Les 65 meilleurs films sur Disney+ en ce moment (octobre 2024)
Vice-Versa 2, Venom et Road Diary : Bruce Springsteen et The E Street Band ne sont que quelques-uns des films que vous devriez regarder sur Disney+ ce mois-ci.
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L’acteur Melvin Boomer et Léo Urban, le Tarzan Français, sont les invités de Pauline Clavière sur Clique. Ils racontent leurs études communes et leur succès récent, mais aussi les spécificités de leurs métiers d’acteur et de créateur de contenu. Melvin Boomer à l’affiche d’une série évènement “La Cage”, la nouvelle série de Franck Gastambide, sera disponible le 8 novembre sur Netflix. Taylor, le personnage principal est un jeune amateur de MMA qui rêve de devenir champion et, au gré de ses rencontres, se rapproche peu à peu de son rêve. “Cet esprit combatif me parle : Taylor est un grand dyslexique qui n’a pas forcément trouvé sa voie dans les études mais a trouvé sa voie dans le MMA” décrit Melvin Boomer. Lui-même dyslexique et dysorthographique, l’acteur s’est reconnu dans son personnage. Le métier d’acteur est arrivé à Melvin Boomer un peu par hasard. Avant de se retrouver sur les plateaux de tournage, il était danseur depuis l’âge de 12 ans. “Ce qui m’a plu dans la danse, c’est cette mentalité à ne rien lâcher et se donner à fond, qu’on retrouve aussi dans la boxe.” Le monde du MMA n’est pourtant pas si étranger à Melvin Boomer, puisque son père Jean-Phael Promeneur est champion de MMA et de jiu-jitsu brésilien. Même si l’acteur n’a jamais été combattant, il a longtemps suivi son père dans des compétitions à travers l’Europe. “Ça a été un gros travail de préparation. On l’a fait un peu à la Rocky, on s’est exilés en Italie pour s’entraîner” se souvient l’acteur. Son père lui a fait savoir qu’il était très fier de sa prestation dans la série. Léo Urban, celui qui voulait redevenir Homme Melvin Boomer est rejoint en deuxième partie d’émission par Léo Urban. Le YouTubeur, surnommé le “Tarzan Français”, vient présenter son livre “Humanimal” sorti le 2 octobre aux éditions Grasset. Dans son ouvrage, il amène son lecteur à se questionner sur sa place dans la nature et sur ses racines communes avec les animaux. Connu pour avoir escaladé de grands monuments français comme la Tour Eiffel ou la Tour Montparnasse, le YouTubeur est en quête constante de dépassement de soi. Lors de ces fameuses montées, il se remet en phase avec sa nature profonde : “Je pense que je souhaite plus me rapprocher de mon humanité plutôt que de devenir un singe.” À ses yeux, l’humain doit réfléchir à sa place dans le monde. Une révolution dans notre rapport à la terre et ce qui nous entoure semble s’imposer. “Le dérèglement climatique vient de nous qui sommes les vrais déréglés. Depuis deux siècles, on s’est complètement perdus en tant qu’espèce.” Pour lui, il faut se reconnecter à nos racines : “Le monde est magique, on vit dans un paradis mais on n’a plus conscience de tout ça, on est dans notre bulle et toute cette technologie et cette manière de vivre nous coupe de cette magie.” Si cette vision l’accompagne depuis son plus jeune âge, Léo Urban décide de la partager dans son roman. Une découverte pour les lecteurs qui pourront tenter de se reconnecter à la nature. “La Cage”, avec Melvin Boomer, sort sur Netflix le 8 novembre et le livre de Léo Urban “Humanimal” est disponible en librairie. L’interview de Melvin Boomer et Léo Urban est disponible en replay sur myCANAL.
