Les banques françaises financent toujours le charbon, et 3 autres infographies à ne pas rater
Le graphorama, c’est quatre infographies sélectionnées chaque semaine par la rédaction pour regarder l’actualité autrement.
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Nous sommes lundi 12 juin 2023, voici le programme de Toujours Debout présenté par Rémi-Kenzo Pages. ▶ Entretien d’Actu : Anasse Kazib, Enora Chopard Jeudi 15 Juin, une grève, des cheminots du Bourget, pour protester contre la liquidation du fret est prévue, dans un front inédit, avec les organisations écologistes. Un rassemblement ce jeudi 15 juin, à 11 heures au triage du Bourget est organisé. Qui met la question du rail et du transport au cœur des enjeux climatiques. Au-delà du fret, des mobilisations écologistes et syndicales pour la défense du rail, des transports moins polluants, moins destructeurs et contre le tout routier, sont en cours. Pourtant, dans le même temps, les soulèvements de la Terre appellent à manifester les 17 et 18 Juin contre la ligne Lyon Turin, dans la vallée de la Maurienne. Pour comprendre, Le Média reçoit deux acteurs de ces luttes. Le syndicaliste de Sud Rail Paris Nord, qu’on connaît par ailleurs pour ses engagements politiques avec Révolution Permanente, Anasse Kazib. Et Enora Chopard, qui nous vient de Rouen, porte-parole de la coalition, La déroute des routes et militante de Terres de Luttes qui mobilise avec les Soulèvements de la terre contre les projets routiers destructeurs. Source
Nous sommes mercredi 5 avril 2023, voici le programme de Toujours Debout aujourd’hui présenté par Nadiya Lazzouni. ▶ Fond de l’info : Maïlys Khider, Théophile Kouamouo Et au sommaire de ce fond de l’info, deux grosses actualités qu’on vous propose de décrypter, façon Le Média. Bien entendu on va parler de la rencontre à Matignon, entre l’intersyndicale et Elisabeth Borne. Qui, comme on pouvait s’y attendre, a tourné court. Arrivés à dix heures à Matignon, les représentants des différentes centrales syndicales sont sortis une heure plus tard, après avoir constaté, sans surprise, que la Première ministre refusait de retirer sa réforme… On parlera également de l’audition de Gérald Darmanin, ministre de l’intérieur, devant la représentation nationale : les députés et les sénateurs. Deux auditions distinctes sur la gestion du maintien de l’ordre lors des manifestations contre la réforme des retraites, mais aussi lors de la répression du mouvement anti-bassines à Sainte-Soline, dans les Deux-Sèvres, On analyse cette actualité sociale plutôt riche avec Maïlys Khider, journaliste indépendante, et Théophile Kouamouo, rédacteur en chef du Média. ▶Entretien d’Actu : Emma Audrey « FRDETER », c’est le nom du canal d’extrême-droite sur Telegram qui incitait à des actions violentes notamment à l’encontre de la communauté musulmane du Wazemmes, à Lille. Mais pas seulement. Des élus de gauche, des journalistes ou encore des militants associatifs nommément désignés, figurent parmi la liste des cibles potentielles de cette organisation pourrait qualifier de terroriste. C’est Tajmaât, qui se présente comme une « plateforme collaborative pour les Maghrébins » qui a révélé l’existence de groupuscule néonazi FRDETER après l’avoir infiltré pendant deux semaines. Quel est le profil de ces identitaires abonnés au groupe FRDETER décidés à commettre des attentats ? Quelles sont leurs motivations ? Quelles actions violentes étaient en préparation ? Est-ce que la menace est aujourd’hui écartée ? On en parle avec Emma Audrey journaliste Grand Reporter…
Nous sommes lundi 3 avril 2023, voici le programme de Toujours Debout aujourd’hui présenté par Théophile Kouamouo. ▶ Carte Blanche : Cemil Sanli Notre journaliste Cemil revient sur l’élection de Martine Froger ce week-end en Ariège. ▶ Kissékadit ▶ Carte Blanche : Marion Beauvalet Marion Beauvalet, doctorante en théorie des organisations et animatrice de l’émission “Plan B” sur Twitch. Elle est venue nous parler d’un scandale d’Etat impliquant Marlène Schiappa et de l’écran de fumée que la secrétaire d’Etat chargée de l’économie sociale et solidaire ainsi que de la vie associative Depuis quelques jours, la presse et les commentateurs évoquent l’interview et les photographies faites par Marlène Schiappa dans Playboy. Ce sujet ne devrait pas nous intéresser un seul instant, puisqu’il nous détourne de ce qui pourrait être un scandale d’État dans le contexte déjà très tendu de la mobilisation contre la réforme des retraites. ▶ Fond de l’info : Anasse Kazib, Éléonore Schmitt, Paul Elek Une discussion avec l’analyste politique Paul Elek, Anasse Kazib de Révolution permanente et de Sud-Rail, ainsi que Éléonore Schmitt, présidente et secrétaire nationale de L’Alternative. Une conversation autour d’un thème : la bataille contre la réforme des retraites est-elle dans une impasse, une mauvaise passe ou continue-t-elle d’aller dans le bon sens ? L’intersyndicale risque-t-elle d’imploser ou de plomber les luttes, après l’élection de Sophie Binet à la tête de la CGT ? Source
