La pseudo-fiscalité verte de Michel Barnier
En proposant une forte hausse de la taxation de l’électricité, pourtant très peu émettrice de CO2, la fiscalité énergétique du gouvernement Barnier vise le rendement, pas l’environnement.
En proposant une forte hausse de la taxation de l’électricité, pourtant très peu émettrice de CO2, la fiscalité énergétique du gouvernement Barnier vise le rendement, pas l’environnement.
Le scénario envisagé par le gouvernement dans son projet de loi de finances est jugé trop optimiste par les économistes. L’austérité risque de peser sur l’activité et de faire rater la cible de 5 % de déficit en 2025.
La suprématie chinoise sur la production des batteries pour véhicules électriques menace un secteur cardinal de l’économie européenne, explique une étude du Cepii qui porte sur toute la chaîne de valeur de cette industrie.
Quand Volkswagen prend froid, c’est toute l’Allemagne qui s’enrhume. Le géant allemand de l’automobile, qui pèse d’un poids considérable dans l’économie du pays, traverse en effet une crise sans précédent : financière, mais également industrielle, sociale et de gouvernance.
Minimaliste et audacieuse, la microcitadine a rencontré un succès inattendu, notamment auprès des adolescents de familles aisées. Mais ses limites n’en font pas encore le chaînon manquant de la voiture électrique bon marché.
Taxés comme tous les autres, les chômeurs indemnisés voient en plus leur épargne de précaution surtaxée à hauteur de 25 % sous prétexte que leurs allocations seraient trop « généreuses ».
L’économiste Lucas Chancel, qui a contribué à l’élaboration du « contre-budget » du NFP, explique en quoi une importante hausse des impôts sur les ultra-riches est à la fois possible et souhaitable.
[Le privé à l’assaut du supérieur] Sécurité, rentabilité, aides publiques : l’enseignement supérieur privé se développe dans l’intérêt des fonds d’investissement, pas toujours dans celui des étudiants. Et l’accès de tous aux études est menacé.
Les rebondissements politiques consécutifs à la décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale, qui se prolongent encore concernant le destin du gouvernement de Michel Barnier, ont longtemps détourné l’attention d’une question centrale : comment est-on arrivé à une telle impas
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