Marielle Heller’s “Nightbitch” Explore le côté sauvage de la maternité
Avec “Nightbitch”—dans lequel Amy Adams se transforme en chien—le réalisateur dépeint la parentalité comme une transformation viscérale.
Avec “Nightbitch”—dans lequel Amy Adams se transforme en chien—le réalisateur dépeint la parentalité comme une transformation viscérale.
Nous revoilà avec ça, la gueule de bois – terrible état qui vous envahit après une nuit de beuverie, un coucher bien trop tardif et un réveil à midi, parce que votre vie ne vous laisse pas faire la grasse mat’, même quand vous avez vu les rayons du soleil se lever avant même d’aller au lit. C’est dur. Mais s’il y a une chose qui me rend un peu plus heureuse lors d’une journée aussi éclatée, c’est bien la perspective de rester allongée dans le canapé toute la journée, à moitié décédée, avec une série naze et la possibilité de commander de la bouffe. Un dimanche idéal, une fois de plus perdu à ne rien faire. En fait, ça fait un petit moment que j’ai pas eu une grosse gueule de bois – et heureusement. Mais je crois me souvenir que j’aime pas ça du tout. Aussi, je souffre de migraines chroniques, donc si j’ai la gueule de bois, c’est en fait une gueule de bois carabinée sous stéroïdes que je me tape, vu que ces migraines agissent exactement comme un catalyseur pour une méga gueule de bois. Et comme si ça ne suffisait pas, je suis aussi difficile niveau bouffe. Oui, je suis vegan – même si ça, c’est mon choix. Il m’est donc assez difficile de trouver des repas anti-gueule de bois prêts à l’emploi. Et non, je ne ferai jamais d’exception pour un lendemain de cuite. Alors, au lieu de commander un de ces désolants et insipides burgers végé (et bien trop coûteux – 15 balles pour un burger et des frites ?) ou une pizza vegan Domino’s qui ne fait pas le taf, j’ai tenté une nouvelle expérience. Spécialement pour tou·tes mes potes vegan (et végétarien·nes) qui en ont marre de ne pas pouvoir trouver…
NOËL – Les repas de Noël en famille se suivent et se ressemblent, mais cette année, vous pouvez faire bouger les choses! Aux plus aventuriers d’entre vous, Le HuffPost LIFE propose une recette vegan qui sera l’équivalent de la fameuse dinde de Noël. Objectif: remplacer l’éternel plat par une alternative un peu plus étonnante (et un peu moins lourde). Pour nous aider à réaliser cette recette, que vous pouvez retrouver en vidéo ci-dessus, nous avons suivi l’ensemble des étapes rédigées par le site Cosmic Tomatoes. Les ingrédients pour la butternut farcie 1 courge butternut 1 courgette 1 oignon 3 cas d’huile de colza 1 cas de soja 20g de mélange de champignons déshydratés 400g de châtaignes cuites 2 cas de chapelure 1 cac de gingembre 1 cas de cannelle 2 poignées de noisettes concassées Sel et poivre Les ingrédients pour la sauce: 3 carottes 4cm de racine gingembre 1 cas de vinaigre de cidre 2 cas de miel 2 cas de pâte de miso blond 60g de crème de soja Publicité Commencez par vous occuper de la butternut. Coupez-la en deux et faites-la cuire une dizaine de minutes à la vapeur. Il est aussi possible de la faire mijoter à l’eau bouillante pendant une vingtaine de minutes (pour une courge de 1.7 kg) ou au four pendant 45 minutes à 150 degrés. Pendant la cuisson, tranchez l’oignon en lamelles pour le faire revenir dans une poêle. Une fois qu’il est translucide, rajoutez les champignons et le soja. Attendez quelques minutes avant d’y mêler les châtaignes, la cannelle, le gingembre, les noisettes et la chapelure. Le tout doit cuire sous un couvercle pendant 10 minutes. Une fois le mélange prêt, mettez le tout au robot mixeur pour le mélanger légèrement sans que ça ne fasse une purée. Prenez votre courge ainsi…