Le dynamisme de la mobilisation des petites et moyennes villes contre la réforme des retraites se confirme. Mais Emmanuel Macron aurait déclaré devant ses collaborateurs, lundi 13 (selon le Canard enchaîné) : «En fait, ce sont toujours les mêmes, à quelques dizaines de milliers près, qui manifestent. J’entends dire que la bataille de l’opinion est perdue. Elle est difficile, mais elle n’est pas perdue.» Le Président pose une bonne question : à quel point le mouvement social classique, partisan, syndical et associatif, parvient à attirer de nouveaux publics ? Ces manifestations envoient un double signal au gouvernement : non seulement les syndicats ont encore de solides ancrages locaux, mais ils ont aussi la capacité d’entraîner (dans tous les sens du terme) des primo-manifestants, des gens éloignés du syndicalisme ou du militantisme de gauche politique. Le gouvernement craint que cette mobilisation ne fasse tache d’huile. L’exécutif essaye de se rassurer en minimisant cette convergence entre la mobilisation des ronds-points et les cortèges syndicaux contre la réforme. Car cette alliance sociale et politique, qui se ferait au détriment du Rassemblement national, pourrait construire un adversaire sérieux face au centre-droit. Source
Nous vivons un temps politique et social difficile. Alignant en peu de temps, pandémie, guerre aux portes de l’Europe, inflation et réformes néo-libérales (travail, chômage et maintenant retraites) qui abîment la vie et poussent des millions de personnes à opérer un bras de fer avec le gouvernement depuis des semaines. Un mouvement syndical qui s’élargit socialement en appelant désormais à déferler sur le pays le week-end, notamment samedi dernier (reportage à voir sur LE MÉDIA), avec comme objectif de pouvoir compter le maximum de participants et en faire un argument sur la table des négociation… tandis que certaines franges syndicales, comme la CGT Énergie dont on avait par ailleurs reçu un de ces porte-paroles ici-même, optent de plus en plus pour des modes d’actions qui flirtent avec le cadre légal, voire qui le dépasse totalement. Les noms d’oiseaux fleurissent alors dans la bouche du pouvoir : on parle de prise d’otage pour les uns, d’éco-terrorisme pour les autres. On arrête et on place des militantes en GAV pour de la craie effaçable à l’eau sur une porte de l’AN, on condamne avec la plus grande fermeté le moindre blocage ou ralentissement que la grève occasionne, on écrase le moindre mot de travers, le moindre appel à la mobilisation qui pourrait gêner le bon court d’un système, d’un monde qui pourtant est la source de ses propres malheurs que sont ces remous, ces expressions populaires d’aspiration à une forme de liberté. Et alors que le mot blocage est dans tous les esprits sur toutes les lèvres (du combat contre la RR, aux militants écolos contre les mines de charbon allemand), pour mon invité de ce soir, ce qui est à la base historique des pratiques syndicales, c’est le sabotage. Un mot lourd, désormais péjoratif, faisant référence à la violence. Dans son dernier…
Les femmes de ménage de la centrale nucléaire de Civaux, près de Poitiers sont en grève depuis 5 semaines et ne lâchent pas. C’est une réelle histoire de solidarité poitevine que l’on va vous raconter. EDF, comme beaucoup d’autres entreprises, sous-traitent leurs services dont l’entretien des locaux. Au niveau des prestations externes, les contrats sont remis sur le marché tous les 3, 4, 5 ans. Donc les agentes d’entretien changent d’entreprise très souvent, en travaillant toujours pour l’entretien de la centrale de Civaux. Depuis novembre, elles sont maintenant chez ELIOR. Plutôt isolées les unes des autres, elles ont réussi à se mettre en collectif, pour faire remonter leurs revendications à la direction. La CGT EDF de la centrale a décidé de les soutenir et de les accompagner. Fin décembre, ils et elles ont présenté un cahier de revendications avec par exemple le changement de leurs chaussures de sécurité cassées ou encore enfin un CDI après des années de CDD. Revendications acceptées car réglementaires. Une salariée de 62 ans, après 7 ans de CDD au mois ou à la semaine a obtenu son CDI. Par contre, la revendication financière n’est pas passée. Les salariées demandent la revalorisation de 200 euros brut par mois de leur salaire à peine au-dessus du SMIC ; et une prime de 500 euros pour compenser l’inflation de 2022. Elles demandent aussi une revalorisation de leurs indemnités déplacement, ou de salissures, ces dernières sont actuellement de 3,50 euros par mois. Ces femmes de ménage se sont mises en grève depuis le 10 janvier, et tiennent depuis 5 semaines grâce au soutien local, à la caisse de solidarité mise en place et au soutien de la CGT EDF. CGT qui demande la fin de la sous-traitance pour de meilleures protections et parce qu’elles font “partie de l’histoire du…
L’entretien express Dans L’entretien express, Le Média reçoit un.e invité.e qui viendra nous apporter son éclairage sur l’actualité la plus chaude, la contestation sociale la plus brûlante, ou encore la dernière crise internationale. En dix minutes maximum, nous ferons le tour d’une question. Source
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