“Romance familiale : John Singer Sargent et les Wertheimers,” Critique
Asher Wertheimer était un tycoon juif qui a demandé à John Singer Sargent de le peindre. Les résultats sont étranges, glissants—et certaines des meilleures œuvres de l’artiste.
Asher Wertheimer était un tycoon juif qui a demandé à John Singer Sargent de le peindre. Les résultats sont étranges, glissants—et certaines des meilleures œuvres de l’artiste.
Un nouveau sondage révèle que 53 % des Britanniques soutiennent une exposition permanente sur le rôle de la Grande-Bretagne dans le commerce des esclaves au British MuseumLa majorité des personnes au Royaume-Uni pensent que le British Museum devrait avoir une exposition permanente consacrée au commerce transatlantique des esclaves, selon des recherches.De nouvelles données de sondage de YouGov ont révélé que 53 % des répondants pensent qu’une exposition permanente sur le rôle de la Grande-Bretagne dans le commerce des personnes africaines réduites en esclavage serait appropriée, tandis que deux tiers estiment que le British Museum a un rôle à jouer dans l’éducation du public sur l’histoire du Royaume-Uni dans le commerce des esclaves. Continue reading…
Les poèmes créés par l’intelligence artificielle (IA) sont généralement plus appréciés que ceux composés par des humains.
Une étude récente menée par l’Université de Pittsburgh met en lumière une découverte étonnante. Les lecteurs non experts, qui ont pris part à l’étude, trouvent les poèmes d’IA plus accessibles et simples, une caractéristique qui semble faire toute la différence.
Les chercheurs ont présenté des poèmes de 10 poètes emblématiques, tels que Emily Dickinson et Shakespeare. Ils ont également inclus des poèmes imitant leurs styles, générés par ChatGPT 3.5. Les participants ont fréquemment cru que les poèmes d’IA étaient rédigés par des humains. Étonnamment, ils ont même jugé les poèmes humains comme étant moins authentiques. Cette tendance démontre la compétence de l’IA à reproduire des styles complexes tout en demeurant accessible.
La « complexité et l’opacité » des poèmes humains attirent les amateurs éclairés. Cependant, ces attributs peuvent décourager les lecteurs occasionnels. À l’opposé, les poèmes d’IA transmettent émotions et thèmes de manière plus immédiate. Grâce à cette clarté, l’IA capte l’attention des lecteurs qui désirent une lecture rapide et limpide. Ces derniers n’ont souvent ni le temps ni l’envie d’explorer un texte en détail.
Les participants ont aussi jugé les poèmes d’IA comme étant d’une meilleure qualité globale. Ce constat remet en question les idées reçues sur la poésie. Cela amène à se demander : que recherchent les lecteurs dans un poème ? La réponse varie selon leurs attentes et leur expérience littéraire.
La poétesse Joelle Taylor, récipiendaire du prix TS Eliot, a réagi à cette étude. Un poème ne consiste pas seulement en une série d’algorithmes sophistiqués. « La poésie va au-delà d’une simple logique », déclare-t-elle. Elle définit cet art comme un mélange d’émotions, de contestation et de surprises inattendues. Joelle Taylor critique également les bases de données utilisées pour former l’IA. À ses yeux, ces modèles reflètent des traditions anciennes et peu diversifiées, éloignées de la richesse de la poésie humaine contemporaine.
Les chercheurs de l’étude incitent à réfléchir sur la régulation de l’IA. Ils préconisent d’assurer une transparence concernant l’origine des textes générés. Les lecteurs doivent savoir si un écrit émane d’une machine ou d’un auteur humain. L’IA doit-elle devenir une norme en matière artistique ? Cette question complexe pousse à redéfinir la place des émotions humaines dans la création.
Je trouve cette demande des chercheurs plutôt utopique. Comment pourrait-on réellement restreindre les machines à rédiger des poèmes en toute liberté ? Si l’intention est d’attirer plus de lecteurs plutôt que de s’investir dans des récits élaborés, ils devraient plutôt standardiser leur méthode et adhérer à la simplicité des IA.
Les syndicats exigent des « salaires dignes » alors que la reprise inégale de la crise de la dette laisse de nombreuses personnes en difficulté face à des coûts plus élevésUne grève nationale des employés du secteur public et privé semble prête à paralyser la Grèce mercredi alors que le gouvernement pro-entreprise du Premier ministre, Kyriakos Mitsotakis, est soumis à une pression croissante pour faire face à une crise du coût de la vie qui s’aggrave.Les syndicats demandant des « salaires dignes » face à l’augmentation des coûts pour les consommateurs et à l’élargissement des inégalités de richesse ont promis que la grève de 24 heures mettrait le pays à l’arrêt, avec des manifestations prévues dans des villes à l’échelle nationale.
