“Wicked” et “Gladiator II” offrent des affrontements nostalgiques et à moitié satisfaisants
Avec un retour musical à Oz et une épopée sanglante de la Rome antique, les studios hollywoodiens parient sur le spectacle à gros budget.
Avec un retour musical à Oz et une épopée sanglante de la Rome antique, les studios hollywoodiens parient sur le spectacle à gros budget.
Des forfaits solidaires : c’est la nouvelle initiative des responsables de la station de ski Alti Aigoual, située dans les Cévennes gardoises. Le concept : en acquérant un forfait de ski dès à présent, vous vous engagez à venir, et si la station ne fonctionne pas, votre “cagnotte” sera convertie en bons d’achat. “C’est une des dernières options, admet le cogérant de la station Denis Boissière sur France Bleu Gard Lozère. Nous avons besoin d’approximativement 40 000 euros pour garantir la finalisation de l’ouverture“. Le directeur de la station ajoute : “On se retrouve dans une situation plutôt paradoxale. Techniquement, toute la station sera prête. Il manque environ 40 000 euros pour ce qui est des assurances, des principaux fournisseurs et d’autres éléments”.
Devrait-on envisager de renoncer au ski ? “Si nous étions dans les Alpes et les Pyrénées, je répondrais oui, probablement même dès maintenant. Ici, nous avons encore une véritable valeur ajoutée pour la population locale qui peut encore profiter du ski ; il n’existe pas d’autre station de ski à proximité. Oui, cela va finir par s’arrêter, mais peut-être dans cinq ou dix ans. Dix ans d’activité neigeuse, sans investissement majeur, cela a son importance. “
loading
La station assure : aucun risque en cas de non ouverture ou d’ouverture inférieure à 10 jours : “vos achats solidaires de forfaits seront convertis en bons d’achat“
– à Cafét’Aigoual, le self-service de montagne de la Station Alti Aigoual qui assurera son ouverture
– à la location de VTT à Station Alti Aigoual (de Mai à Septembre)
– au restaurant ou aux gîtes de l’observatoire (d’Avril à Octobre)
– sur gem-bikes.com ( gem-bikes.com & gem-bikes/Enduro )
– dans un des 4 magasins de vélos partenaires * GEM Bikes Ganges – Ganges Et Montpellier * Culture Vélo Montpellier-Le Cres * Culture Vélo Alès – Pôle Vélo Alès * GIANT STORE ALES
En Inde, l’un des pays les plus polyglottes du monde, le gouvernement souhaite que plus d’un milliard de personnes adoptent l’hindi. Un chercheur pense que ce serait une perte.
Des bandes de fitness simples aux montres de sport robustes, en passant par les bagues, voici les meilleurs trackers que vous pouvez obtenir. < div class=”relative mt-28 md:mx-auto md:flex md:max-w-container-md lg:mt-36 lg:max-w-none”> < div class=”duet–article–article-body-component-container sm:ml-auto md:ml-100 md:max-w-article-body lg:mx-100″> < div> Les trackers de fitness ont parcouru un long chemin depuis les simples bracelets qui ne traçaient que les pas et peu d’autres choses. Les trackers modernes peuvent surveiller tout, de la santé de votre cœur à la qualité de votre récupération après une séance d’entraînement difficile. Même les montres connectées phares, qui étaient autrefois des trackers peu performants, sont devenues de très bons compagnons d’entraînement. Quels que soient vos objectifs de fitness, il y a probablement un tracker de fitness qui peut vous aider à les atteindre. Comparés à d’autres gadgets, les dispositifs portables sont incroyablement personnels, ce qui signifie qu’il y a quelques considérations supplémentaires à prendre en compte avant d’ouvrir votre portefeuille. Il est donc difficile de dire qu’un tracker de fitness est le meilleur pour tout le monde. Heureusement, la meilleure chose à propos des trackers de fitness en 2024 est qu’il y a suffisamment de variété pour s’adapter à tous les types de modes de vie. En ce moment, nous entrons dans la saison des achats des fêtes. Un peu de patience peut faire une grande différence à cette période de l’année. Les détaillants et les entreprises essaieront de liquider leurs anciens stocks, ce qui signifie des réductions à gogo avant le Black Friday. Si vous n’avez pas besoin du dernier cri, c’est le bon moment pour vous procurer les modèles de l’année dernière fabriqués dans des matériaux plus agréables. a:hover]:shadow-highlight-franklin dark:[&>a:hover]:shadow-highlight-franklin [&>a]:shadow-underline-black dark:[&>a]:shadow-underline-white”>Ce que nous recherchons Pour qui est ce tracker de fitness ? Le tracker de fitness idéal pour les athlètes sérieux ne…
En dépit de l’opposition de la France, une directive européenne qui prévoit une présomption de salariat pour les travailleurs des plateformes est en voie d’être adoptée. Reste à déterminer comment elle sera intégrée dans les législations nationales. En attendant, la résistance continue de s’organiser sur le terrain.
