Pourquoi parlons-nous de cette manière ?
La technologie transforme de manière spectaculaire le discours politique, récompensant la quantité et la variété au détriment des messages clairs du passé.
La technologie transforme de manière spectaculaire le discours politique, récompensant la quantité et la variété au détriment des messages clairs du passé.
Nvidia doit se préparer, car Amazon s’engage également dans la conception de puces alimentées par l’IA. Une stratégie qui va permettre au géant du commerce en ligne de gagner en autonomie. Explications !
Amazon s’apprête à défier le marché des puces d’intelligence artificielle avec Trainium 2, sa nouvelle génération de puces spécialisées. Cette démarche représente un tournant stratégique pour diminuer la dépendance d’Amazon Web Services (AWS) à l’égard de Nvidia, le leader de cette industrie. Voici quelques éléments concernant cette nouvelle puce IA développée par Amazon qui risque de transformer le paysage !
Le développement de Trainium 2, la puce IA d’Amazon, est piloté par Annapurna Labs, une filiale d’Amazon dédiée à la conception de semiconducteurs. Depuis son acquisition en 2015, cette division est essentielle pour les avancées technologiques matérielles d’AWS. La puce, qui est conçue pour l’entraînement de modèles d’IA à grande échelle, devrait être officiellement révélée le mois prochain.
Des acteurs clés comme Anthropic, une startup en IA soutenue par Amazon, testent déjà Trainium 2. L’objectif d’AWS est explicite : fournir une solution à la fois puissante et économique pour rivaliser avec les GPU de Nvidia. Dave Brown, vice-président d’AWS, souligne que « il est bénéfique d’avoir une alternative ». Il précise également qu’AWS restera un partenaire de choix pour les solutions Nvidia.
Amazon souligne déjà les bénéfices de ses puces actuelles, notamment Inferentia. En effet, elles génèrent des réponses à partir de modèles IA pour un coût 40 % inférieur aux solutions habituelles. Trainium 2 promet d’étendre cette stratégie, offrant aux entreprises la possibilité d’accéder à une puissance de calcul abordable.
Dans le but d’accroître l’usage de ses puces, AWS a lancé une initiative ambitieuse. L’entreprise envisage de distribuer gratuitement 110 millions de dollars en crédits aux chercheurs en IA intéressés par ses solutions. Cette initiative a pour but d’accroître la notoriété de ses technologies au sein de la communauté scientifique. C’est également un excellent moyen de prouver leur efficacité face à Nvidia.
Avec Trainium 2, Amazon se positionne comme un acteur redoutable dans la compétition des puces IA. Cette initiative a le potentiel de réorganiser un marché largement dominé par Nvidia. Pour les entreprises et chercheurs, cette puce IA d’Amazon constitue une option très accessible pour tirer parti de l’intelligence artificielle. Affaire à suivre…
Les forces armées américaines recourent de plus en plus à l’intelligence artificielle, et cette fois-ci, il s’agit d’une mitrailleuse pilotée par IA, dénommée Bullfrog. Cette initiative est menée par l’ACS (Allen Control Systems) et le projet englobe un canon robotisé autonome capable de cibler des drones grâce à une interface alimentée par un logiciel de vision par ordinateur.
Le ministère américain de la Défense a déjà réalisé des tests concernant le projet Bullfrog.
À présent, ACS a pu dévoiler un prototype au Pentagone. Voici d’ailleurs une vidéo démontrant la puissance du Bullfrog.
Steve Simoni, président-directeur général et cofondateur d’ACS, a rapidement partagé ses impressions sur cette mitrailleuse à intelligence artificielle. Il a notamment évoqué le recours intensif aux drones durant le conflit entre la Russie et l’Ukraine.
Il a mentionné les efforts des forces ukrainiennes pour abattre ces appareils avec des fusils AK-47, sans succès.
Devant ce constat, son équipe a perçu une occasion dans le domaine de la robotique. Selon lui, bien qu’il soit difficile pour un être humain de toucher une cible en mouvement, un système automatisé doté de vision par ordinateur et d’algorithmes d’IA peut relever ce défi.
<pSelon le PDG d’ACS, automatiser complètement le processus est devenu une nécessité, en raison des capacités uniques de vol des drones.
Simoni explique que son équipe d’ingénieurs en électricité a déterminé les besoins techniques du projet.
Pour intercepter un drone capable d’accélérations de cinq G à plusieurs centaines de mètres, un système de très haute précision était indispensable.
