Cette élection prouve simplement ce que je croyais déjà.
La liste des problèmes sur lesquels j’avais raison ne cesse de s’allonger. Des armes ? Kamala Harris en possède trop, mais aussi pas assez.
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Déconcertée et désabusée, cette femme a réalisé que le motif de son tatouage avait été conçu par une IA ! Une situation alarmante qui révèle le rôle de la génération d’images par intelligence artificielle dans nos vies quotidiennes.
Aimez-vous les tatouages ? En avez-vous ? Si c’est le cas, l’histoire de Kaarina Vuorinen pourrait vous toucher, car les tatouages sont censés incarner l’esprit et l’unicité de leurs porteurs…
Que se produit-il lorsque la création artistique provient d’une intelligence artificielle ? C’est l’expérience qu’a vécue Kaarina Vuorinen, une passionnée de tatouage âgée de 30 ans venant de Helsinki.
Lors de sa visite chez son tatoueur, Kaarina avait expressément demandé un tatouage de type épée gothique. Tout semblait se dérouler normalement, jusqu’à ce que, au cours de la séance, son tatoueur révèle avec fierté qu’il avait eu recours à un générateur d’images par IA pour créer le tatouage.
Pour le tatoueur, cette œuvre était une grande réussite, mais pour Kaarina, cela a été un véritable choc. « J’étais sous le choc. J’étais tellement déçue », a-t-elle confié à nos journalistes lors de l’entrevue. Il faut dire que le tatouage généré par IA était esthétiquement plaisant, mais manquait de substance.
Ainsi, si vous êtes un fervent ambassadeur des tatouages ou un artiste dans l’âme, vous pourrez vous mettre à la place de Kaarina. Beaucoup estiment que l’IA est une technologie froide dépourvue de l’humanité requise. Elle ne transmet pas l’émotion inhérente aux œuvres d’art classiques.
Recourir à l’IA pour la conception de tatouages devient de plus en plus courant. Cette tendance est en grande partie favorisée par des générateurs d’images très avancés capables de créer des motifs en quelques instants.
Cependant, pour certains artistes, cette approche frôle le déni. « C’est comme pratiquer du sport sous substances », déclare Matt Doherty, tatoueur du New Jersey. Il insiste sur le fait que l’art du tatouage exige une habileté, de la patience et une inspiration que l’IA ne peut pas répliquer.
Au-delà du manque d’imagination humaine, les critiques pointent un autre problème : les générateurs d’images puisent souvent dans des œuvres préexistantes disponibles en ligne, soulevant ainsi des préoccupations d’éthique et de plagiat. Dans le domaine du tatouage, où chaque design est censé être unique et personnel, ce processus est jugé irrespectueux envers les artistes.
Bien que les images produites par IA paraissent impeccables, il est essentiel de reconnaître que dans le domaine des tatouages, l’IA a des limitations techniques. Matthew Hatch, tatoueur à Toronto, rappelle une expérience avec un client qui avait apporté une image générée par IA montrant des galaxies dans l’univers. « Si nous avions réalisé le tatouage tel quel, cela aurait eu l’air d’un bleu », raconte-t-il.
Pour cet artiste, certains designs, bien qu’impactants sur un écran, ne se traduisent pas fidèlement en tatouages sur la peau, en raison des particularités de l’encre et de la texture cutanée.
Les tatouages, par leur nature, sont des œuvres personnelles et permanentes. Opter pour un design créé par IA pour une chose aussi durable peut sembler risqué. Pour ceux qui apprécient la créativité humaine et la connexion avec leur artiste, l’IA semble dépourvue de l’étincelle qui rend un tatouage véritablement unique. La question se pose alors : un tatouage peut-il réellement être unique s’il est créé par une machine ? Le métier de tatoueur va-t-il également être remplacé par l’IA ? Quelles sont vos impressions ?
Le rappeur né à Philadelphie sur les vêtements de scène (“Combinaison, salope !”), la situation avec Diddy, et ses rencontres avec Questlove et Jay-Z. C’est un truc de Philly.