Il est bien loin le temps où, entouré de mes potes, je balançais négligemment de la viande sur le grill du barbecue. Aujourd’hui, tout ça me donne matière à réflexion ; peu d’activités s’articulent autour de la conso de viande. Que ce soit pour le climat, la cause animale, ou la santé, je ne vous apprends rien si je vous dis que c’est plus responsable de manger végétarien ou végan. Pourtant, faut toujours se justifier : « Juste un peu de poulet, c’est bon pour une fois, non ? » Oui, mais c’est pas nécessaire, surtout qu’il existe aujourd’hui pas mal d’alternatives végétariennes, véganes ou végétaliennes dans les supermarchés. D’ailleurs, je ne compte pas m’étendre sur les raisons pour lesquelles je ne mange plus de viande, mais plutôt parler des meilleurs substituts de viande qui existent (ou encore de l’utilité de boycotter Garden Gourmet en raison de ses liens avec Israël). Entre 2010 et 2018, la consommation de viande en Belgique a baissé de 8%, et même si ça semble stagner un peu aujourd’hui, au moins on peut se dire que ça n’augmente pas comme aux Pays-Bas – où, parallèlement, la consommation de substituts de viande est aussi en hausse. Le secteur de la viande se sent tellement menacé par ces substituts que l’Europe a voulu imposer en 2020 une interdiction de « tromper » les consommateur·ices avec des noms de viande typiques donnés à ces substituts, comme « burgers » ou « steaks ». Mais au final, c’est tombé à l’eau. La saucisse végé a toujours le droit de s’appeler saucisse, vous pouvez toujours acheter des burgers végétariens, et même les produits les plus carnés ont maintenant plusieurs variantes végé et véganes. L’exemple le plus probant est sans doute le filet américain végé ou végan. Si vous voulez tartiner une…
MICHELIN – Une première qui va faire plaisir aux végétariens et aux vegans. La cheffe Claire Vallée a décroché ce lundi 18 janvier la première étoile Michelin accordée en France pour son restaurant vegan, ONA à Arès, en Gironde, une consécration pour cet établissement qu’elle a monté en 2016 grâce à une campagne de financement participatif, sans prêts bancaires classiques. “J’ai été prévenue jeudi soir par le Guide Michelin et là c’est comme si un train m’était passé dessus. Je ne me rends pas compte…”, a assuré à l’AFP la jeune quadragénaire. “Je n’étais pas du tout dedans, j’étais en train de faire une recette de cuisine pour un sujet radio et on m’annonce au téléphone par visio que j’ai une étoile… Et aujourd’hui, on apprend en plus qu’on a aussi une étoile verte. Deux d’un coup, c’est beaucoup ! ” “Origine Non Animale” ONA, pour “Origine Non Animale”, est “le premier restaurant vegan étoilé en France”, a expliqué à l’AFP une porte-parole du guide Michelin. L’étoile verte, introduite l’an dernier, récompense les établissements pour leur démarche écoresponsable. Sur son menu gastronomique, 7 plats qu’elle proposait avant la fermeture pour cause de crise sanitaire, Claire Vallée réalisait notamment des associations “sapin, cèpe, saké” ou “céleri, tonka et bière ambrée”. “C’est beaucoup d’émotion, pour nous, les amis, la famille, nos fournisseurs, les clients et les fourmis qui ont travaillé pour créer ce restaurant” à Arès, commune du Bassin d’Arcachon, explique-t-elle encore. “Les fourmis, ce sont les quelque 80 bénévoles qui nous ont aidés à faire les travaux du restaurant pendant deux mois en 2016.” Fourchette Michelin en 2018 Au départ, ONA a été lancé via une campagne de financement participatif et aidé par des prêts d’honneur et une banque éthique (La Nef), explique la cheffe, car les banques classiques n’ont pas…
