Pourquoi les règles de la N.S.A. disent non aux smartphones, non aux textos, oui aux podcasts
L’agence, connue pour son écoute, se lance dans le domaine (extrêmement filtré) de la parole, avec « No Such Podcast ».
L’agence, connue pour son écoute, se lance dans le domaine (extrêmement filtré) de la parole, avec « No Such Podcast ».
Ne croyez pas tout ce que le porno vous montre : selon une étude, vous êtes beaucoup à trouver les scènes de « money shot » assez « dérangeantes ».
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Dans la série Oops, on célèbre les plus gros ratés de l’histoire. Avant d’entamer notre vie sexuelle, tout nous semble mythique et romantique : deux corps en sueur se rejoignent dans un climax, et les membres s’entrelacent dans le rituel sacré de l’amour. Mais quand on passe à l’acte, on se rend vite compte que c’est souvent bien plus sale et moins lisse que ça. En réalité, c’est tout à fait normal que les choses tournent mal pendant le sexe. Soyez honnêtes, si vous avez votre part de moments mémorables au pieu, ce n’est pas toujours pour les bonnes raisons. J’ai demandé à des potes et potes de potes de partager leurs (més)aventures sexuelles foireuses, pour vous divertir – de l’affichage en famille aux côtes cassées et autres plans à trois exhibitionnistes. Pour des raisons évidentes, ces personnes ont préféré utiliser des pseudonymes. « Lotion pour le corps, baume à lèvres, crème solaire, crème contre l’eczéma… » – Laura (30 ans) J’ai eu ma première vraie relation à 18 ans. J’avais pas reçu beaucoup d’éducation sexuelle, donc mon copain et moi, on a improvisé. On aimait bien utiliser du lubrifiant, mais les vrais produits étaient trop chers pour nous, donc on utilisait toutes les substances glissantes qu’on trouvait dans la salle de bains – lotion pour le corps, baume à lèvres, crème solaire, crème contre l’eczéma… Je pensais que la sensation de brûlure entre mes jambes après le sexe était due au fait qu’on passait des heures à la tâche, comme le font souvent les ados en chaleur. Mais à un moment donné, les démangeaisons et la douleur sont devenues tellement insupportables qu’on ne pouvait plus faire l’amour, et j’ai réalisé que c’était peut-être à cause de toutes les crèmes. Bref, j’ai décidé d’investir dans un lubrifiant adéquat. Tout est bien…
La plupart des gens perdent leur virginité à la fin de l’adolescence. À partir d’un certain moment, presque tout le monde autour de vous l’a fait : des enquêtes menées aux États-Unis et en Grande-Bretagne indiquent qu’entre 95 et 99 % des trentenaires ont eu des rapports sexuels au moins une fois. Pour la minorité restante, naviguer dans les eaux tumultueuses d’une société obsédée par le sexe — et subir la stigmatisation d’être encore vierge — est un challenge unique en son genre. La pop culture a l’habitude de tailler les personnes qui n’ont jamais eu de rapports sexuels. Tout le monde se marre devant 40 ans, toujours puceau. Mais il est rare que des personnes réelles nous parlent de ce qu’ils ou elles ressentent ou vivent. Pour certain·es, la relation au sexe se trouve compliquée par des facteurs tels que la santé mentale, les traumatismes et la religion, et le fait de porter l’étiquette de « vierge » ou « puceau » ne fait qu’ajouter à leurs craintes d’être ridiculisé·es ou abandonné·es. Pour d’autres, perdre leur virginité n’est tout simplement pas une priorité. Cinq personnes âgées de 19 à 52 ans nous ont expliqué pourquoi elles n’avaient pas encore eu de rapports sexuels et comment elles envisageaient l’avenir. Alan (19 ans) Jusqu’à l’âge de 16 ou 17 ans, je comprenais pas les codes sociaux et je savais pas du tout comment socialiser avec les gens. Je suis autiste. Je bégaie beaucoup. Si j’arrive pas à parler aux gens sans bégayer, sans trébucher sur les mots et sans que les choses sortent correctement, ça craint. Je suis bisexuel ; j’ai jamais éprouvé de sentiments amoureux qu’envers les femmes. Si j’avais un partenaire, je voudrais que mes expériences avec cette personne, tant sur le plan sexuel que romantique, soient épanouissantes pour nous deux et ne se…
Mise en situation : ça a matché sur Tinder, et après quelques rencards – jamais le premier soir, hum –, vous décidez de passer la nuit ensemble. Tout se passe bien. Comme c’est la première fois, c’est plutôt doux et mignon, quand soudain… « FFFFRRRRROOOUUUUTTTT !!!!!! ». Que faire ? En rire ? Faire comme si rien ne s’était passé ? Ou s’excuser en précisant qu’il s’agit bien d’un pet vaginal, et non d’un prout côté verso ? Le pet vaginal peut être un moment gênant, surtout s’il s’échappe en compagnie d’une nouvelle conquête. Pourtant, il est tout ce qu’il y a de plus naturel et normal. Mais peut-il être contrôlé ? Est-il gage de qualité ? Tant de questions qui nous turlupinent, et que nous avons posées à une experte, Ella Kempeneer (25 ans), sage femme. VICE : Bonjour Ella. D’un point de vue gynécologique, c’est quoi un pet de fouf ?Ella Kempeneer : Le pet vaginal, également appelé pet de fouf, flatus vaginalis, farrulitas vulvae ou encore « frout » est le son qui peut se produire lorsque de l’air s’échappe du vagin. C’est un phénomène naturel qui se produit lorsque de l’air est forcé à l’intérieur du vagin (par exemple par la pénétration), puis expulsé lorsque les muscles de la paroi vaginale se contractent naturellement. Ils sont complètement inoffensifs et normalement inodores. S’ils présentent des odeurs, un examen gynécologique est recommandé. « Dans la plupart des cas, vous ne le sentez pas venir donc il est difficile à contrôler. » Peut-il être contrôlé et si oui, comment ?Dans la plupart des cas, on ne le sent pas venir donc il est difficile à contrôler. Quand un pet vaginal s’échappe, c’est souvent une surprise pour la femme elle-même. Sur Internet, vous pouvez trouver quelques astuces ci et là…
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