Dans ses 公告, Kamala Harris marche sur une ligne entre l’illumination des problèmes et la reconnaissance de la folie historique de son adversaire ; Donald Trump cible sa base.
J’avais une soif intarissable d’être seule. La solitude ne me pesait pas, mais elle avait un goût nouveau. J’ai lancé « Post break-up sex » dans mon casque, et me suis enfoncée dans l’obscurité de la nuit et de mon chagrin.
The post Découvrir The Vaccines le cœur brisé sur la côte anglaise appeared first on VICE.
J’avais une soif intarissable d’être seule. La solitude ne me pesait pas, mais elle avait un goût nouveau. J’ai lancé « Post break-up sex » dans mon casque, et me suis enfoncée dans l’obscurité de la nuit et de mon chagrin.
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Dans la série Oops, on célèbre les plus gros ratés de l’histoire. Un tatouage peut vous permettre d’exprimer un peu qui vous êtes au monde – comme, par exemple, le fait de descendre d’une ancienne tribu de guerrier·es ou de vraiment bien aimer la mayonnaise. Étant donné que c’est une décision sur laquelle il est difficile de revenir, la plupart des gens réfléchissent à deux fois avant de tatouer un truc sur leur corps. Mais parfois, les mauvaises idées prennent le dessus, et vous paraissent comme un coup de génie. Publicité Aussi stupide ou impulsif qu’il puisse être, chaque tatoo a une histoire. Un·e inconnu·e pourrait voir dans votre tatouage hand-poked comme un signe que vous êtes probablement un peu à l’ouest, mais pour vous, il évoque des souvenirs de votre première coloc’ ou d’une de vos meilleures soirées. Chez VICE, on pense qu’il n’y a pas vraiment de mauvais tatouages ; juste des histoires un peu douteuses. Et pour le prouver, on a demandé à nos collègues de partager l’histoire de leur tatouage le plus pourri. Tom Niesporek – Producteur associé L’année dernière, j’étais au Portugal avec mon meilleur ami, et on a décidé de se prendre une nuit à Lisbonne. On n’avait pas beaucoup d’argent, alors on a fini par loger dans un lotissement pour 20 euros la nuit [un Airbnb]. Il y avait quelques groupes de gens qui traînaient dans le quartier et qui sifflaient quand les flics arrivaient. Notre hôte nous a fait entrer dans son appartement au 13ème étage. Elle avait plein de tatoos, même sur le visage. Elle nous a donné de la weed et nous a dit que si on voulait un tatouage, elle nous le ferait. On a aussi vu un gangster torse nu se faire tatouer dans son appart. On a…
Il n’est pas surprenant que certaines personnes portent des tatouages exprimant leur haine ou leur méfiance à l’égard de la police. Souvent, ces tatouages sont le résultat d’expériences personnelles de brutalité policière, de traitements injustes, d’application d’un pouvoir autoritaire. Bien sûr, il n’est pas nécessaire de se tatouer « ACAB » ou « 1312 » pour manifester sa colère à l’égard de la police. Et toutes les victimes de violences policières n’ont pas forcément envie de garder leur traumatisme gravé sur la peau non plus, mais qu’il s’agisse d’un « souvenir » ou d’une posture esthétique, ce phénomène révèle quand même un profond malaise à l’égard des forces de l’ordre. Perso, même si l’institution policière m’a déçue à plusieurs reprises, je préfère avoir le nom de mon chien sur le bras. Par contre, j’ai contacté quelques potes et connaissances pour parler de leur tatouage et de leur expérience avec la police. Daan (28 ans), agent de stérilisation VICE : Tu peux m’en dire plus ? Daan : Ce sont des flics morts sur un crochet à viande. Pourquoi t’as fait ça ? Il suffit de jeter un œil sur les événements récents : y’a quelque temps, 16 flics anversois ont été condamnés pour harcèlement. Beaucoup pensent que c’est du passé, mais y’a encore trop de policier·es qui abusent de leur pouvoir. Si t’es pas capable de supporter le stress ou la pression, change de boulot. T’as pas peur d’avoir des regrets plus tard ?Non, j’en ai pas. Pas encore en tous cas. Les regrets peuvent venir avec le temps ouais, mais je suis jeune, je m’inquiète pas. En fin de compte, c’est qu’un dessin sur ma peau. Tes parents sont au courant ?Non. Je pense qu’ils me renieraient. Ma copine n’est absolument pas fan de ça non plus. Amore Flow (âge et…