Dans le domaine de la livraison à vélo, de nombreuses coopératives de cyclistes ont vu le jour çà et là : en France, Sicklo à Grenoble, Fast and Curious au Havre, Les Coursiers de Metz dans la ville éponyme… Au total, on dénombre environ quarante coopératives de cyclistes livreurs et logisticiens dans le pays, toutes affiliées à la fédération CoopCycle.
Le principe : ces coopératives embauchent les livreurs et ont collaboré au développement d’une application de mise en relation. « Nous sommes à la fois livreurs, logisticiens, gestionnaires et mécaniciens (…) Nous ne désirons pas travailler dans une économie ubérisée, nous créons nos propres coopératives », souligne le site de CoopCycle.
En Seine-Saint-Denis, la démarche des chauffeurs VTC est différente. Plus de 500 d’entre eux se sont regroupés au sein d’une société coopérative d’intérêt collectif (Scic), Maze. L’objectif : offrir « une alternative à l’entrepreneuriat fictif des plateformes », précise Brahim Ben Ali, le fondateur et directeur général. Contrairement aux livreurs à vélo, les chauffeurs de Maze ne sont pas salariés de la Scic. Ils demeurent indépendants, étant chacun propriétaires de leur véhicule.
Quels sont alors les atouts de la coopérative ? « Elle négocie des protections sociales, les tarifs des assurances des véhicules et les véhicules eux-mêmes », énumère Brahim Ben Ali. Il s’agit donc d’assurances individuelles, mais négociées collectivement. L’idée est malgré tout de garantir une uniformité dans le service fourni : par exemple, un code vestimentaire sur lequel les chauffeurs se sont mis d’accord.
De manière générale, fini le lien de subordination : les décisions sont prises de manière collective. Maze est constitué de cinq collèges regroupant différentes catégories d’associés, qui participent aux votes : deux collèges « chauffeurs », selon qu’ils comptent plus ou moins de trois ans d’ancienneté, un collège d’utilisateurs bénéficiaires (la part sociale s’élève à 50 euros), un collège d’institutions publiques, incluant l’intercommunalité Plaine Commune et le département de Seine-Saint-Denis, et enfin, un collège « bénévoles ».
Comme pour les VTC des grandes plateformes, et en accord avec la loi Thévenoud de 2014, il est interdit pour les chauffeurs de Maze de proposer des courses « à la volée ». Les clients doivent s’inscrire via une plateforme de réservation, qui a coûté à la jeune entreprise un investissement de 300 000 euros.
Pour une nuit « normale » dans la métropole parisienne, il faut compter environ 3 000 chauffeurs. Avec ses quelque 500 « chauffeurs-sociétaires », Maze est encore loin du nombre requis. C’est pourquoi l’idée est de se lancer d’abord sur le marché professionnel, le B2B, à Lille et Paris. L’entreprise vise également les collectivités. « Il faut roder la bécane », résume Brahim Ben Ali.