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Reda Kateb est venu présenter “Sur un fil”, son premier film en tant que réalisateur, sur le plateau de Clique. L’acteur explique pourquoi son long-métrage est une œuvre engagée et revient sur son rôle dans “Un Prophète”, son enfance aux côtés de Kery James et sa relation amicale avec Tahar Rahim. “Sur un fil”, son premier film Après 16 ans de carrière en tant qu’acteur, Reda Kateb a décidé de passer à la réalisation. “Sur un fil”, avec Aloïse Sauvage et Philippe Rebbot, sort en salle le 30 octobre. C’est l’histoire d’une clown professionnelle qui travaille auprès d’enfants dans un hôpital : “Avec un petit garçon malade, ils vont devenir indispensables l’un à l’autre” décrit son metteur en scène. Au fil du film, elle va créer des liens très étroits avec cet environnement qu’elle ne connaît au départ. Pour son premier long-métrage, Reda Kateb a choisi d’aborder un milieu qu’il voit depuis toujours, puisque sa mère était infirmière : “elle me racontait que c’était important pour elle d’écouter ses patients.” Aujourd’hui, les enfants malades sont de plus en plus pris en compte dans les hôpitaux et le réalisateur voulait dépeindre cette évolution. “La découverte de ce métier de clown à l’hôpital m’a donné envie de faire ce long-métrage.” Un début de carrière immédiatement sous les projecteurs Son premier rôle à la télévision, il le doit à la série “Engrenages” en 2008. Face à Mouloud Achour, il raconte l’anecdote de son casting plein de rebondissements. Le futur metteur en scène arrive en retard car il faisait le clown pour l’anniversaire d’une petite fille. Après négociation, la directrice du casting accepte de le recevoir et durant sa prestation, Reda Kateb se met à rapper : “Je peux aussi vous faire un morceau de NTM !” Face à la caméra, il entame “Touche pas à ma musique” et finit par décrocher le rôle qui le lancera en tant qu’acteur. Dans la foulée, il est embauché pour jouer dans le film “Un Prophète” de Jacques Audiard aux côtés de Tahar Rahim : “On avait déjà joués tous les deux dans une série CANAL.” C’est comme ça que le réalisateur est tombé sur le profil de Reda Kateb. “Je ne l’ai même pas rencontré avant qu’il me donne le rôle.” C’est sur ce film qu’il rencontre le futur interprète de Charles Aznavour. Depuis, ils n’ont plus rejoué ensemble, mais ils restent très proches, au point qu’il le qualifie de “frère de route.” Au cours de sa carrière, Reda Kateb a également tourné sous la caméra de La Rumeur, groupe de rap mythique devenu duo de réalisateurs, pour le film “Les Derniers Parisiens” en 2016. Il les connaissait déjà à la fin des années 1990, époque à laquelle ils ont enregistré une mixtape ensemble. Depuis, il est resté très proche d’eux : “Nous avons des liens fraternels qui tiennent sur la durée.” Sa passion pour le métier d’acteur, il la tient de son père, lui-même comédien, notamment dans “Les Aventures de Rabbi Jacob”. “Il m’emmenait en tournée partout avec lui quand j’étais petit.” Inspiré par son paternel, la transmission semble être le moteur de Reda Kateb qui sort son premier film sur des enfants malades. L’interview de Reda Kateb est disponible en replay sur myCANAL.