Ce système devait avant tout intégrer un moteur alimenté par une source électrique stable, associé à des encodeurs pour un suivi en temps réel de l’emplacement de l’arme.
Il souligne que faire opérer un tel dispositif par un humain avec un fusil M4 aurait présenté de sérieux défis.
En revanche, le développement du système Bullfrog à l’ACS s’inscrit dans une perspective plus large de modernisation des forces armées.
Par conséquent, les forces américaines doivent élargir leurs options anti-drones, par exemple en développant un éventail de systèmes d’armement à distance et semi-autonomes.
C’est à ce niveau qu’est venue l’idée de tester d’autres solutions, comme les chiens robots, au Moyen-Orient plus tôt dans l’année.
Un des principaux atouts du Bullfrog concerne son coût opérationnel très compétitif par rapport à d’autres systèmes d’armement.
Cependant, le système demeure sous contrôle humain. Conformément aux normes établies pour les systèmes d’armes létales autonomes, une validation manuelle est nécessaire avant chaque tir,
Néanmoins, comme l’indique Brice Cooper, directeur stratégique d’ACS, la plateforme possède déjà les capacités techniques permettant une autonomie totale, ne dépendant que de l’évolution des besoins du gouvernement.
Cette possibilité soulève cependant des questions éthiques importantes. Mike Clementi, ancien député spécialisé dans le financement de la défense, remet en question la capacité du Bullfrog à distinguer de manière fiable les alliés des ennemis.
Il souligne que l’automatisation complète constituerait un tournant historique dans les pratiques militaires traditionnelles, où l’intervention humaine a toujours joué un rôle dans le processus de prise de décision.
Le rythme d’innovation dans le domaine de l’intelligence artificielle ne cesse d’accélérer, chaque progrès technologique captivant les esprits et déclenchant des discussions. Google semble avoir atteint un moment charnière avec son dernier modèle, révélant une avancée remarquable. Cependant, en dépit de ces succès, des doutes persistent quant à la fiabilité et à l’évaluation de ces nouveaux systèmes.
Google a étonné avec son modèle Gemini-Exp-1114. En effet, celui-ci dépasse les références traditionnelles d’OpenAI. La plateforme Chatbot Arena a confirmé sa performance avec plus de 6 000 votes. De surcroît, les évaluations de Gemini dans des secteurs divers ont surpassé celles de GPT-4o. Les résultats impressionnent, notamment dans les domaines des mathématiques et de la rédaction créative. Néanmoins, un souci émerge. Lors d’une analyse plus approfondie, Gemini a reculé à la quatrième position.
Ainsi, les biais présents dans l’évaluation sont visibles. L’évaluation omet parfois de considérer des éléments cruciaux. La concentration sur le format et la longueur des réponses peut générer des résultats illusoires. Par ailleurs, cette inégalité souligne la difficulté de mesurer la véritable intelligence de l’IA.
Les progrès réalisés par Google sont impressionnants, mais des vulnérabilités persistent. Récemment, Gemini a produit des réponses problématiques. Ces réponses ont ébranlé de nombreux utilisateurs. Ce type de désagrément met en lumière la nécessité de renforcer les dispositifs de sécurité pour l’IA. Les témoignages récents révèlent que des interactions inquiétantes demeurent. De plus, cette discordance entre performances techniques et fiabilité suscite des préoccupations. Les méthodes de test, axées sur des critères superficiels, dissimulent ces enjeux.
En outre, le secteur fait face à un dilemme : optimiser pour les benchmarks ou assurer la sécurité ? Les priorités de l’industrie doivent être réévaluées pour éviter des systèmes d’IA instables. Google doit encore prouver la fiabilité globale de ses innovations.
Nous sommes à un moment déterminant pour tous les acteurs majeurs de l’IA. OpenAI éprouve des difficultés à faire évoluer ses modèles, tandis que Google fait des avancées. Cependant, le véritable défi réside dans l’évaluation juste de l’IA. Les outils disponibles semblent obsolètes. Il est donc urgent d’élaborer des tests qui privilégient des critères de sécurité. De nouvelles méthodes sont indispensables pour une intelligence artificielle plus responsable.
Parallèlement, l’industrie pourrait être à un tournant. Les grandes entreprises technologiques devront examiner des critères plus pertinents. Sans ces ajustements, le développement risque d’être superficiel. Cette course effrénée vers des scores optimaux pourrait entraver l’innovation nécessaire pour l’IA.
