Alfonso Cuarón a subverti la science-fiction et la fantasy. Il arrive maintenant à la télévision
Gravity, Les Fils de l'Homme, le meilleur film d'Harry Potter… et maintenant une mini-série en sept épisodes ? Avec Disclaimer, le réalisateur Alfonso Cuarón se lance à la conquête de la télévision au nom du cinéma.
Pour le réalisateur de Wicked, il n'y a pas d'endroit comme la Silicon Valley
Six ans après Crazy Rich Asians, Jon M. Chu s'apprête à sortir son adaptation de l'une des plus grandes comédies musicales de Broadway. Depuis une table du célèbre restaurant chinois de sa famille, il se confie sur son enfance parmi les titans de la technologie et explique pourquoi les cinéastes ne devraient pas avoir peur de l'IA.
Fun fact : un des réalisateurs les plus actifs d’Hollywood n’existe pas
Illustration : Helen Frost, Photos via Getty Les tournages de films ne se déroulent pas toujours comme prévu et les raisons de ces accrocs peuvent être variées : coupes budgétaires, conflits en coulisses, interférence des studios, ou simplement un concept pas incroyable dès le départ. Il est donc tout à fait compréhensible que certains réalisateurs préfèrent ne pas être associés à ce genre de catastrophes créatives, utilisant alors un pseudonyme pour faire parade dans le générique. L’un de ces pseudonymes est Alan Smithee. Publicité Les crédits de Smithee sont longs d’un kilomètre et plus de 100 films lui sont attribués sur IMDb. La liste comprend certains titres relativement nazes — des parodies, des bides au box-office — ainsi que d’autres depuis longtemps ancrés dans l’histoire des classiques comme Dune de David Lynch (nous y reviendrons), Meet Joe Black (en raison d’un montage assez lourd) et Hellraiser Bloodline (conflits de studio et intervention de plusieurs réalisateurs). Mais qui est donc cet Alan Smithee ? Et d’où vient-il ? Tout a commencé en 1969, lorsque le réalisateur Don Siegel tournait Death of a Gunfighter. Le film était à l’origine entre les mains de Robert Totten, mais comme le gars a eu quelques différends avec l’acteur principal, il a été confié à Siegel. Cependant, lorsque le film est sorti sur les écrans, aucun des deux réalisateurs n’a voulu que son nom y soit mêlé. La Directors Guild of America (un syndicat professionnel qui représente les intérêts des réalisateurs américains) s’est donc réunie pour essayer de trouver une solution. Ils auraient alors convenu d’utiliser un alias : Alan Smith. Mais selon le regretté réalisateur de télévision John Rich, ce nom était déjà trop répandu, si bien qu’ils lui ont préféré Allen Smithee (devenu plus tard Alan Smithee). Publicité Ironie de la vie, Death of a Gunfighter a…
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