Une femme se demande si elle est humaine dans “Je ne suis pas un robot”
Dans le court métrage de Victoria Warmerdam, une série de tests CAPTCHA échoués plonge une femme dans une étrange nouvelle réalité.
Dans le court métrage de Victoria Warmerdam, une série de tests CAPTCHA échoués plonge une femme dans une étrange nouvelle réalité.
SDI Productions via Getty ImagesJ’interviens plus spécifiquement en tant que coach auprès d’une clientèle qui souhaite mieux s’épanouir au travail, mieux se réaliser et atteindre ses objectifs. TRAVAIL – Je suis psychologue du travail et coach. Mon métier consiste à comprendre les personnes, leurs représentations, motivations, comportements et relations avec elles-mêmes et les autres, en interaction avec leur travail et de les accompagner en vue d’un meilleur épanouissement professionnel, présent et futur. La psychologie du travail est une branche de la psychologie qui intègre de nombreuses connaissances notamment la psychologie sociale, cognitive, la psychométrie, la psychopathologie du travail. Au travers d’une compréhension multidimensionnelle des organisations du travail, elle favorise des changements (personnels, psychosociaux, organisationnels…) pour que les personnes et les entreprises puissent mieux atteindre leurs objectifs et projets en optimisant leur pouvoir d’agir. Elle permet un mieux-être psychologique et physique des personnes (santé au travail), mais aussi une meilleure performance des organisations. J’interviens plus spécifiquement en tant que coach auprès d’une clientèle qui souhaite mieux s’épanouir au travail, mieux se réaliser et atteindre ses objectifs. Mes clients sont principalement des entreprises qui font coacher leurs cadres ou des personnes qui décident de se faire accompagner, à l’insu de leurs entreprises. Psychologie du travail: un titre et des domaines d’intervention L’usage professionnel du titre de Psychologue est défini par l’article 44 de la loi n°85-772 du 25 juillet 1985 complété par l’article 57 de la loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 qui fait obligation aux psychologues de s’inscrire sur les listes ADELI. En France, pour faire usage du titre de psychologue du Travail (bac+5), il faut être titulaire d’une licence et d’un master mention “psychologie” qui combine des cours théoriques, un mémoire de recherche, la réussite aux examens finaux et un stage d’au moins 500 heures. Le champ d’action des psychologues…
SEBASTIEN BOZON via AFPUne nouvelle “offre à tarification dynamique” est réclamée à EDF et aux fournisseurs d’électricité par le gouvernement (photo d’illustration) ÉNERGIE – Consommer moins “collectivement”, “agir vite et fort contre les gaspillages” et mieux appliquer les règles existantes pour passer l’hiver au chaud, tout en agissant (en même temps) pour le climat. Sans rentrer dans le détail des efforts qui seront demandés ou exigés à tout un chacun, le chef de l’État a confirmé, lors de son interview ce jeudi 14 juillet, la “mobilisation générale” sur la consommation d’énergie, précisant que des premiers efforts se voient puisqu’“on consomme moins que l’année dernière”. Emmanuel Macron a demandé “aux administrations publiques et aux grands groupes de préparer un plan de sobriété énergétique” pour faire face à l’éventualité d’une coupure totale et de longue durée des livraisons de gaz russe vers l’Europe, qui représente 18% du gaz consommé en France. “Cette guerre va durer”, a-t-il également estimé. En anticipation et face à la hausse des prix de l’énergie, le gouvernement a déjà lancé, le 29 juin, trois premiers groupes de travail. Objectif? Établir une feuille de route globale permettant de réduire la consommation d’énergie de 10% par rapport à 2019. Cela pour “une première étape” et avec “l’ambition que cela produise des effets dès l’hiver 2022-2023″. L’ensemble du plan doit être présenté fin septembre, avec deux points d’étapes d’ici là, confirme le ministère de la Transition énergétique. “Il faut passer de la parole aux actes”, a demandé de son côté l’opposition à gauche. “Ce sont d’abord les plus gros qui peuvent commencer à faire ces efforts”, a également pointé le député LFI, Adrien Quatennens. “Les 10% les plus riches consomment 20 fois plus que les 10% les plus pauvres”, au niveau mondial, a-t-il ajouté. Le HuffPost fait le point sur les pistes…
