Six-Word Sci-Fi : Histoires Écrites par Vous
Voici le sujet de ce mois-ci, comment soumettre, et une archive illustrée des favoris passés.
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Compilation House of Riviera sortie chez Mona Musique. Tous les deuxièmes mercredis du mois, de 12h à 14h sur Rinse France, Marc-Aurèle Baly de VICE tente avec ses invités de remonter le fil rouge de la musique à l’aide de théories plus ou moins fumeuses. Pour cette nouvelle émission, Marc-Aurèle Baly invite les Djs Nick V et Ed Isar, pour nous parler de la compilation House of Riviera parue en 2019 sur le label de Nick V Mona Musique. De la musique électronique italienne, on connait surtout l’italo disco, ou encore l’italo house, mais moins la house italienne au sens originel du terme, dont les figures les plus éclatantes s’appelaient Don Carlos, Sueño Latino, Ricky Montanari ou encore Ivan Iacobucci. Une scène qui a été un petit peu oubliée depuis, à tort, alors qu’au même moment, les clubs d’Ibiza et d’Angleterre explosaient à la face de l’Europe. Dans cette émission, nous tentons de circonscrire cette musique qui s’est produite et s’est diffusée dans les clubs de la côte adriatique au début des années 90 en Italie, pays qui bénéficiait alors d’une industrie et d’un réseau musical et de distribution assez florissants. Nous tenterons également de définir les contours d’une musique et d’une scène qui ont pu développer leur propre son, assez chaud, très mélodique et vaporeux à la fois, avec beaucoup de pianos, des durées qui s’étirent un peu, et qu’on a rapidement regroupé sous le nom de « italian dream house » – même si nos deux invités nous expliquent pourquoi cette appellation est assez réductrice. Publicité La première partie de l’émission est à réécouter ci-dessous, avec une présentation de nouvelles sorties dans le dernier quart d’heure : Morceaux joués : Don Carlos – Alone (Paradise Version)Korda – Move Your Body (Club Mix)Optik – Music Harmony and Rhythm Nouveautés avril : DJ F16 Falcon…
Tous les deuxièmes mercredis du mois, de 12h à 14h sur Rinse France, Marc-Aurèle Baly de VICE tente avec ses invités de remonter le fil rouge de la musique à l’aide de théories plus ou moins fumeuses. Si les qualificatifs « légendaire » et « sans compromis » sont absolument galvaudés aujourd’hui lorsqu’on parle de musiciens (et ne parlons même pas des producteurs électroniques), ils sont tout à fait pertinents lorsqu’on parle de Chris Korda. Activiste trans et vegan géniale lorsque la transidentité et le veganisme étaient encore des choses totalement aberrantes au sein de la société ampoulée du début des années 90, Chris Korda était alors connue pour ses slogans provocateurs et sa techno novatrice (dont le point culminant se situe sans doute dans le morceau d’ouverture de cette émission, « Save The Planet, Kill Yourself »). Surtout, elle a fondé la Church of Euthanasia, faux clergé d’activistes anti-natalistes qui se démarquaient par leurs happenings et dont les quatre piliers reposaient alors sur les préceptes suivants : le suicide, l’avortement, le cannibalisme, et la sodomie. Après avoir laissé de côté la musique pendant une quinzaine d’années, Chris Korda est revenue sur le devant de la scène en 2019, avec une poignée d’albums sous le bras, mais surtout, après avoir perfectionné son propre séquenceur de musique générée par une intelligence artificielle. Pour faire vite, c’est un système qui permet de générer de la musique de manière algorithmique, lui permettant d’atteindre des niveaux de complexité rythmique qui l’éloignent de plus en plus de la binarité du système 4/4 qu’on entend dans tous les warehouses de France et de Navarre – et qui, selon les propres dires de l’artiste, commence à la fatiguer pas mal. Car il ne faut pas oublier que Chris Korda fait partie de la très rare catégorie des véritables innovateurs musicaux aujourd’hui en activité, et rien…