Didier Bourdon et Nicolas Bridet dans 100% Bio. Capture d’écran France 3 Si vous avez raté la navette du 7e art, France 3 diffusait mardi 5 janvier 100% Bio, téléfilm de Fabien Onteniente dont le pitch annonçait un choc de civilisations ; un boucher basque aux prises avec son gendre végan parisien. Les protagonistes ? Marie Moreno (Lolita Chammah), fille de Gabi Moreno (Didier Bourdon), charcutier, veuf et têtu, découvre qu’elle est enceinte de Thomas (Nicolas Bridet), kiné versaillais qui ne consomme aucun produit d’origine animal et qu’elle n’a jamais présenté à sa famille. L’élément perturbateur ? Alors que Marie file à Sare (Pyrénées-Atlantiques) annoncer la nouvelle à son père, son mec choisit ce moment pour débarquer à l’improviste et déclencher le premier choc tectonique entre la plaque jambon de Bayonne et la plaque quinoa. Probable dérive jacobine, la sempiternelle opposition capitale/province est un motif récurrent de la comédie de mœurs à la française, outil scénaristique résolument flemmard censé faire jaillir le rire là où on ne l’attend pas. Onteniente n’est d’ailleurs pas un néophyte dans ce domaine. Sa filmographie (Jet Set, 3 zéros, Camping, Camping 2, Camping 3), composée de gros succès en salles, ressemble quand même vachement au tableau de chasse de ces escrocs qui sillonnent les plages pour acheter des baraques en viager à des petits vieux un poil naïfs. Sans surprise, 100% Bio, enfile les clichés comme toute comédie populaire un peu grasse. Difficile de reprocher au film sa nature même si tout est fait avec la finesse d’un cochon kintoa découvrant le plaisir des bains de boue. Là où l’on pouvait craindre qu’Onteniente choisisse un camp – géographique ou générationnel – viandard et végan sont sur un pied d’égalité niveaux stéréotypes ; du Versaillais qui achète ses haricots azuki à La Vie Claire et roule en…
ENVIRONNEMENT – L’alimentation, c’est un quart des émissions de CO2 de la planète. Et dans notre assiette, l’empreinte carbone de la viande est vraiment hors catégorie. Alors faut-il devenir vegan pour sauver le monde? La solution serait-elle de faire ce que certains d’entre vous font sûrement déjà, c’est à dire vivre de lait d’avoine, de quinoa et de tofu pour préserver la biodiversité et lutter contre le réchauffement climatique? Malheureusement (ou heureusement, c’est à vous de voir), les choses ne sont pas si simples. Car quand on parle assiette, il faut penser aussi à la santé bien sûr, mais surtout penser global. Et donc ne pas oublier le coût économique et l’acceptation culturelle. C’est ce que l’on va décrypter dans ce nouvel épisode de L’enver(t) du décor, le podcast environnement du HuffPost. Source
RECETTES – Elles mettent tout le monde d’accord. Que ce soit pour le midi ou le soir, les pâtes font l’unanimité. Bolognaise, carbonara, nouilles ou encore les soba japonaises, ce plat traverse sans problème les pays et les époques. Mais pour changer de cette routine culinaire, pourquoi pas tester les pâtes vegan? Avec “Pasta Vegan” des éditions Solar, Clémence Catz propose une cinquante de recettes “vraiment différentes” de pâtes vegan à réaliser toute l’année. Au menu des plats complets, sans aucun produit animal. 1. Ravioles à la crème de butternut, lentilles corail et curcuma Pour 2 à 3 personnes. ©Clémence CatzRavioles à la crème de butternut, lentilles corail et curcuma. Ces jolies ravioles homemade sont garnies d’une crème très onctueuse et riche en protéines complètes. Les doses sont pour deux grosses parts et peuvent être congelées une fois confectionnées : il n’y aura plus qu’à les jeter dans l’eau bouillante en comptant une petite minute de cuisson en plus. Préparation : 50 min Repos : 30 min Cuisson : 30 min Pour la pâte à ravioles : 220 g de farine de blé T65 + un peu pour le plan de travail 50 g d’arrow-root ½ c. à café de sel 1 cl d’huile d’olive Pour la garniture : 300 g de chair de courge butternut 2 cuil. à café d’huile de coco 1 petite cuil. à café de graines de cumin 150 g de lentilles corail 1 cuil. à café de curcuma en poudre (ou frais et râpé) 1 cuil. à café de gingembre en poudre (ou frais et râpé) Sel, poivre Préparez la pâte : mélangez la farine, l’arrow-root et le sel dans un saladier, creusez un puit et ajoutez-y l’huile d’olive et 5 cl d’eau. Mélangez à la cuillère, puis ajouter encore environ 10 cl d’eau petit…
Please active sidebar widget or disable it from theme option.
{{ excerpt | truncatewords: 55 }}
{% endif %}