skynesher via Getty ImagesDes réunions chronophages, des temps administratifs ingrats, l’obligation de défendre des directives de la direction auxquelles souvent ces managers ne croient pas eux-mêmes, et… le manque de reconnaissance des collaborateurs? TRAVAIL – Il y a quelques jours, j’ai vécu une expérience inédite, j’animais un séminaire de management/leadership auprès d’étudiants de Master 2, tous en alternance, dans une spécialisation “management commercial” et je demande: qui a comme projet (ambition?) de manager d’ici 2 à 3 ans (temps moyen pour un 1er poste de ce type). Là où d’habitude se levaient quasiment toutes les mains, je me retrouve devant un tiers de la promotion (45 étudiants ) qui ne sont pas partants. J’essaie de comprendre. Pourquoi ce manque d’appétence? La raison principale est «trop d’ennuis» (je reste polie), pour un retour qui leur semble sous proportionné. Pourquoi cela? Etant en moyenne depuis 2 ans en entreprise, ils observent leurs propres managers et ils voient des personnes fatiguées, faisant des horaires exorbitants, ayant à assurer une activité opérationnelle exigeante, prenant sur cet agenda surchargé pour le temps qui devrait être dédié au management. Ils me décrivent des réunions chronophages, des temps administratifs ingrats, l’obligation de défendre des directives de la direction auxquelles souvent ces managers ne croient pas eux-mêmes, et … le manque de reconnaissance des collaborateurs. Ces managers sont les interlocuteurs au quotidien de leurs équipes, comme ils sont les ambassadeurs de leurs équipes vis-à-vis de la direction, ce qui demande un beau travail d’équilibriste. Pourquoi vivre ces affres quand on peut choisir des fonctions d’expertise: commercial grand compte, ingénieurs expert, conseil interne? Si des étudiants ayant choisi une école de management sont dans ce rejet, comment convaincre les autres de l’intérêt de ce métier? Le “ras le bol managérial” Pour la majorité, on est dans un rejet du management,…
Pekic via Getty ImagesLa dignité de l’emploi ne se mesure plus au statut ou à la paie, mais bien davantage à l’intérêt de la mission et aux valeurs de la marque. TRAVAIL – Préférer le bien-être au salaire: il y a quelques années, on aurait jugé l’option… originale. Mais la crise sanitaire est passée par là et les talents, de plus en plus difficiles à attirer et à retenir, ont décidé de ne plus sacrifier le sens à la fiche de paie. L’épanouissement n’est plus à l’économie. Un challenge de taille pour les entreprises qui doivent intégrer ces nouvelles aspirations, notamment pour répondre à la pénurie des talents. Ce que veulent les talents On dit par plaisanterie que ce ne sont plus les candidats qui passent les entretiens, mais les employeurs –c’est dire à quel point le rapport de force a changé. Or sur certains profils “pénuriques”, comme les développeurs, on n’est pas loin de la vérité… Ce qui est certain, c’est que les talents ne se contentent plus d’énoncer leurs attentes salariales. Ils osent challenger les employeurs sur des sujets comme le sens de la mission, les valeurs de la marque (notamment en matière d’inclusion), le bien-être, la formation et le développement des compétences. Mais les organisations ne sont pas toujours au fait de l’importance nouvelle que recouvrent ces critères pour les candidats. D’après une étude récente publiée par Monster (“The Future of Work”, enquête menée en septembre 2021), les recruteurs mettent aujourd’hui l’accent sur la flexibilité en termes de travail à distance, alors que ce n’est pas la priorité pour les candidats –probablement parce que ces derniers la considèrent comme un acquis. D’après cette même étude, si les candidats restent attentifs à leur niveau de rémunération, ce qui se comprend aisément, ils recherchent aussi d’abord une mission qui a…