Des phénomènes toujours plus intenses continuent de changer la face de notre monde. Alors que je pourrais assister impuissant à des bouleversements considérables, j’ai moi aussi décidé de me chauffer pour que mes actes aient un impact sur la société. En ce beau matin d’hiver, je me prépare mentalement à baisser mon froc dans un skatepark bruxellois pour me faire tatouer par un artiste un peu farfelu qui a besoin de personnes consentantes pour lui permettre d’exercer son art. J’ai découvert Rixard sur internet. Ce qui m’a surtout interpellé, c’est sa façon de tatouer. Cet Espagnol de la trentaine est – en tout cas selon lui – l’un des précurseurs du « performance tattoo », du tatouage performatif, improvisé, spontané. Ce que je trouve intéressant dans sa pratique, c’est qu’il balance aux chiottes les codes figés pour arriver à un truc ultra brut et sincère. Ma première réaction quand j’ai vu ce qu’il faisait, ç’a été : « Wah, c’est n’importe quoi ce truc. » Puis petit à petit, en regardant ses nombreuses performances, j’ai commencé à comprendre le délire. Un message aux puristes de la ligne droite et du calque bien préparé : la suite risque de vous froisser profondément. Au début, je pensais simplement lui proposer une entrevue classique, des questions bateau pendant qu’il faisait son truc sur quelqu’un d’autre. Mais après ça, je me suis dit qu’en tant que journaliste gonzo des temps modernes, il fallait que je vive la chose de l’intérieur. Après un moment d’hésitation, j’ai décidé de me lancer. Quand j’ai compris qu’il allait faire une série de performances liée au graffiti – que j’ai pas mal pratiqué fut un temps – ç’a été la porte d’entrée. On commence donc par échanger des messages sur Instagram. Il m’explique qu’il tatoue depuis 2013 et qu’il…
J’ai toujours aimé discuter de tatouages et partager quelques anecdotes à ce sujet. Par exemple, j’ai une lune et un soleil absolument claqués au sol sur ma cheville droite et mes ex se sont toujours bien foutus de ma gueule quand ils les voyaient pour la première fois. Aujourd’hui, je fais du laser pour enlever ça, mais j’ai aussi fait dix autres tatouages plus stylés histoire de noyer ce gribouillis semblable à un dessin d’un gosse de trois ans. La question qui revient souvent quand on fait le tour de nos tatouages entre potes, c’est « T’en as un que tu préfères ? ». Perso, impossible de choisir. Du coup, j’ai plutôt décidé de poser la question à des gens qui ont le double, voire le triple de mes tattoos sur leur corps, et qui connaissent ce sujet mieux que personne : cinq tatoueur·ses belges bien plus cools que moi. Sven aka svenrayen ( 41 ans) VICE : Sven, c’est quoi ton tatouage préféré?Sven : C’est un petit buste du philosophe grec Démocrite, également connu sous le nom du « philosophe qui rit ». Très cool. Qu’est-ce qui le rend si spécial ?C’est le premier tatouage que j’ai fait après m’être cassé les deux bras. Je n’ai pas pu tatouer pendant deux mois et demi à cause de cet accident. T’as un tatouage que tu regrettes ?J’ai eu mon premier tatouage à 16 ans, ce qui n’était pas la meilleure idée vu que j’ai choisi un caractère chinois dans un livre de dessins. Je l’ai fait recouvrir quelques années plus tard. En tant que tatoueur, t’as déjà eu des gens qui t’ont marqué ? Je me souviens de la visite d’un capitaine qui devait avoir dans les 70 ans. Au fil de la discussion, il m’a dit qu’il avait toujours refusé de se faire…
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