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Alban Ivanov est à l’affiche du film “Challenger”. Face à Mouloud Achour dans Clique, il revient sur sa dépression survenue en pleine tournée, ses rôles-clés, mais aussi sa relation avec son père. Le film coup de poing Alban Ivanov est à l’affiche du nouveau film de Varente Soudjian, “Challenger”, en salles le 23 octobre. Il y incarne Lucas Sanchez, un boxeur amateur qui voit sa carrière exploser du jour au lendemain. Inspiré de Rocky Balboa, l’acteur fait face à de nombreuses adversités : “Mon plus gros point commun avec mon personnage, c’est la détermination, la capacité à encaisser des coups et à se relever.” Ce film signe le grand retour du comédien, après une pause de plusieurs mois. À l’adolescence, Alban Ivanov se passionne pour le théâtre et la boxe : la moelle épinière donc de son dernier projet. “J’ai eu la chance de découvrir le théâtre d’improvisation et à partir de là, ma vie a changé : j’ai mis des œillères et je voulais faire que ça.” Il considère ainsi la salle de classe comme “sa première salle de spectacle”, à une époque où ses camarades le surnomment déjà Rocky. Son burn out Celui qui nous fait rire à l’écran et sur scène a atteint un stade d’épuisement qui a mis en péril son équilibre et ses repères. Après la crise du Covid-19, il reprend sa tournée de plus belle, mais les représentations s’enchaînent à hauteur de 5 ou 6 par semaine, ce qui l’emmène vers un burn out. Cette dépression le pousse à prendre une pause de quatre mois : “Je n’arrivais plus à me ressourcer et à me reposer, c’est là que j’ai compris que je n’étais pas une machine.” Cette période intense de travail l’a empêché de voir son fils et de mener une vie personnelle et professionnelle saine. Pendant cette période, il a rééquilibré sa vie et s’est fixé de nouveaux objectifs. Il a ainsi travaillé sur sa confiance en lui : “J’ai arrêté de vivre avec l’idée que j’étais un bon à rien. J’ai appris à m’apprivoiser et devenir mon meilleur ami, j’ai été trop longtemps mon pire ennemi.” Sa relation avec son père Dans son enfance, Alban Ivanov a connu de nombreuses difficultés. Ses parents se séparent quand il est encore enfant et son père est contraint de dormir dans la rue : “Au niveau de la société, les SDF, c’est comme s’ils n’existaient pas. C’était très dur de me construire : tout le monde te dit que ton père est un moins que rien.” L’angoisse de vivre comme son père l’a longtemps suivi : “Ce sont des mauvais réflexes que de dire à un enfant qu’il va finir comme son père. Toute ma vie, j’ai lutté contre ça.” Alban Ivanov revient également sur sa relation avec son propre fils : “Je ne voulais pas qu’il ait des doutes sur mon amour pour lui alors j’ai préféré l’emmener partout.” Il déplore le rythme et la difficulté que ce genre de métier peuvent créer dans son cercle familial. “Challenger” sort en salles le 23 octobre et Alban Ivanov est en tournée dans toute la France avec son spectacle “Vedette 2.0” à partir de janvier 2025. L’interview d’Alban Ivanov est disponible en replay sur myCANAL.
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Pour célébrer les 25 ans de l’anime, un pop-up store One Piece s’installe à Paris et l’événement réjouit déjà ses fans. Entre produits exclusifs venus tout droit du Japon, activités interactives et masterclass avec les créateurs de la série, les fans vont pouvoir vivre une expérience inédite autour de Luffy et son équipage. Pour cette occasion, le studio de création de l’anime, Toei Animation organise un pop-up entièrement consacré à la série. Une fois arrivé à l’intérieur du shop, on est directement plongé dans l’univers déjanté et si particulier de One Piece grâce au décor futuriste rappelant le laboratoire de Vegapunk. Les lumières et écrans interactifs nous plongent dans l’île futuriste d’Egghead. Réparties sur 2 étages, le lieu offre une expérience immersive unique sur 475 m². Les 25 ans de l’anime One Piece Isabelle Favre, la directrice marketing de Toei Animation Europe, raconte le lancement de cet événement unique : “Le choix de ce pop-up était comme une évidence pour célébrer cet anniversaire. On voulait un lieu emblématique pour réunir les fans et proposer des produits exclusifs.” Toei Animation et ses partenaires ont installé leur pop-up store immersif en plein cœur de Paris durant deux semaines, jusqu’au 3 novembre 2024. “La vraie date d’anniversaire de l’anime One Piece est le 20 octobre car le tout premier épisode de l’anime est sorti le 20 octobre 1999.” Isabelle Favre L’anime One Piece a déjà un quart de siècle. 