Quelle est la différence entre une foule enragée et un mouvement de protestation légitime ?
De la Révolution française au 6 janvier, les foules ont été héroïsées et vilipendées. Maintenant, elles constituent un champ d’étude.
De la Révolution française au 6 janvier, les foules ont été héroïsées et vilipendées. Maintenant, elles constituent un champ d’étude.
La victoire des Dodgers en World Series avait tout : un lancer astucieux, des héroïsmes en fin de match, et un rappel que le sport donne un exemple civique.
Woman of the Hour, Will & Harper, et Ses Trois Filles ne sont que quelques-uns des films à regarder sur Netflix ce mois-ci.
Lors d’un rassemblement dont l’emplacement évoquait le 6 janvier, Harris a tiré la sonnette d’alarme sur les tendances autoritaires de Trump mais a refusé de s’attarder sur le spirale de honte nationale qui s’est formée autour de lui.
DIVERTISSEMENT – Cyril Lignac voit double! Le pâtissier a dévoilé ce lundi 10 janvier sa statue de cire au musée Grévin, comme vous pouvez le découvrir dans notre vidéo en tête d’article. Celui qui est aux commandes de Tous en cuisine sur M6 a officiellement rejoint les quelque 200 personnages du musée parisien fondé en 1882. Sa statue a été dévoilée au cours d’une cérémonie animée par Stéphane Bern. “Par ton talent, par ce que tu représentes, tu mérites vraiment d’entrer dans ce temple de la gloire”, a souligné l’animateur de Secrets d’Histoire. Le chef pâtissier a pu suivre chaque étape de la création de sa statue, comme il l’a raconté à Thomas Sotto et Julia Vignali dans Télématin sur France 2, lundi 10 janvier. 250.000 cheveux naturels La création d’une statue comme celle de Cyril Lignac nécessite environ 250.000 cheveux naturels, 22 litres de peinture et 34 kilos de cire, selon le musée. Cyril Lignac s’est fait connaître dès 2005, en ouvrant son restaurant gastronomique Le Quinzième à Paris. La même année, il animait un programme de télé-réalité culinaire sur M6 appelé Oui chef!, ancêtre de Top Chef. “Jamais je n’aurais imaginé me retrouver parmi les personnages du Grévin”, a-t-il confié au cours de la cérémonie. “Je suis arrivé à Paris il y a 20 ans avec un peu d’argent et les couteaux et j’ai attaqué le pavé parisien en gravissant les échelons sans jamais aucune envie d’être le meilleur, mais toujours avec l’envie d’apprendre.” Il rejoint notamment les statues de Pierre Palmade et Muriel Robin, dévoilées à la fin du mois d’octobre. À voir également sur Le HuffPost: Ces moments où l’aventure aurait pu mal finir pour Mike Horn Source
Associated PressUne capsule temporelle découverte le 27 décembre 2021, à Richmond en Virginie, aux États-Unis. ÉTATS-UNIS – Des reliques datant de la guerre de Sécession, mais pas de trésor: la capsule temporelle enterrée depuis 134 ans sous la statue du général confédéré Robert Lee en Virginie a dévoilé ses mystères mardi à Richmond, sans satisfaire les espoirs des collectionneurs américains. À l’intérieur, les techniciens du département des ressources historiques de l’État de Virginie ont notamment trouvé des balles Minié (munitions de la guerre de Sécession entre 1861 et 1865), des billets et des pièces de monnaie émis par le gouvernement confédéré, des journaux et des revues, un almanach datant de 1887, des livres, une Bible, et des documents de loges maçonniques de la région. Deux petites sculptures de bois -les symboles maçonniques de l’équerre et du compas et un drapeau confédéré- étaient dans une enveloppe. Selon les experts, elles auraient été taillées dans l’arbre qui a poussé près de la tombe de Thomas “Stonewall” Jackson, un général confédéré. Un marque-page avec le profil dessiné du général Lee était inséré dans l’un des livres. La boîte contenait aussi un fragment d’une bombe utilisée lors de la bataille de Fredericksburg, remportée par les Sudistes en 1862. Le document le plus marquant reste un dessin représentant une femme agenouillée se recueillant devant le cercueil d’Abraham Lincoln, assassiné le 14 avril 1865. Elle avait été publiée en double page centrale dans la revue Harper’s Weekly deux semaines plus tard. They found it! This is likely the time capsule everyone was looking for. Conservators studying it—stay tuned for next steps! (Won’t be opened today) pic.twitter.com/3lWrsPGZd2 — Governor Ralph Northam (@GovernorVA) December 27, 2021 NEXT ON @NBC12: Conservators at @VaDHR_SHPO open the 1887 time capsule filled with several books, coins, buttons, and minie balls, a form of…