CHANGER DE VIE – Envie de repartir à zéro, de commencer un nouveau boulot, de rencontrer de nouveaux amis, de voir un autre paysage par sa fenêtre. Changer de vie, c’est le thème du média Les Déviations, créé en 2018 par Laurent Moisson, entrepreneur, et Laurence Vély, journaliste. C’est en publiant des témoignages sur les réseaux sociaux de celles et ceux qui ont osé sauter le pas, que le média se fait connaître. En mars 2022, lui aussi commence une nouvelle vie et sort, pour la première fois, en magazine. La différence entre les vidéos et le magazine, c’est que pour ce dernier, “on a interviewé des personnes dont l’avis manquait à notre narration”, explique Laurent Moisson au HuffPost dans la vidéo ci-dessus. “Des philosophes, des neuroscientifiques, des historiens, des biologistes… On est allé chercher des personnes qui sont capables d’expliquer le changement de vie, de façon à prendre une certaine distance par rapport aux témoignages”, précise-t-il. Publicité “Une vision de la ruralité complètement fantasmée” Quitter la ville pour la campagne, beaucoup en rêvent. Si plus de la moitié des Français aspirent ainsi à aller “vivre ailleurs”, cette envie est bien plus marquée chez ceux qui vivent dans un cadre très urbain (72 %, et même 78 % pour les habitants de l’agglomération parisienne) que chez les habitants des communes isolées, selon une enquête menée en 2020 par l’Observatoire des usages et représentations des territoires. Cette tendance n’est pas nouvelle et semble avoir été accentuée par la crise du coronavirus. “Le Covid a clairement été un moment où les gens se sont posé des questions, ont pris des décisions et ont eu des révélations”, analyse le cofondateur des Déviations. Mais attention à la désillusion. Avec les différents confinements qui ont fait naître des envies d’espaces plus grands et l’émergence du…
AFPDès le 1er juillet 2022, les tickets-restaurant vont retrouver leur fonctionnement normal, avant les assouplissements apportés par le gouvernement durant la crise sanitaire. CONSOMMATION – Les avantages octroyés aux tickets-resto en temps de Covid-19, c’est terminé. Au 1er juillet, le plafond d’utilisation journalier de 38 euros va repasser à son seuil initial de 19 euros, après sa mise en place en juin 2020. Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire avait annoncé le 23 février que la mesure décidée en raison de la crise sanitaire serait prolongée jusqu’au 30 juin. Après cette date, le fonctionnement des titres restaurants (Ticket restaurant, Chèque déjeuner, Pass restaurant…) retrouvera son fonctionnement pré-Covid-19. Le ministre a d’ailleurs confirmé ce retour aux règles d’origine auprès de BFMTV. “Après discussion avec les fédérations professionnelles de la restauration et comme annoncé par le gouvernement, à partir du 1er juillet 2022, l’utilisation des tickets-restaurant se fera dans les mêmes conditions qu’avant la crise sanitaire”, indiquait Bercy vendredi 24 juin. Le plafond journalier repasse donc à 19 euros sans exception pour l’utilisation dans les restaurants, self-services, fast-foods ou brasseries. Plus de tickets-resto les week-ends et jours fériés Parmi les changements apportés durant la crise sanitaire, l’utilisation des tickets-restaurant avait également été facilitée en dehors des jours ouvrables. Cette mesure prendra également fin au 1er juillet. Les titres restaurants seront donc limités à une utilisation du lundi au samedi, sauf si le salarié travaille le dimanche ou les jours fériés, précise à ce sujet Service-public.fr. Le montant maximum journalier des tickets-restaurant avait été augmenté en juin 2020 pour relancer la consommation après le premier confinement. Annoncé par le Premier ministre de l’époque, Édouard Philippe, la mesure avait été intégrée au plan de relance “massif” du tourisme hexagonal. La mesure avait par la suite été prolongée à plusieurs reprises entre juin 2020 et juin 2022, dans…
skynesher via Getty ImagesEn limitant le nombre d’années d’études nécessaires pour accéder aux métiers du numérique, c’est tout un nouveau pan de la population française qui pourrait venir alimenter le vivier de talents et résoudre les problèmes de pénurie de candidats. ENSEIGNEMENT – 230.000 postes seront à pourvoir d’ici à 2025 dans les métiers du numérique. Ce chiffre synonyme d’emploi doit réjouir. Il nous pose aussi un formidable défi face à la pénurie de talents déjà annoncée. Pour y remédier, il faut que le système français d’éducation et de formation aux métiers du numérique, qui n’a quasiment pas changé depuis 40 ans, devienne largement accessible à une plus grande diversité de profils. Bac+5 comme seul horizon? La première évolution de la filière de la formation aux métiers du numérique doit être structurelle. Elle ne propose en effet quasiment que des parcours à bac+5, répondant aux attentes de recrutement des