La wiki a rendu hommage au phénomène “Sexyman de Tumblr”. Après que le site hôte Fandom l’ait supprimé, les fans se sont empressés de collecter son archive et de trouver un nouveau foyer.
En Inde, l’un des pays les plus polyglottes du monde, le gouvernement souhaite que plus d’un milliard de personnes adoptent l’hindi. Un chercheur pense que ce serait une perte.
« Répondre aux besoins présents sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs » : telle était la définition de la durabilité donnée par les Nations unies en 1987. En ce qui concerne la pêche, il est clair que le système de gestion actuel échoue à relever ce défi.
Au contraire, l’IPBES, la plateforme scientifique intergouvernementale sur la biodiversité, identifie cette gestion comme la première cause de dégradation des océans. De 1974 à 2021, la proportion de stocks de poissons exploitée selon des pratiques durables a chuté de 90 % à 62 % au niveau mondial.
De plus, « de nombreux produits de la mer présentés comme durables ne le sont pas », avertissent les auteurs d’un article récent appelant à une redéfinition de la pêche durable. Paru dans une revue de Nature, ce texte est le résultat de deux ans de recherches menées par un groupe d’une trentaine de scientifiques.
Sous l’égide de l’association Bloom, ces chercheurs, experts en sciences halieutiques, écologie marine, biodiversité ou économie marine, ont été réunis lors de plusieurs ateliers ayant conduit à cette publication, dirigée par Callum Roberts, professeur de conservation marine à l’université d’Exeter.
« Le modèle actuel de “pêche durable” employé par les gouvernements et les acteurs privés depuis l’après-guerre est désormais obsolète sur le plan scientifique », déclare-t-il.
Les chercheurs analysent ainsi les limites du concept de rendement maximal durable, également appelé RMD. Ce paramètre est défini comme la quantité maximale théorique qu’il est possible de prélever d’un stock de poissons sans entraver son renouvellement. La gestion au RMD vise donc à établir des taux de capture permettant une exploitation soutenable des ressources. Depuis 2013, l’Union européenne en fait un objectif central de sa politique de pêche commune.
Cependant, le RMD repose sur une « approche monospécifique », ignorant les effets de la pêche sur les habitats marins, les interactions inter-espèces et les contributions écologiques de ces espèces. Par exemple, la pêche intensive de poissons « fourrages », tels que les anchois, affecte l’ensemble des niveaux trophiques supérieurs.
Le RMD néglige aussi la question des prises accessoires, c’est-à-dire les espèces capturées de manière accidentelle, favorisées par certaines méthodes de pêche.
De plus, alors que le RMD est fréquemment présenté comme un but à atteindre pour optimiser la productivité de la pêche, les chercheurs insistent sur l’importance de considérer l’incertitude provoquée par la dégradation de la biodiversité et le changement climatique, en fixant des taux d’exploitation plus prudents.
Les auteurs suggèrent un ensemble de onze mesures pour parvenir à une gestion véritablement durable des ressources, articulées autour de deux principes fondamentaux : « Pour chaque poisson pêché, il convient de minimiser l’impact écologique et de maximiser les bénéfices sociaux.&em> »
Les chercheurs recommandent surtout d’interdire les engins et techniques de pêche responsables de fortes quantités de prises accessoires ou de destruction des habitats marins, comme le chalutage de fond – dont l’interdiction envisagée dans certaines zones rencontre déjà une vive opposition en Europe. Ils préconisent également de limiter la taille des navires et d’interdire la pêche dans les zones les plus vulnérables, comme les grands fonds.
Leurs recommandations touchent également les dimensions humaines et sociales de la pêche. « Pour tirer le meilleur parti de la richesse de la vie marine, les poissons devraient être réservés à une consommation humaine directe, localement, via des circuits courts », précisent-ils.
Ils soulignent la nécessité de réformer les systèmes de gestion de la pêche pour assurer une distribution équitable et transparente des bénéfices et respecter le droit à la sécurité alimentaire des petits pêcheurs et des communautés autochtones.
« La question est de savoir si les bénéfices économiques de la pêche doivent être accaparés par quelques grands armateurs ou partagés de manière équitable à l’ensemble de la société grâce à une petite pêche côtière, avec des emplois en amont et en aval… », résume Didier Gascuel, professeur en écologie marine à l’Institut agro de Rennes-Angers et co-auteur de l’article.
Les signataires insistent sur l’importance de poursuivre les recherches afin d’adapter leurs propositions aux contextes locaux, tout en rappelant que de nombreuses initiatives similaires sont déjà mises en place ici et là.