HONG KONG – Le “Pilier de la honte”, une statue rendant hommage aux victimes de la répression de Tiananmen, a été retirée de l’Université de Hong Kong ce jeudi 23 décembre après 24 ans de présence sur les lieux, supprimant un symbole des libertés dont jouissait la ville avant 2020. “La décision concernant la vieille statue a été prise sur la base d’un avis juridique externe et d’une évaluation des risques pour le meilleur intérêt de l’Université”, a déclaré la HKU dans un communiqué, alors que les groupes et les lieux commémorant la répression du 4 juin 1989 à Pékin sont devenues la cible de la draconienne loi sur la sécurité nationale imposée par la Chine. Une statue honorée Hong Kong a longtemps été le seul endroit en Chine où la commémoration des événements de Tiananmen était tolérée. Chaque année, les étudiants de la HKU nettoyaient la statue installée sur leur campus en 1997 pour honorer les victimes de ces événements. Mais Pékin a imprimé sa marque autoritaire sur l’ex-colonie britannique après les grandes et parfois violentes manifestations de 2019, en imposant une loi sur la sécurité nationale qui a criminalisé pratiquement toute forme de dissidence. En octobre, les responsables de la HKU avaient ordonné le retrait de la sculpture représentant un enchevêtrement de 50 corps déformés par la douleur, en évoquant déjà des risques juridiques, sans préciser lesquels. Le “Pilier de la honte”, de huit mètres de haut, a été mis à l’abri des regards mercredi derrière des bâches et des barrières avant d’être déboulonné jeudi matin pour être entreposée ailleurs, selon l’université. “Choquant” Dans son communiqué, l’institution assure que personne n’avait obtenu l’autorisation formelle d’exposer cette statue et cite une ordonnance datant de l’époque coloniale pour justifier son retrait. Cette loi inclut le crime de sédition et a été récemment…
DEA / C. SAPPA via Getty ImagesLa statue de Napoléon à Rouen a été retirée pour être restaurée. POLITIQUE – La croisade contre le wokisme continue. Cette fois, c’est Éric Ciotti, candidat à la primaire des Républicains pour la présidentielle 2022, qui se place “en candidat d’un peuple qui refuse de disparaître, d’être effacé”, comme il l’a écrit dans un tweet dimanche 31 octobre en réponse à ce qu’il croyait être la décision de la ville de Rouen de retirer une statue de Napoléon. ″À Rouen, la mairie de gauche retire la statue de Napoléon installée depuis 1865. Le wokisme et la déconstruction de notre identité en action. Je dis stop aux déconstructeurs et aux déboulonneurs”, a-t-il partagé, visiblement remonté. Il a aussi proposé de récupérer cette statue pour l’installer dans son département des Alpes-Maritimes. À Rouen la mairie de gauche retire la statue de Napoléon installée depuis 1865 Le wokisme et la déconstruction de notre identité en action Je dis stop aux déconstructeurs et aux déboulonneurs Je suis le candidat d’un peuple qui refuse de disparaître, d’être effacé #CongresLRpic.twitter.com/p0zpbIkyot — Eric Ciotti (@ECiotti) October 31, 2021 Je propose à la mairie de Rouen de récupérer la statue de Napoléon qui a été déboulonnée et de l’installer dans les Alpes-Maritimes ! — Eric Ciotti (@ECiotti) October 31, 2021 Problème: la statue n’a pas été retirée dans le cadre d’une campagne “wokiste”, mot tiré de l’anglais qui signifié être ”éveillé” aux oppressions vécues par les minorités, mais devenu expression fourre-tout. Le maire socialiste de la ville Nicolas Mayer-Rossignol a répondu sur Twitter au député des Alpes-Maritimes ce lundi 1er novembre, indiquant que la statue était en train d’être restaurée. “Cher Monsieur Éric Ciotti, vous êtes surtout le candidat du mensonge. La statue n’a pas été ‘retirée’, au contraire. Rouen dépense 200.000…
Photo : Ivan Romano/Getty Images « Ils étaient trois cents, ils étaient jeunes et forts, ils sont tous morts. » Lors d’une cérémonie organisée samedi dans la province de Salerne, l’ancien Premier ministre italien Giuseppe Conte a dévoilé une nouvelle statue sculptée en hommage à la Glaneuse de Sapri, héroïne d’un poème écrit en 1857 par Luigi Mercantini. Mais la sculpture ne ressemble pas tout à fait à ce que les Italiens attendaient. Une photo particulièrement gênante montrant des dignitaires locaux admirant la statue est devenue virale en Italie. On y voit la glaneuse couvrir habilement ses seins d’une main en regardant la mer derrière elle, la brise marine imaginaire révélant la courbure de ses fesses aux politiciens rassemblés. Souvent étudié dans les écoles italiennes, La Spigolatrice di Sapri raconte l’histoire d’une femme qui tombe amoureuse de Carlo Pisacane, un personnage historique réel qui fut l’un des premiers penseurs socialistes et anarchistes d’Italie. Dans le poème, elle raconte l’échec de l’insurrection de Pisacane contre le royaume de Naples, où il espérait que les Napolitains locaux se joindraient à ses trois cents hommes dans une révolution. Au lieu de cela, ils se sont rangés du côté des Bourbon au pouvoir, et Pisacane a été tué, ainsi que tous ses partisans. Plutôt que de représenter Pisacane, ou les trois cents hommes, la sculpture dévoilée ce week-end pour commémorer l’arrivée fatale des révolutionnaires à Sapri est plutôt représentée par la glaneuse, dont le travail consistait à ramasser le grain après la récolte. Publicité Mais les Italiens ont vite regretté qu’elle soit moins vêtue qu’une véritable glaneuse de l’époque, et que l’on voit clairement ses fesses à travers sa robe très fine. Selon la députée de gauche Laura Boldrinia, la statue est « une offense aux femmes et à l’histoire qu’elle est censée célébrer ». Photo : Ivan…
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