employeurs historiques du secteur, les grands groupes et les ESN (entreprises de services numériques). Mais cela ne comble pas les besoins plus récents des entreprises et en particulier de celles de tailles souvent plus modestes, tous secteurs confondus. Il peut s’agir par exemple de métiers liés au développement Web, au Cloud ou encore au marketing digital, pour lesquels des niveaux bac+2 ou bac+3 suffisent. Cela permettrait également de proposer une approche plus massive et plus inclusive de la formation aux métiers du numérique. L’offre actuelle est finalement élitiste, car elle exige un engagement financier de plusieurs années pour payer les frais de scolarité, de logement et de la vie quotidienne, que de nombreuses familles des classes moyennes et populaires ne peuvent se permettre. En limitant le nombre d’années d’études nécessaires pour accéder aux métiers du numérique, c’est tout un nouveau pan de la population française qui pourrait venir alimenter le vivier de…
CANICULE – Qu’y a-t-il de pire que d’aller au travail sous 40°? Réponse: enfiler un pantalon, des chaussettes et des chaussures fermées pour aller au travail sous 40°. Alors que la France va vivre une vague de chaleur précoce à partir de mercredi 15 juin, c’est le sempiternel débat de l’open space: un homme peut-il troquer son pantalon contre un short? Et pour une femme, est-ce accepté ou mieux vaut-il privilégier la jupe? Que dire des sandales? Des chemisettes? Les codes vestimentaires varient selon les entreprises et les milieux socioprofessionnels. Mais alors que le traditionnel costard cravate reste souvent de mise, il est parfois compliqué d’opter pour une garde-robe plus estivale et plus légère sur son lieu de travail. ➡️ Pour un article sur les vêtements au bureau en période de canicule, votre témoignage nous intéresse! Quels vêtements portez-vous sur votre lieu de travail lorsque le mercure grimpe? Que pensez-vous du short au travail (pour les hommes comme pour les femmes)? Quels vêtements aimeriez-vous porter au bureau si c’était possible? Que pensez-vous des sandales et nu-pieds? Quels vêtements n’oseriez-vous jamais porter au travail? Tongs et crop top sont-ils automatiquement bannis? Pourquoi? Est-ce lié à un règlement intérieur ou tacite, au regard des autres? ✍️ Vous pouvez nous écrire à l’adresse suivante: Publicité Votre témoignage pourra bien sûr rester anonyme si vous nous le demandez. Merci pour votre aide! À voir également sur Le HuffPost: La “green goddess salad”, nouvelle reine des apéros d’été LIRE AUSSI Source
BUREAU – Aller à un autre étage, “faire vite” ou se retenir: peut-être avez-vous déjà utilisé l’une de ces techniques, gêné, en voulant faire vos besoins au bureau. Vous êtes loin d’être le seul. Selon une étude de l’Ifop publiée ce jeudi 19 mai, “44% des salariés se retiennent d’aller à la selle sur leur lieu de travail”. Réalisée pour la société de nettoyage de l’extrême Diogène France, cette étude de l’Ifop s’intéresse en effet au “poop-shaming”, cette honte de faire la grosse commission en dehors de chez-soi, ici lorsqu’on est au bureau. Pour ce faire, 1003 salariés, représentatifs de la population française salariée et âgés de 18 ans et plus, ont répondu à un questionnaire auto-administré en ligne du 18 au 21 avril 2022. “53% des salariés ont déjà ressenti de la gêne en déféquant sur leur lieu de travail” dévoile ainsi l’étude, qui souligne que le phénomène touche d’abord les femmes. Un phénomène genré L’étude montre en effet que 60% des femmes sont gênées d’aller à la selle au bureau contre 44% des hommes. C’est notamment chez les femmes de moins de 40 ans que cette incommodité est la plus partagée. De la même façon, “une salariée sur deux [est] incapable de déféquer au travail” quand c’est le cas pour seulement 30% des hommes interrogés. L’âge, cette fois-ci, semble néanmoins accentuer cette gêne chez les femmes. En effet, si 69% des femmes âgées de 40 à 49 ans se disent incapables d’aller à la selle au bureau, seules 28% des femmes de moins de 30 ans le sont. Publicité Ce phénomène genré s’observe également dans la proportion de chacun à se retenir. 57% des salariés hommes font leurs besoins dès qu’ils ont envie d’y aller, contre 38% des salariées femmes, indique l’étude. A contrario, “36% des hommes mais…
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