Pour un trajet Lille centre-aéroport, un chauffeur Maze percevra 29 euros, auxquels s’ajoute une commission (15 % sur la gamme économique, 20 % sur les berlines et vans) qui va au pot commun et est redistribuée sous forme de bénéfices.
Sur le plan économique, l’incertitude demeure. L’argent reste un enjeu crucial. « Nous n’avons bénéficié d’aucune aide de l’Etat », déplore le PDG. Mi-octobre, Maze a lancé un financement participatif, espérant collecter entre 1,5 et 2 millions d’euros d’ici février prochain. Avis aux intéressés !
Une autre ville, un autre secteur, un autre modèle. À Nantes, Véry’fiable offre depuis douze ans des services de nettoyage et de ménage pour les entreprises et les particuliers. Bien qu’il n’y ait pas de plateforme d’intermédiation dans ce domaine, la précarité y est omniprésente.
« À l’origine, il y a un groupe de cinq personnes travaillant pour une grande entreprise qui ont décidé de fonder leur propre société », résume Anne Chauchat, qui vient de devenir sociétaire après un parcours d’intégration de deux ans. La Scop compte 35 employés, dont seuls 9 ont été transformés en sociétaires après avoir suivi le célèbre parcours.
Véry’fiable emploie de nombreuses personnes initialement éloignées de l’emploi. « Nous collaborons avec des structures d’insertion et des organismes d’accompagnement pour les personnes étrangères », ajoute encore Anne Chauchat.
Le choix de la coopérative répond à plusieurs objectifs : valoriser des métiers souvent dévalorisés ; offrir des perspectives d’évolution professionnelle, avec l’apprentissage de compétences entrepreneuriales, puisque les sociétaires d’une Scop doivent superviser la gestion ; améliorer les conditions de travail ; et répondre à une demande de clients prêts à payer davantage pour des salariés traités avec plus de considération.
« Lors d’une première visite chez les clients, nous examinons le matériel proposé », explique Anne Chauchat. Nous recommandons d’utiliser uniquement du vinaigre blanc et du liquide vaisselle. Un client qui voudrait imposer de l’eau de javel par exemple, c’est non. »
Idem pour les aspirateurs muraux légers : « À l’usage, ils entraînent des tendinites. »
Les employés sont rémunérés au Smic ou au-dessus, en fonction de leur expérience. Le salaire est annualisé, avec un nombre d’heures fixes comptées dans le mois, afin d’assurer une sécurité tout en tenant compte des annulations de dernière minute. Sur le marché des particuliers, la prestation est facturée 33 euros de l’heure + 4 euros de frais de déplacement. « C’est la fourchette haute, mais nous l’assumons », souligne Anne Chauchat.
Sur le plan financier, la Scop se porte bien, même si elle ne génère pas « des marges énormes », précise encore la sociétaire. Elle investit beaucoup dans la formation aux métiers et les parcours d’intégration pour devenir associé. Tout cela sans bénéficier des aides d’une association ou celles d’une structure d’insertion par l’activité économique. Toutefois, elle est en partie soumise à la convention des services à la personne, ce qui permet à sa clientèle de particuliers de profiter d’un crédit d’impôt de 50 %.
Véry’fiable a reçu en 2021 le prix national de la Fondation du crédit coopératif et, en 2023, le prix régional Pays-de-la-Loire de l’économie sociale et solidaire.
POUR ALLER PLUS LOIN :
Le débat « A-t-on renoncé à lutter contre la pauvreté ? », le samedi 30 novembre à 9 h 45 aux Journées de l’économie autrement, à Dijon. Consultez le programme complet de cet événement organisé par Alternatives Economiques.
LesLes visiteurs de Paris bénéficient de leurs prestations depuis des mois, ignorant qu’ils sont exploités par leur société. Aleksei, Elizaveta, Yaroslav, Bogdan et Vladyslav sont guides pour certains, mécaniciens pour d’autres : cela fait plusieurs mois qu’ils collaborent avec Orange Fox Bikes, qui offre des tours guidés à vélo dans la ville. Ils viennent de débuter une grève pour faire entendre leurs droits.
