La Rébellion d’un Pommier Infécond
As the rest of our culture thrives on overexposure, why shouldn’t a garden have the right to retain an air of mystery?
As the rest of our culture thrives on overexposure, why shouldn’t a garden have the right to retain an air of mystery?
Les effets complets des politiques économiques du Président ne seront pas ressentis avant des années. Cela pourrait être trop tard pour Kamala Harris et d’autres démocrates.
“I am dumbstruck by all those of us / who evade true grandeur and the crimson / calypso of feeling.”
“Hillbilly Elegy” l’a rendu célèbre, et ses dénonciations de Donald Trump lui ont apporté des fans libéraux. Maintenant, en tant que candidat à la vice-présidence, il refait son image en tant qu’héritier du mouvement MAGA.
Quand j’ai vu le jeune homme trembler dans l’obscurité de mon bureau, j’ai eu l’impression de regarder mon propre ombre.
Le multitalent discute de son nouveau film, “A Real Pain” ; luttant avec ce que cela signifie d’être bon ; et les scénarios, chansons et blagues qui “ne voient jamais le jour.”
Le graphorama, c’est quatre infographies sélectionnées chaque semaine par la rédaction pour regarder l’actualité autrement.
Reda Kateb est venu présenter “Sur un fil”, son premier film en tant que réalisateur, sur le plateau de Clique. L’acteur explique pourquoi son long-métrage est une œuvre engagée et revient sur son rôle dans “Un Prophète”, son enfance aux côtés de Kery James et sa relation amicale avec Tahar Rahim. “Sur un fil”, son premier film Après 16 ans de carrière en tant qu’acteur, Reda Kateb a décidé de passer à la réalisation. “Sur un fil”, avec Aloïse Sauvage et Philippe Rebbot, sort en salle le 30 octobre. C’est l’histoire d’une clown professionnelle qui travaille auprès d’enfants dans un hôpital : “Avec un petit garçon malade, ils vont devenir indispensables l’un à l’autre” décrit son metteur en scène. Au fil du film, elle va créer des liens très étroits avec cet environnement qu’elle ne connaît au départ. Pour son premier long-métrage, Reda Kateb a choisi d’aborder un milieu qu’il voit depuis toujours, puisque sa mère était infirmière : “elle me racontait que c’était important pour elle d’écouter ses patients.” Aujourd’hui, les enfants malades sont de plus en plus pris en compte dans les hôpitaux et le réalisateur voulait dépeindre cette évolution. “La découverte de ce métier de clown à l’hôpital m’a donné envie de faire ce long-métrage.” Un début de carrière immédiatement sous les projecteurs Son premier rôle à la télévision, il le doit à la série “Engrenages” en 2008. Face à Mouloud Achour, il raconte l’anecdote de son casting plein de rebondissements. Le futur metteur en scène arrive en retard car il faisait le clown pour l’anniversaire d’une petite fille. Après négociation, la directrice du casting accepte de le recevoir et durant sa prestation, Reda Kateb se met à rapper : “Je peux aussi vous faire un morceau de NTM !” Face à la caméra, il entame “Touche pas à ma musique” et finit par décrocher le rôle qui le lancera en tant qu’acteur. Dans la foulée, il est embauché pour jouer dans le film “Un Prophète” de Jacques Audiard aux côtés de Tahar Rahim : “On avait déjà joués tous les deux dans une série CANAL.” C’est comme ça que le réalisateur est tombé sur le profil de Reda Kateb. “Je ne l’ai même pas rencontré avant qu’il me donne le rôle.” C’est sur ce film qu’il rencontre le futur interprète de Charles Aznavour. Depuis, ils n’ont plus rejoué ensemble, mais ils restent très proches, au point qu’il le qualifie de “frère de route.” Au cours de sa carrière, Reda Kateb a également tourné sous la caméra de La Rumeur, groupe de rap mythique devenu duo de réalisateurs, pour le film “Les Derniers Parisiens” en 2016. Il les connaissait déjà à la fin des années 1990, époque à laquelle ils ont enregistré une mixtape ensemble. Depuis, il est resté très proche d’eux : “Nous avons des liens fraternels qui tiennent sur la durée.” Sa passion pour le métier d’acteur, il la tient de son père, lui-même comédien, notamment dans “Les Aventures de Rabbi Jacob”. “Il m’emmenait en tournée partout avec lui quand j’étais petit.” Inspiré par son paternel, la transmission semble être le moteur de Reda Kateb qui sort son premier film sur des enfants malades. L’interview de Reda Kateb est disponible en replay sur myCANAL.
L’article Reda Kateb : “Je n’ai pas rencontré Audiard avant qu’il me donne mon rôle dans ‘Un Prophète’” est apparu en premier sur Clique.tv.
Depuis le début de la guerre entre le Hezbollah et Israël, et surtout l’intensification des bombardements israéliens depuis la fin septembre, les Libanais payent un lourd tribut, notamment dans le Sud agricole.
Un film remarquable est-il simplement un film qui a presque été, si ce n’est mauvais ou raté, du moins étrange ? La sensation de sa grandeur n’est-elle pas celle d’une étrangeté devenue évidence ? Une perception d’un monde improbable et pourtant indiscutable ? Un univers qui n’existe pas mais qui, durant deux heures, se transforme en ce qui est unique, notre monde en somme ? Les protagonistes du dernier long-métrage d’Alain Guiraudie sont peu nombreux. Les décors, eux, sont ceux d’un hameau du Gard, comprenant une maison, une ferme, une église et une forêt : rien de bien extraordinaire. La dramaturgie est sommaire : chaque fois que Jérémy, de retour à Saint-Martial pour les funérailles de son ancien patron, sort se promener, il croise une connaissance. Sans explication aucune : chacun apparaît simplement au détour d’un bois, au bord d’un lit ou à la croisée d’une route. On pourrait presque croire que l’on assiste à une comédie de boulevard, les sous-bois et les automobilistes remplaçant juste les placards. Les mêmes scènes se reproduisent, autour d’une table pour l’apéritif ou dans les bois pour la récolte des cèpes. À l’identique ou presque. Lorsqu’un corps disparait, l’enquête policière se déroule avec apathie et même complaisance : à la place de la police, n’importe quel observateur aurait rapidement identifié le coupable. Les dialogues oscillent entre sagesse rurale et réflexions métaphysiques. C’est que l’un des personnages est prêtre, mais d’une manière étrange : demandant à ce qu’on le confesse – au lieu de l’inverse – et tenant des discours excentriques sur le besoin de la violence dans ce monde. La cause guiraudienne a toujours tourné autour du désir. Elle l’est plus que jamais dans Miséricorde. La liberté de Guiraudie, bien sûr, qui depuis un quart de siècle a habitué son public à emprunter des chemins peu conventionnels. Des chemins cinématographiques mais aussi littéraires,…
Please active sidebar widget or disable it from theme option.
{{ excerpt | truncatewords: 55 }}
{% endif %}