25 ans que l’on suit à travers nos écrans de télévision, d’ordinateur ou de smartphone, les aventures de Luffy et de son équipage, d’East Blue au Nouveau Monde en passant par Grand Line. One Piece a su traverser les époques et s’adapter pour toujours rester dans la course, comme le témoignent les changements de direction artistique des épisodes depuis la fin de Whole Cake Island, en passant par Wano, jusqu’aux derniers épisodes à Egghead. N’oublions pas les films qui sont sortis ces dernières années et qui ont réuni des milliers de nakamas au cinéma, que ce soit pour de l’action pure dans Stampede ou autour d’une comédie musicale mettant en vedette l’une des artistes les plus en vogue du moment au Japon : Ado. Ce n’est pas la première fois que l’univers de One Piece débarque en Europe. Le 5 mai dernier, jour de l’anniversaire de Luffy, a marqué le coup d’envoi des festivités avec des structures gonflables géantes dans plusieurs villes européennes : Paris, Madrid, Milan, Berlin et Londres. Chaque ville avait un Gear différent, et nous, chanceux Français, avons eu le Gear 5, dernière transformation emblématique du futur roi des pirates. Heureux hasard ou véritable volonté de nous remercier, nous les deuxièmes plus grands consommateurs de mangas au monde ? Dans tous les cas, cet événement fait partie des nombreux temps forts organisés pour honorer ce quart de siècle de l’anime légendaire. Une offre exceptionnelle venue du Japon Ce pop-up ne se contente pas de produits dérivés classiques : “Pour l’évènement, nous avons fait venir une partie des produits exclusivement du Mugiwara Store d’Harajuku.” explique Isabelle Favre. Ces magasins sont exclusivement dédiés à One Piece, et chaque boutique propose son lot d’exclusivités. Le fait que Toei exporte un tel concept montre leur volonté de régaler les fans du Chapeau de Paille à l’international. Cet événement rappelle ce qu’avait fait The Pokémon Company avec le Pokémon Center éphémère à Paris il y a déjà 10 ans, lors de la sortie de Pokémon X et Y. Côté activités, il n’y a pas de quoi s’ennuyer : on trouve des écrans géants qui permettent de revivre tous les épisodes de l’arc du Pays des Wa et d’Egghead, ainsi qu’un photomaton qui vous photographie aux côtés de l’équipage de Luffy. Un grand système de loterie est également présent, où l’achat d’un ticket à 15€ garantit un lot pour chaque participant. Ce concours est organisé par la célèbre marque Ichiban Kuji, la loterie numéro un du Japon, histoire d’être complètement immergé dans l’ambiance. Les fans peuvent s’initier au jeu de cartes One Piece avec des master games, tout en découvrant la version française en exclusivité mondiale (elle sortira uniquement en 2025). De plus, un espace café propose, non pas les petits plats de Sanji, mais des boissons et des sucreries à l’effigie des personnages de l’anime qui raviront Chopper. Enfin, une exposition de planches Glénat grandeur nature nous replonge dans les moments forts de cette épopée, pour le plus grand bonheur des amateurs de manga. Au-delà du shop Les festivités pour l’anniversaire de One Piece ne s’arrêtent pas là. Deux personnalités clés de l’anime, Tatsuya Nagamine (réalisateur) et Kenji Yokoyama (directeur d’animation) vont faire le déplacement depuis le Japon pour animer une masterclass exclusive le 27 octobre. En parallèle, un concert symphonique se prépare pour ravir les fans de la série. Les musiques emblématiques de One Piece seront jouées en direct dans trois grandes villes françaises : Paris, Lyon et Lille. Des places sont toujours disponibles pour ces événements exceptionnels. En ce moment, les fans de One Piece peuvent profiter de ce magasin mais pas de l’anime : la série est en pause jusqu’à 2025. Isabelle Favre revient sur cette décision : “L’arrêt de l’anime peut paraître soudain, mais cela arrive souvent dans d’autres franchises. Chez Toei, on a réédité l’arc des Hommes-Poissons pour faire patienter les fans.” En