La comédie dramatique de Tyler Thomas Taormina sur une famille de Long Island se targue de certaines des caractérisations les plus aiguisées de l’année et d’une forme narrative remarquablement originale.
What’s really behind these return-to-office mandates?
En conduisant à Loupian, n’oubliez pas de ralentir ! Dès ce lundi 4 novembre 2024, l’ensemble du village héraultais sera soumis à une limite de 30 km/h. Choix du maire, cela fait quatre ans que ce projet est en cours. C’est une initiative pour diminuer les accidents et les nuisances sonores, surtout près de la D158 qui traverse la localité. Mais qu’en pensent les résidents ? Nous sommes allés le leur demander ce samedi 2 novembre.
loading
Dans un des PMU de Loupian, seul ce sujet occupe les esprits. “Chouchou, tu as entendu que la vitesse dans tout le village est limitée à 30 km/h ?” interroge la gérante à une de ses clientes. “Non, mais ils ont totalement raison !” réplique Danielle, une retraitée qui vit ici depuis toujours. “Les voitures roulent trop vite dans notre commune : certains traversent le village comme des dingues alors qu’il y a une école et des personnes âgées. Un jour, je marchais sur le trottoir, et j’ai eu l’impression qu’une voiture allait me renverser alors que je restais sur le trottoir. Certains sont prudents et nous laissent passer, mais d’autres sont imprudents !”
D’ailleurs, Catherine a été témoin d’un accident. “Une personne à vélo a déjà été renversée, un homme, c’était rue des logis, je crois. Nous autres, piétons, avons peur quand nous devons traverser ! Ça roule vraiment vite. Limiter la vitesse à 30 km/h, ça va être bénéfique.”
Cela va également alléger la situation pour Enzo, qui tient dans ses bras sa fille, Valentina. “Regardez ma fille, elle est petite. Certains vont à toute allure et un jour, un enfant va se faire frapper, c’est inévitable. Il y a beaucoup d’enfants ici, ne vous y trompez pas, ainsi que de nombreuses personnes âgées. Un jour, quelqu’un sera percuté.”
La plupart des habitants de Loupian que nous avons rencontrés ce samedi 2 novembre semblent soutenir la décision de limiter la vitesse à 30 km/h, néanmoins Claude reste sceptique. “C’est inutile, tant qu’il n’y a personne pour appliquer les sanctions, vous pouvez installer autant de panneaux que vous le désirez, ça ne suffira pas. Il faudrait que des agents de police s’en chargent et qu’ils soient rigoureux à ce sujet. Mais si c’est pour ne rien faire, ça ne sert à rien.”
Pascal Musenger, l’adjoint au maire de Loupian responsable de l’urbanisme et de la police, travaille sur ce dossier depuis quatre ans dans sa commune. “Pour être franc, je sais que les gens ne respecteront pas cette limitation, confie-t-il. La majorité de ceux qui sont conscients de la problématique vont en tenir compte, c’est déjà le cas. Mais j’ai peur que l’incivisme croissant en France ait également son impact ici. La seule solution qu’on envisage est la répression, mais dans un petit village comme le nôtre, nous n’avons pas les ressources pour avoir un radar. Nous n’avons qu’un seul agent de police municipal et il ne peut pas surveiller tout le monde. Si nous constatons qu’il y a toujours des personnes qui ne respectent pas, nous envisagerons des sanctions, car maintenant, malheureusement, c’est la seule chose qui fonctionne.”
Le coût total de la mise en place de la zone 30 s’élève à 1.000 euros pour la commune de Loupian.
Un récapitulatif des meilleurs films d’horreur britanniques, des comédies classiques comme “Shaun of the Dead” aux cauchemars plus récents comme “Starve Acre”.
Please active sidebar widget or disable it from theme option.
{{ excerpt | truncatewords: 55 }}
{% endif %}