Une enquête sur la façon dont les procureurs sélectionnaient les jurys pour la peine de mort
Une des notes sur des jurés potentiels disait : « Je l’aimais mieux que tout autre juif Mais Pas Question », puis ajoutait : « Doit Kicker, trop Risqué. »
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Le joueur de rugby néo-zélandais Taleta Tupuola a été condamné à 14 mois de prison avec sursis par le tribunal de Béziers ce mercredi 13 novembre. Le membre de l’ASBH faisait face à des accusations de violences conjugales au domicile du couple à Thézan-les-Béziers, le 5 octobre. Il est aussi soumis à une obligation de soins pour des problèmes liés à l’alcool.
Le couple s’est engagé dans une dispute en présence de leur fils de 3 ans. Sa compagne a notamment fait une chute dans les escaliers. Ces violences ont causé six jours d’ITT et 15 points de suture sur le cuir chevelu de la victime.
Le joueur de 35 ans s’était querellé avec son épouse à leur retour d’une soirée entre amis. Taleta Tupuola, complètement saoul, l’avait alors poussée du premier étage.
L’ancien joueur de Montauban et Montpellier a reconnu les accusations et a exprimé de sincères regrets à la barre, expliquant qu’il ne se rappelait pas de ses actions. Taleta Tupuola a admis avoir des problèmes d’alcool et avoir été lui-même affecté par des violences conjugales vécues durant son enfance. Son casier judiciaire était vierge.
Le ministère public avait demandé une peine de 18 mois de prison avec sursis. Son épouse n’était pas partie civile, et n’était pas présente à l’audience. Seul leur fils de trois ans était présent, représenté par l’association France victime 34.
Lors de son réquisitoire, le procureur de la République de Béziers a regretté que le club ait tenté de minimiser l’affaire en suggérant à la victime de donner un faux nom à l’hôpital en raison de la notoriété du joueur et du club. L’avocat de Taleta Tupuola a précisé qu’il ne fera pas appel.
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Le rappeur né à Philadelphie sur les vêtements de scène (“Combinaison, salope !”), la situation avec Diddy, et ses rencontres avec Questlove et Jay-Z. C’est un truc de Philly.
L’auteur discute de son histoire « L’île honnête. »
Depuis sa première campagne présidentielle, Donald Trump suscite des controverses quant à la nature fasciste de son projet. Si le débat n’est pas clos, il est impossible de minimiser la dérive extrémiste qu’il a imprimée au camp républicain, et qui pourrait fracasser les institutions.
Photo : Vyacheslav Dumchev/Alamy Stock Photo Dans la vie, il n’y a rien de plus insupportable qu’un regret. Imaginez donc si toute votre carrière était basée dessus. Une étude menée auprès de 243 trafiquants de drogue a révélé que 61 % d’entre eux regrettent leur décision d’entrer dans ce secteur, la raison la plus souvent invoquée étant les risques du métier. Mais quelles sont les autres raisons ? Pour le savoir, j’ai contacté des trafiquants de drogue, en activité ou à la retraite. Luke, 30 ans, ancien dealer de psychédéliques, MDMA et Xanax Mon plus grand regret concerne la mort d’un ami à la suite d’une overdose d’héroïne. À l’époque, je ne vendais que des psychédéliques et de la MDMA, donc je ne lui ai pas fourni la drogue, mais je lui ai fourni le contact. La police a remonté la piste jusqu’à moi et j’ai fini par être condamné pour homicide involontaire. Lors de mon procès, le juge a déclaré que j’étais coupable d’une série d’événements qui ont conduit quatre personnes en prison et causé la mort d’une autre. C’était assez dur. Heureusement, je ne me blâme pas pour ces évènements, et je ne pense pas que mon ami le voudrait. Mais aujourd’hui, il m’est presque impossible de trouver un emploi. Je n’avais que 20 ans lorsque tout cela s’est produit et j’étais très naïf quant au fonctionnement du système judiciaire américain. Je me méfie désormais de toute forme d’autorité et, rien que ce mois-ci, cinq offres d’emploi m’ont été refusées après vérification de mon casier judiciaire. J’espère ne pas avoir à recommencer à vendre de la drogue mais, en dernier recours, je m’y remettrais. Niko, 32 ans, ancien dealer de cocaïne, de MDMA et de weed, devenu auteur J’ai été poignardé, arnaqué et volé… mais je n’ai aucun regret à…
Photo : The Gender Spectrum Collection Si vous voulez un tatouage « à la mode », vous risquez de faire face à un dilemme : les tendances sont éphémères, mais les tatouages sont éternels. Prenons, par exemple, les années 2000. À l’époque, les hirondelles bleues et rouges sur la clavicule faisaient l’objet d’un nombre incalculable de reblogs sur Tumblr, mais elles ne sont plus très demandées aujourd’hui. De même, le symbole des reliques de la mort dans Harry Potter a très mal vieilli, surtout depuis les prises de positions transphobes de J.K. Rowling. Et je ne parle même pas de ceux qui ont décidé, à un moment donné de leur vie, de se graver le mème « RIP Harambe » sur la peau. Publicité Si vous aimez votre tatouage, bien sûr, peu importe qu’il soit « démodé ». Mais on entend beaucoup d’histoires de personnes qui regrettent d’avoir cédé à une tendance. Alors comment éviter de tomber dans le piège ? Quels sont les tatouages qui sont populaires aujourd’hui et ringards demain ? J’ai interrogé quelques tatoueurs pour avoir leur avis. Lucie, 24 ans J’ai dit non à beaucoup de gens qui voulaient des tatouages minuscules avec beaucoup de détails ou des lignes très fines. Ils ne seront pas beaux à long terme, car l’encre va forcément se répandre. J’ai aussi remarqué que beaucoup de gens veulent des serpents, des dragons, des papillons, des soleils et des lunes. Et des tatouages à l’encre rouge. Je suis presque certaine que le rouge sera bientôt démodé. J’ai l’impression que c’est devenu à la mode parce que c’est un peu extrême, spécial, et même si je trouve ces tatouages magnifiques aussi, je pense que le noir reste plus propre et plus défini. Certains des tatouages que j’ai mentionnés passeront de mode et reviendront à la mode avec le temps,…
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