, le polystyrène provenant des pots de yaourt n’est pas autorisé à revenir dans le circuit des emballages alimentaires et est désormais transformé en pots de fleurs ou en cintres.
Cependant, cette situation pourrait évoluer grâce aux innovations technologiques et à une réglementation imposant aux industriels des taux minimums d’incorporation. Les premières obligations à cet égard devraient entrer en vigueur le 1er janvier prochain.
Actuellement, seules les résines de PET transparent utilisées pour les bouteilles d’eau peuvent être réintégrées dans le circuit alimentaire. « Certaines résines n’ont pas encore de filière de recyclage pour usage alimentaire comme le polystyrène des pots de yaourt, les emballages composites ou le PET opaque contenant des additifs », rappelle Raphaël Guastavi.
Entre 2020 et 2022, l’État a ainsi affecté 226 millions d’euros de subventions dans le cadre de France Relance à de nouvelles solutions technologiques. Parmi celles-ci, le recyclage chimique se révèle particulièrement prometteur. Son principe consiste à modifier la structure des matériaux par des réactions qui séparent tous ses composants.
Désormais prête pour l’industrialisation, cette solution propose une alternative au recyclage mécanique, lequel ne peut que broyer certains types de plastique déjà purifiés. L’organisation Plastic Europe estime que 7,2 milliards d’euros d’investissements sont annoncés en Europe d’ici 2030 dans cette technologie.
Cependant, cette technologie fait débat. Au-delà des préoccupations soulevées par l’Agence européenne des produits chimiques concernant la fiabilité sanitaire, Polyvia (Union des transformateurs de polymères) soulève aussi des interrogations :
« Si ces technologies sont à présent développées pour traiter des déchets plastiques difficiles ou impossibles à recycler par une méthode mécanique, quel sera le véritable avenir de leurs approvisionnements ? Les réglementations adoptées ou envisagées aux quatre coins du monde visent en effet à éliminer de tels déchets. Vers quelles destinations – et surtout vers quels types de déchets plastiques – les acteurs du recyclage chimique se tourneront-ils à l’avenir ? »
Le développement de cette industrie fait face à un dilemme persistant : pour construire d’importantes capacités de recyclage, il faut continuer à générer un volume de déchets… « Y aura-t-il suffisamment de déchets plastiques pour alimenter toute la chaîne de recyclage, qu’elle soit mécanique ou chimique, dans quelques décennies ? », s’interroge Polyvia.
Cependant, cette inquiétude doit être nuancée, car selon les prévisions de Plastic Europe, la production de plastique devrait tripler d’ici 2050. Mais Christophe Viant estime que si toutes les mesures de prévention sont appliquées, ce volume ne sera « que » doublé :
« Il reste encore des gisements à exploiter. La question pour les entreprises est de savoir s’il est économiquement viable de collecter tous ces volumes supplémentaires. Le recyclage chimique ne pourra véritablement se développer que si les entreprises sécurisent leurs stocks et que le marché offre des débouchés pour les matériaux recyclés. »
En réalité, les industriels ainsi que les pouvoirs publics investissent massivement dans le recyclage, et la valeur des déchets est en constante progression. En 2021, la balance commerciale française du secteur, c’est-à-dire la différence entre les exportations et importations de déchets et de MPR, a enregistré un excédent de 4,9 milliards d’euros.
Alors que le volume des exportations doublait entre 1999 et 2021, leur valeur marchande a été multipliée par 5, indiquant qu’un même déchet a désormais plus de valeur. 84 % de ces échanges se font entre pays européens, et devraient encore augmenter avec la création de nouvelles capacités de recyclage et le refus de certains pays asiatiques de recevoir des déchets plastiques.
Au-delà de leur valeur économique, certains déchets sont devenus de véritables ressources stratégiques. Le Plan de relance prévoit ainsi, concernant les métaux critiques, un volet sur le recyclage des batteries au lithium et des déchets électroniques.
Avec ses nombreux projets industriels, le recyclage pourrait incarner l’exemple parfait de la « croissance verte » prônée par le président Emmanuel Macron.
« Le problème de la réindustrialisation réside dans le fait que l’industrie manufacturière n’existe plus en France, tempère toutefois Manuel Burnand, directeur général de la Federec. Le prix de l’énergie, le coût de la main-d’œuvre, ainsi que les contraintes réglementaires et environnementales demeurent des obstacles à la relocalisation des industries. »
« Le monde du recyclage est en équilibre entre l’amont qui permet de capter un déchet correctement trié et un marché en aval qui le réintègre », conclut Jean-Marc Boursier. Extraire et fabriquer en France en assumant les coûts sociaux et environnementaux, voilà un enjeu qui dépasse le simple cadre de l’industrie du recyclage.
MaXXXine, Furiosa et Beetlejuice ne sont que quelques-uns des films que vous devriez regarder sur Max ce mois-ci.
As the rest of our culture thrives on overexposure, why shouldn’t a garden have the right to retain an air of mystery?
Alors que la guerre se prolonge, les défis logistiques sont compliqués par la politique, des évacuations répétées et la peur d’être tué.
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