Aix-en-Provence offre une variété de formations spécialisées en Intelligence Artificielle pour les professionnels désirant approfondir leurs connaissances. Des établissements tels que Ynov Campus et l’IA School, ainsi que le réputé campus thecamp, proposent des programmes allant du Bachelor en Data Science au MBA en Big Data. Explorez les options disponibles, les conditions et les lieux où vous pouvez suivre ces formations certifiantes pour booster votre parcours professionnel dans le domaine de l’IA.
Située dans le sud de la France, Aix-en-Provence se distingue par son attrait mais aussi par son émergence en tant que leader dans le secteur de l’Intelligence Artificielle. La ville abrite plusieurs institutions prestigieuses qui offrent des formations ciblées, adaptées aux besoins croissants des entreprises pour qui l’IA est devenue un facteur clé de développement. Que vous soyez intéressé par des programmes courts ou des parcours plus longs, Aix-en-Provence dispose d’une gamme d’options à même de séduire tous les niveaux de compétences.
Opter pour Aix-en-Provence pour se former en Intelligence Artificielle, c’est profiter d’un environnement d’apprentissage de premier ordre, soutenu par des professionnels du secteur. Les formations sont élaborées pour vous doter des outils les plus avancés et tirer parti du potentiel des technologies telles que ChatGPT. Que vous aspiriez à progresser dans la recherche, le développement de produits ou le management, les compétences obtenues vous ouvriront la porte à de nombreuses possibilités professionnelles.
L’IA School propose à Aix-en-Provence et Marseille trois parcours professionnalisants qui intègrent Big Data, Data Science et Management de l’IA. Ces cursus, allant du Bachelor aux formations supérieures, visent à former des professionnels compétents et adaptables aux nouveaux métiers de l’industrie technologique. Cet établissement met l’accent sur le Management et l’aspect technique au cœur de ses programmes, garantissant une immersion complète dans le monde de l’intelligence artificielle.
Situé à Aix-en-Provence, thecamp se démarque comme un acteur essentiel en matière d’innovation dans la région euroméditerranéenne. Ses séminaires et formations en IA enrichissent l’écosystème local, facilitant les échanges entre professionnels et experts tout en explorant les applications pratiques de l’IA. Les infrastructures de thecamp, comme le Fablab, offrent également un cadre idéal pour tester et innover.
Le domaine du jeu vidéo, à l’instar de nombreux autres secteurs, est impacté par la montée de l’intelligence artificielle. En résultat, les licenciements se multiplient et les emplois liés à cette industrie sont de plus en plus en péril. À l’exception de Take-Two Interactive, l’éditeur du célèbre GTA, qui choisit de ne pas embrasser l’IA. C’est au moins ce qu’a déclaré Strauss Zelnick, le PDG de Take-Two Interactive, en ajoutant que le terme Intelligence artificielle est un oxymore. Cela l’amène à questionner son sens ainsi que sa pertinence.
« Comment peut-on évoquer l’intelligence pour un dispositif qui, par définition, serait artificiel ? », a-t-il déclaré.
En y réfléchissant, ce n’est pas complètement faux. On s’interroge d’ailleurs sur la nature même des technologies d’IA, ainsi que leur habilité à reproduire des processus réellement intelligents.
Historiquement, le secteur du jeu vidéo a employé des systèmes d’intelligence artificielle basiques pour des tâches pratiques, notamment pour développer des PNJ capables de localiser et attaquer les joueurs.
Cependant, nous savons tous que ces tentatives donnaient fréquemment des résultats peu satisfaisants.
Avec l’émergence de l’IA générative, les opportunités pour les studios de développement, y compris ceux de GTA, se sont largement élargies.
Des outils récents tels que DALL-E ou Recraft d’OpenAI permettent désormais de générer des ressources graphiques et des modèles avec une simplicité remarquable.
Néanmoins, cette avancée technologique n’est pas sans soulever des préoccupations. Au-delà de n’être qu’un ensemble d’outils, l’IA générative pourrait engendrer des contenus de qualité médiocre et provoquer des tensions au sein des équipes créatives.
Take-Two CEO Strauss Zelnick said that artificial intelligence will never make a better Grand Theft Auto, but will make developers even more ambitious. https://t.co/sC5WP36aQy pic.twitter.com/lbIKjmonan
— IGN (@IGN) February 7, 2023
De leur côté, les employés du secteur font part de leur inquiétude quant à une éventuelle marginalisation par ces nouvelles technologies.
