Lire “Le Roi Lear” pendant la saison des ouragans
Au-dessus de mon bureau, je garde un Post-it avec une citation de la pièce : « Le pire n’est pas si long que nous puissions dire ‘C’est le pire.’ »
Au-dessus de mon bureau, je garde un Post-it avec une citation de la pièce : « Le pire n’est pas si long que nous puissions dire ‘C’est le pire.’ »
Explorez comment l’IA va transformer le monde de la danse dans les années à venir. Si vous êtes passionné par cet art, préparez-vous à être étonné !
Vous avez bien lu, l’IA effectue des avancées majeures dans le domaine artistique, et la danse en est l’une des dernières nouveautés ! La compagnie de danse AΦE, fondée par Aoi Nakamura et Esteban Lecoq, a récemment poussé les limites de l’IA. Les deux artistes ont introduit un concept inédit lors d’une représentation, en intégrant un élément exceptionnel dans le spectacle : l’IA !
Les spectateurs présents ont fait la connaissance de Lilith.Aeon, un hologramme IA sur écran LED qui s’inspire des mouvements de danse du public pour concevoir ses propres chorégraphies. Impressionnant, n’est-ce pas ? Dans cet article, nous allons découvrir comment l’IA pourrait redéfinir la danse et comment elle incitera les chorégraphes à exceller dans leur narration artistique ?
Je suis convaincu que dans les années à venir, les chorégraphes et danseurs intégreront l’IA à leurs créations pour améliorer leurs performances. Parmi les pionniers ayant expérimenté l’intégration de l’IA dans la danse, figure certainement Wayne McGregor, un chorégraphe et metteur en scène britannique.
Il a collaboré avec Google pour développer AISOMA, un outil qui lui permet d’analyser 25 ans d’archives de ses performances afin d’obtenir des suggestions en temps réel. Le principal atout de cet outil chorégraphique IA est qu’il transforme chaque présentation en un véritable chef-d’œuvre, comme une improvisation !
Un autre chorégraphe, Alexander Whitley, a recouru à l’IA pour garantir une immersion totale du public lors de sa performance du « Sacre du printemps ». En effet, il a choisi la réalité virtuelle pour créer une IA qui propose des réponses chorégraphiques basées sur les mouvements des spectateurs. En visionnant une partie du spectacle, je n’avais pas réalisé à quel point l’IA pouvait favoriser un tel niveau d’interaction avec le public, le transformant d’un simple spectateur à un participant activement impliqué dans la création d’une œuvre.
Je l’admets, l’IA ouvre de nombreuses perspectives dans le domaine de la danse, mais son utilisation soulève également des questions cruciales. Parmi celles-ci figurent les droits des danseurs et l’authenticité des œuvres présentées. Il est donc naturel de se demander si l’emploi de l’IA dans la danse est éthique.
En examinant certaines applications IA comme Move.ai, qui capture facilement les pas de danse, des interrogations concernant la propriété intellectuelle et la rémunération juste émergent. Effectivement, aujourd’hui, il est possible de retrouver des mouvements de danse simplement en consultant des bases de données IA spécialisées dans ce domaine.
Selon McGregor, le débat ne devrait pas exister, tant que les droits des artistes sont protégés. Pour lui et d’autres figures notables, l’IA pourrait devenir une source de revenus significative pour les artistes. Cependant, on s’interroge sur la capacité des spectateurs à conserver un lien émotionnel profond avec la danse à l’ère de l’IA. Une question que tous les passionnés de danse se posent…
En 2014, la cheffe britannique Nigella Lawson a publié sur son blog sa recette des spaghettis alla puttanesca, un plat de pâtes typique de la cuisine napolitaine qui se traduit littéralement par « spaghettis à la façon des putains ». En août dernier, cette même cheffe a rebaptisé sa version du plat avec un nom plus adapté à la télévision : les « slattern spaghetti ». Cette initiative n’est pas passée auprès du quotidien conservateur italien Il Corriere della Sera, qui a accusé Lawson de faire preuve d’un politiquement correct exagéré et de pratiquer la cancel culture. Cependant, le mot anglais slattern peut se traduire par « souillon » ou « traînée », et de nombreux dictionnaires le citent comme synonyme de « salope ». En fait, étant donné les connotations négatives attachées à tous ces mots, on ne voit pas très bien pourquoi l’un d’entre eux serait meilleur que l’autre, ni pourquoi le plat leur a été associé en premier lieu. Selon Luca Cesari, écrivain et auteur de Storia della pasta in dieci piatti (« L’histoire des pâtes en dix plats »), les origines de la recette sont obscures. À sa connaissance, il en est fait mention pour la première fois dans des livres de cuisine des années 1950 et 1960, bien que l’on trouve des sauces pour pâtes contenant des olives, des câpres et des anchois (sans tomate) depuis le début du siècle. « C’est certainement une recette récente, mais je ne peux pas vous en dire beaucoup plus que les légendes urbaines que j’ai trouvées sur Internet », dit Cesari. Selon le journal Napoli Today, certains disent que la puttanesca a été inventée par le propriétaire d’un bordel aux portes de Rome, d’autres par le propriétaire d’un bordel du quartier espagnol de Naples, d’autres encore que son nom fait référence au vert, au rouge et au violet de la sauce, toutes les…
Please active sidebar widget or disable it from theme option.
{{ excerpt | truncatewords: 55 }}
{% endif %}