Tous les deuxièmes mercredis du mois, Marc-Aurèle Baly de VICE tente avec ses invités de remonter le fil rouge de la musique à l’aide de théories plus ou moins brumeuses. Pour cette nouvelle émission, il invite les Djs Belec, Sainte Rita et Fred du label parisien Serendip Lab pour parler de la house variété en France au début des années 90, à l’occasion de la sortie de la compilation Dynam’hit sortie sur le label Born Bad Records le 5 février dernier. Publicité Un bon prétexte pour cartographier une époque qui fleure bon le mitterandisme culturel, les pin’s, la proto-house et les autoradios en roue libre. Mais également une musique autrefois honnie par les ayatollahs du bon goût, mais qui commence tout doucement à recevoir les bonnes grâces des diggers et Djs amateurs de raretés et de curiosités en tous genres. Est-ce que la hype est un éternel recommencement, est-ce que le règne sans partage des années 80 dans tout ce que nos deux dernières décennies ont compté comme revival musicaux touche à sa fin ? La compilation Dynam’hit est presque un cas d’école de réhabilitation artistique de tropes musicaux que l’on se plaisait il n’y a pas si longtemps à moquer ou simplement mépriser, mais qui nous paraissent autrement plus chatoyants à l’oreille une fois que la patine du temps a exercé son pouvoir de séduction – mais surtout de persuasion. Le talk est à réécouter ci-dessous : En deuxième partie d’émission, Fred nous a préparé un mix pour l’occasion pour les dix ans de Serendip Lab. Le label, qui est également un festival, s’intéresse selon ses propres dires depuis dix ans « aux différentes formes d’art de toutes générations, insistant sur des techniques dites Do It Yourself ». À vous de juger s’il peut exister une forme de continuité entre la house-variété et le travail de défrichage sonore des marges…
Tous les deuxièmes mercredis du mois, de 12h à 14h sur Rinse France, Marc-Aurèle Baly de VICE tente avec ses invités de remonter le fil rouge de la musique à l’aide de théories plus ou moins fumeuses. Pour cette nouvelle émission un peu inhabituelle compte tenu des mesures sanitaires, VICE invite Low Bat pour un mix de 2h, en lieu et place de la formule habituelle (une heure de débat suivie d’une heure de mix pour ceux qui ne suivent pas). Le Français vient de curater une compilation chez les Lyonnais de Chez Emile Records dans la collection des Ear Clips Series. Le mix qu’il nous présente aujourd’hui est à l’image de la musique qu’il défend, c’est-à-dire une forme musicale libre qui se laisse aller aux inspirations du moment, où on trouve à la fois du spoken word et des trucs un peu dub, voire même un peu dada dans l’esprit. Soit des gens et des esthétiques qui ne sont pas forcément représentés dans l’idée classique de ce qu’on se fait de la dance music. Un mix en forme de balade de fin d’été, ou de début d’automne, qui rappellera sans doute aux auditeurs des jours meilleurs, ou qui sait, ouvrira la voie à de prochains éclaircissements. Le mix est à réécouter ci-dessous : Tracklist : Tolouse Low Trax – The turning TableAna Roxanne – NocturneLouise Michel – Lecture par Audrey VernonVamilienFather – … nicht als ein tropfender AusgussElectric sewer Age – Moon’s Milk (Dark Passing)Biosphere – GenkaiLinja – Lone juggler’s isle (ft. DJ Tinder)Electric sewer Age – Still Too Far To GoSolar Fields – Electric Fluid (Early Mix)Chapterhouse – We Are The Beautiful (Spooky’s Extravaganja Dub Mix)William S. Burroughs feat. Dub Spencer & Trance Hill – 103rd Street BoysShantel feat Rosanna Zelia – ConsiderandoFrancis dhomont Le message quand vient le soirBALASHWAAR – AT…
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