attendant le retour de la nouvelle saison pour avril, Toei Animation a prévu de faire patienter les fans en rééditant une partie de l’anime avec des couleurs retravaillées et un son de meilleur qualité. Un cadeau parfait pour combler l’attente. Et pour les plus impatients, vous pouvez d’ores et déjà jeter un coup d’œil à l’épisode hors-série Fan Letter, sorti ce dimanche 20 octobre et réalisé par la célèbre Megumi Ishitani, à qui l’on doit certains des épisodes les plus plébiscités par le public. Elle nous en met plein les yeux avant de laisser nos dimanches orphelins pendant les six prochains mois. Mais ne doutons pas du retour de notre équipage préféré : ils se sont retrouvés après
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Lauren Greenfield, directrice de la série documentaire Social Studies, affirme que nous devons faire preuve d'empathie envers les adolescents qui grandissent en ligne. « Il n'est pas juste de leur demander de s'autoréguler alors que les applications ont été conçues pour créer une dépendance. »
En 25 ans de carrière, Rim’K a marqué le rap français. D’abord aux côtés de la Mafia K’1 Fry, du 113 et de DJ Mehdi, puis en solo, il s’est imposé comme une légende du Hip-Hop. Sur le plateau de Clique, il aborde sa longue carrière, sa relation avec ses parents et son futur concert à l’Adidas Arena en 2025. Un concert historique Le 12 décembre 2025, Rim’K va se produire à l’Adidas Arena. Le tonton du rap français promet une grande célébration. “Quand on parle de fête, on ne se trompe pas : ça va être les neveux, la famille, les nouveaux, les anciens. J’espère que ce sera mémorable.” Pour Rim’K, le rap est une affaire d’échange : “Je viens d’une grande famille, la musique, j’ai toujours vu ça comme un partage.” En parallèle, le rappeur prépare un album pour la fin de l’année. Il prévoit également de remettre “Les Princes de la ville”, l’album du 113 sorti en 1999, sur les plateformes de streaming. L’héritage du rap Rim’K raconte l’histoire de sa carrière très prolifique. Avant ses projets solos, l’artiste se produisait à la fin des années 90 avec la Mafia K’1 Fry et le 113. “Chacun avait son rôle : A.P. c’est celui qui tient les reines, Mokobé celui qui ramène la rigolade. On était complémentaires, c’est ça la force du 113.” Cette équipe qui a défini une partie de la genèse du rap français tel qu’on le connaît aujourd’hui. Avec la sortie du documentaire événement sur DJ Mehdi, producteur attitré du 113, le collectif bénéficie d’un regain d’intérêt de la part du public. Le chanteur fait également part de sa désolation face aux mauvaises habitudes d’une partie des rappeurs américains. “La folie du rock de l’époque, c’est en train d’arriver dans le rap.” Il fait notamment référence à Rich Homie Quan, décédé en septembre dernier d’une overdose. Les deux rappeurs ont collaboré sur le titre “Everyday” en 2016. “Quand la vague rap est arrivée à Atlanta, il y a plein de gars qui ont été envoyés au feu. On a dépassé un stade quand on voit le nombre de rappeurs qui se sont fait tuer aux États-Unis.” Sa famille, le partage Pour Rim’K, la famille est primordiale, son tube “Tonton du Bled” met d’ailleurs son père à l’honneur. “S’il était encore là, il aurait vu que ce n’est pas seulement de la musique que je voulais faire, c’était de le rendre fier, lui et toute notre famille.” À l’ouverture du Musée de l’Immigration à Paris, les conservateurs ont souhaité exposer le morceau “Tonton du Bled”, un moment fort pour lui. Il a également dédié une chanson à sa mère, “Maman”. “C’est pareil pour pleins de gens issus de l’immigration : nos parents nous ont tout donné et de ne pas pouvoir leur rendre, c’est déchirant.” L’artiste considère qu’il est du devoir des enfants d’émigrés de transmettre son héritage aux générations futures, tout comme il le fait avec sa musique. L’interview de Rim’K est disponible en replay sur myCANAL et sur la chaîne YouTube de Clique.
L’article RIMK : “L’ESSENCE DU RAP, C’EST DE REPRÉSENTER LES MINORITÉS ET METTRE LE DOIGT LÀ OÙ ÇA FAIT MAL” est apparu en premier sur Clique.tv.
Wolfs, Fancy Dance et The Last of the Sea Women ne sont que quelques-uns des films que vous devriez regarder sur Apple TV+ ce mois-ci.
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