Les humains se démènent pour contrôler le climat – à l’aide de drones, de lasers et de sel
Les pays désertiques comme les Émirats arabes unis cherchent des moyens de faire pleuvoir. Les nouvelles technologies pourraient rendre cela possible, mais à quel prix ?
Les mystères et les merveilles de l'océan sont sur le point d'atteindre de nouvelles profondeurs
Les progrès de la science apporteront un éclairage sans précédent sur les complexités de l'océan et un appel renouvelé aux humains pour le protéger.
Fatigue et entre-soi bourgeois : j’ai voulu trouver un appart sur “Gens de Confiance”
Nous sommes au mois de septembre et je suis à la recherche d’un appartement en région parisienne. Je n’en suis pas à ma première recherche d’appartement au cœur de la ville Lumière, connue dans le monde entier pour ses ponts Instagrammables, moins pour son marché immobilier ultra-concurrentiel, hors de prix, et passablement humainement dégradant pour quiconque n’a pas trois garants capables de s’acheter cash une villa au Touquet. Commençant à sonder tous les sites immobiliers et de mise en location de la toile, j’apprends par une amie bien informée, qu’il existe un site — une sorte de LeBonCoin — qui me permettrait potentiellement d’obtenir un coupe-fil lorsque viendra le temps de déposer mon dossier auprès d’un propriétaire, et qui pourrait même me permettre d’accéder à des appartements listés nulle part ailleurs. Et mon amie d’ajouter « Constance a trouvé son appartement à Montmartre comme ça, en même pas deux semaines ». Ce site ? “Gens de confiance”. Un site où se retrouvent les bourgeois de Paris, Toulouse, Nantes, Pau, Nice et j’en passe, pour échanger leurs biens (immobiliers ou pas) en toute confidentialité. D’aucuns diraient “loin de la populace”. Après tout, qui a envie que sa commode Louis XVI, léguée par grand-père Eunice, se retrouve entre les mains d’un Qatari nouvellement installé dans le XVIe, ou pire, que son écran plat acheté il y a deux ans finisse dans un HLM de banlieue ? Mais surtout, le nom du site suggère autre chose : la peur de l’arnaque, parée par un fonctionnement bien particulier. Première étape : l’inscription Être une “Personne de Confiance” inscrite sur le site n’est pas donné à tout le monde. Je ne parle évidemment pas de mes qualités morales — qui sont, il me semble, dans la moyenne — mais bien des conditions d’accès à cette communauté…
Idées cadeaux de Noël impayables par le commun des mortels
Même s’ils peuvent tout se payer, il y a un truc qu’on sait sur les riches – en se promenant dans le XVIe, ou en mattant leurs télé-réalités gênantes comme Bling Empire – c’est qu’il y a un truc qui ne s’achète pas : le bon goût. En revanche pour le reste y a Mastercard visiblement… La France étant dernièrement le pays dont ses ultra-riches se sont le plus enrichis et comme les deux récents gagnants de l’EuroMillions sont apparement Français, ça en fait quand même pas mal de billets violets à claquer pendant cette période toute pétée que sont les fêtes de fin d’année. Et vu qu’il n’y a rien de plus chiant que de faire nos propres achats de noël avec les trois balles qu’il reste sur nos comptes, on a préféré perdre encore plus de temps pour vous compiler quelques merdes que seuls ceux qui ont une Visa Platinum pourront s’offrir. Une île privée L’île privée c’est apparement l’Eldorado des hommes super-riches connus et en dépression (Leo DiCaprio, Johnny Deep, Nicolas Cage…). Quoi de plus grisant en effet que de se rendre en jet privé au milieu de rien, pour se ressourcer façon Robinson Crusoé ? Mais le tout dans une villa 6 étoiles, faut pas déconner. Vu le nombre d’annonces qu’on peut trouver en 3 clics sur Google, c’est pas aussi rare qu’on le croirait. Et quand la montée des eaux aura lieu, y aura peut-être enfin quelques riches pour s’en inquiéter… Prix : de 600K à 63M$ pour faire bronzette sans voisins de plage relous.Taux de mauvais goût : 6/10 Un CyberQuad pour enfant. Rien de plus normal pour tous les connards qui pensent que l’ex de Grimes est un génie des temps modernes que d’avoir une mi-molle devant ce quad tout droit sorti d’un…
Vue sur New York depuis les résidences des ultra-riches
VICE : Comment avez-vous inventé le personnage de Gabriella ? Vous êtes-vous inspirée de quelqu’un ?Andi Schmied : Son personnage a évolué de manière très organique. Je cherchais un nom qui ne mènerait pas jusqu’à moi lorsque quelqu’un le chercherait sur Google. Finalement, j’ai gardé mon deuxième prénom et mon nom de famille, ce qui a parfaitement fonctionné chaque fois que mon passeport a été contrôlé. Comme je demandais à voir de grands penthouses, je me suis inventé un fils et j’ai montré la photo de mon neveu. Le reste s’est développé au fur et à mesure. Les agents m’ont posé toutes sortes de questions : combien nous étions dans la famille, ce que nous faisions dans la vie, si j’aimais cuisiner ou encore quel genre de vêtements je portais. Et l’urgence avec laquelle il fallait répondre à ces questions exigeait de la spontanéité. Un agent m’a demandé si nous avions une nounou, et j’ai rapidement répondu « bien sûr », donc, à partir de ce moment-là, Gabriella a eu une nounou. Il m’a également demandé qui dessinait mes vêtements, et faute de mieux, j’ai répondu que c’était un créateur hongrois. J’ai voulu rester aussi directe et honnête que possible, c’est pourquoi Gabriella est architecte, par exemple. Son personnage est donc basé sur une certaine réalité. J’ai inventé une version très riche de moi-même, en quelque sorte. Je n’ai pas le talent de comédienne nécessaire pour créer un personnage à partir de rien. Source
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