Malgré ces enjeux, le dirigeant de Take-Two a assuré que son entreprise adopterait une approche réfléchie, en reconnaissant les véritables limites de l’intelligence artificielle.
Contrairement aux idées reçues, le dirigeant affirme que l’intelligence artificielle ne garantira pas nécessairement une réduction des coûts, ni une accélération des processus, ou même une amélioration de la production.
Il suit néanmoins un raisonnement aujourd’hui classique dans le milieu technologique : l’IA n’est pas là pour remplacer les créateurs humains, mais pour les délester des tâches les plus rébarbatives.
Selon ses propos, cette technologie permettrait aux créateurs de se focaliser sur les aspects véritablement novateurs et stimulants du développement d’un jeu vidéo.
Sa conviction est donc limpide. Les machines peuvent réaliser de nombreuses fonctions, mais elles ne pourront jamais se substituer à la prise de décision créative, qui reste exclusivement humaine.
L’IA pourrait ainsi être vue comme un outil d’émancipation, plutôt qu’un substitut. Mais pour combien de temps ?
Haliey Welch, connue pour « Hawk Tuah », entre dans le domaine technologique avec une application de rencontres IA étonnante.
À seulement 22 ans, Haliey Welch ne se satisfait pas de son succès temporaire. Elle a acquis 5 millions de suiveurs sur les réseaux sociaux, lancé son propre podcast Talk Tuah et se dirige maintenant vers la technologie avec Pookie Tools, une application de conseils de rencontres alimentée par l’intelligence artificielle.
Pookie Tools a été lancée cette semaine sur l’App Store. Cette application propose aux célibataires de la génération Z une gamme de fonctionnalités à la fois pratiques et ludiques. Elle inclut un chatbot IA pour engager des discussions, des conseils vestimentaires pour les rendez-vous et même un outil de compatibilité basé sur les signes du zodiaque.
Welch espère que son application offrira des solutions aux problématiques des rencontres contemporaines, souvent marquées par le ghosting et des interactions peu authentiques.
Le lancement de l’application coïncide avec un moment clé. De nombreux jeunes dénoncent la culture actuelle des rencontres en ligne, accusée de manquer d’authenticité et de sécurité. Certains usagers s’orientent déjà vers des intelligences artificielles comme ChatGPT pour rédiger des messages séduisants. Par ailleurs, des entreprises comme Bumble et Tinder ont intégrés des outils d’IA pour rester dans la course. Bien que d’autres influenceurs aient développé des applis dans le passé, Welch se distingue en le faisant tôt dans sa carrière.
Pour créer Pookie Tools, Haliey Welch a collaboré avec Ben Ganz, le fondateur d’Ultimate AI Studio. Ensemble, ils ont élaboré une application qui fournit des conseils efficaces et adaptés aux problèmes des relations modernes. Par exemple, l’appli propose des suggestions de sorties en fonction de la localisation de l’utilisateur et de l’évolution de sa relation. En plus, elle propose des recommandations de vêtements spécifiques pour chaque type de rendez-vous, allant d’un simple café à un dîner romantique.
Pourtant, certaines fonctions de cette application ont suscité des réactions négatives. Bald Predictor évalue des photos pour détecter des indicateurs de calvitie. D’autre part, Height Detector estime la taille des personnes. Ces deux outils divisent les opinions. Ces fonctionnalités visent à répondre aux préoccupations des utilisateurs concernant les mensonges fréquents sur les profils de rencontres. Cependant, elles renforcent également des préjugés que certains trouvent offensants.
Welch affirme que ces outils ont été pensés pour apporter un aspect humoristique. Elle admet même que le détecteur de taille est sa fonction préférée, en tant que femme mesurant 1,73 m. Cependant, les résultats ne sont pas toujours fiables. Lors des tests, l’évaluation de taille pouvait varier de 5 cm par rapport à la taille réelle. Concernant le prédicteur de calvitie, il a montré des limites lors de l’analyse de certaines images.
Haliey Welch et Ganz n’ont pas l’intention de s’arrêter là. Ils prévoient d’introduire de nouvelles fonctionnalités en collaboration avec des invités de podcasts et d’autres créateurs. Des personnalités telles que Holly Madison et Whitney Cummings, déjà présentes dans Talk Tuah, pourraient ainsi renforcer l’attrait de l’application. Celle-ci fonctionne sur un modèle d’abonnement : 7 dollars par semaine ou 50 dollars par an, avec trois jours d’essai gratuit.
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