“Wicked” et “Gladiator II” offrent des affrontements nostalgiques et à moitié satisfaisants
Avec un retour musical à Oz et une épopée sanglante de la Rome antique, les studios hollywoodiens parient sur le spectacle à gros budget.
Avec un retour musical à Oz et une épopée sanglante de la Rome antique, les studios hollywoodiens parient sur le spectacle à gros budget.
La question n’est pas de savoir si d’autres créatures partagent notre concept de mortalité ; c’est de savoir si un être vivant comprend vraiment ce que cela signifie de mourir.
L’affiche de la 2e édition du festival Paris Shark Fest © Førtifem Il n’y a pas grand-chose de plus cool qu’un requin. C’est un superprédateur qui, comme Jean-Pierre Chevènement, a connu le monde avant, pendant et après les dinosaures. Indispensable à l’écosystème, il peut entendre des sons jusqu’à deux kilomètres de distance et possède un odorat si développé qu’il arrive à détecter la merde des autres poissons. Si le squale a une très mauvaise réputation, c’est plus à cause des Dents de la mer que des quelques rencontres avec l’homme recensées chaque année qui se soldent par la mort de ce dernier. Publicité Pour les fans, il y a une double frustration ; la description usurpée de machine à tuer et le manque de représentation positive. Les seules images de requins que l’on peut se mettre sous la dent sont les mêmes qui tournent en boucle sur le web ; ici un grand blanc qui sort de l’eau pour boulotter un phoque, là un autre qui tente de passer sa grosse tête dans une cage en fer. Bonne nouvelle, pour remédier à ce désert et redorer le blason de la bête, il y a le Paris Shark Fest. La 2e édition du festival dédié aux films de requins se tiendra du 17 au 19 septembre prochain au Club de l’Etoile et permettra de se réconcilier avec l’espèce. La programmation est aux petits oignons avec une série de documentaires tournés en eaux profondes militant pour une meilleure connaissance de l’espèce (Sharkwave) ou sa sauvegarde de l’extinction (Save this Shark). À ne pas manquer, Envoy Shark Cull qui fait la peau de la politique du gouvernement australien à l’égard des populations locales de requins. Il y aura bien entendu quelques classiques de la sharksploitation dont ces deux nanars ; Noah’s Shark (par le…
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