Par exemple, au Canada, la pêche au homard à casier est proscrite dans les zones d’alimentation des baleines protégées lorsqu’elles y sont présentes. En Namibie, les prises accessoires des pêcheurs leur sont facturées. En Indonésie, des avancées dans la lutte contre la pêche destructrice s’appuient sur la mobilisation des communautés locales.
Ces exemples pourraient inspirer de nouvelles orientations dans les politiques de gestion des pêches, alors que la France accueillera en juin la troisième conférence des Nations unies sur les océans.
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La création musicale assistée par IA annonce-t-elle la fin des artistes ? Quel sera l’effet de ces outils d’IA sur le secteur ? Tentons de décoder ce phénomène qui gagne en ampleur dans ce qui suit !
Qu’il s’agisse de notre bien-être, de nos maisons intelligentes, de nos habitudes alimentaires ou même de la qualité de notre sommeil, tous les aspects de notre vie quotidienne sont désormais influencés par l’IA. Parmi les secteurs récemment touchés par cette technologie, il convient de souligner l’industrie musicale.
Certainement, la composition assistée par ordinateur existe depuis les années 70. Toutefois, les progrès récents en matière d’IA, notamment avec l’arrivée de ChatGPT, suscitent des interrogations. Comment l’industrie musicale de demain réagira-t-elle face aux générateurs de musique par IA ? Est-ce une paranoïa ou une inquiétude légitime ? Analysons cette tendance dans les lignes suivantes !
Bien que l’on considère que la création musicale par IA est récente, il est important de noter qu’aux années 80, des précurseurs comme Brian Eno avaient déjà fait appel à des algorithmes pour concevoir des musiques ambiantes.
Il a néanmoins fallu attendre 2009 pour découvrir la musique générée par ordinateur. Pourquoi donc les artistes sont-ils si inquiets vis-à-vis de l’IA dans le secteur musical ? Simplement parce que l’intelligence artificielle utilisée pour composer des morceaux transcende le cadre des algorithmes traditionnels.
Des systèmes comme Google’s MusicLM, formés sur 280 000 heures de musique, peuvent aujourd’hui produire des compositions entières à partir de simples instructions textuelles. Cette accessibilité a explosé avec l’émergence de l’IA générative destinées au grand public.
Désormais, imaginez l’ampleur de l’impact de cela sur l’univers musical. Nous faisons face à des machines capables de créer des mélodies envoûtantes en un rien de temps. La création musicale via l’IA est à présent à la portée de tous, même de ceux qui n’ont pas reçu de formation musicale…
Interviewée par des journalistes, la compositrice Caitlin Yeo a exprimé ses craintes concernant l’avenir des musiciens. Pour elle, le développement de l’IA musicale pourrait entraîner la disparition de métiers musicaux fondés sur des années d’expérience et de formation. Mais ce n’est pas seulement la question de l’emploi qui préoccupent les créateurs. L’IA pourrait standardiser les œuvres, mettant en péril la diversité culturelle et personnelle qui enrichit la musique.
Yeo mentionne son propre projet pour le film New Gold Mountain, où elle a utilisé des instruments traditionnels occidentaux pour dépeindre des scènes du point de vue chinois, une décision artistique significative que l’IA ne serait pas en mesure de comprendre ni de répliquer.
Le manque de discernement de l’IA face aux distinctions culturelles et émotionnelles pourrait transformer la musique en « un produit uniforme », voire entraîner des malentendus culturels. Pour certains compositeurs, la richesse musicale repose sur la subjectivité de l’artiste, ses émotions et ses vécus. Ces facteurs échappent néanmoins aux algorithmes d’apprentissage automatique.
Je pense que l’intégration de l’IA dans la création musicale n’est pas une fatalité. Cependant, l’avenir de cette technologie dépendra des décisions que prendra la communauté musicale.
Il est beaucoup plus facile de demander à ChatGPT d’expliquer les principes des racines carrées en mathématiques, mais la génération musicale par IA devra être encadrée.
Cela permettra, entre autres, de sauvegarder les œuvres humaines et d’encourager une transparence éthique. Je suis convaincu que l’IA pourrait agir comme un outil d’assistance, plutôt qu’un substitut nuisible pour les compositeurs. C’est à la communauté musicale de s’assurer que cette technologie enrichisse la diversité musicale au lieu de l’uniformiser. Qu’en pensez-vous ?
Les performances de Karla Sofía Gascón et Zoe Saldaña apportent énergie et émotion, mais le film ne va jamais au-delà de ses surfaces tape-à-l’œil.
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