Tout ce que vous devez savoir sur Spotify Wrapped 2024
Spotify Wrapped 2024 est presque là. Voici tout ce que vous devez savoir sur le plus grand événement musical de l’année.
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[Le privé à l’assaut du supérieur] Sécurité, rentabilité, aides publiques : l’enseignement supérieur privé se développe dans l’intérêt des fonds d’investissement, pas toujours dans celui des étudiants. Et l’accès de tous aux études est menacé.
Ritzau Scanpix Denmark / ReutersDes visons suspectés d’être porteur d’une mutation du coronavirus enterrés dans des fosses au Danemark, le 9 novembre 2020. DANEMARK – Afin d’éviter une pollution locale, le Danemark va déterrer l’an prochain quatre millions de visons abattus et enfouis dans l’urgence afin de combattre une mutation problématique du coronavirus, a annoncé le gouvernement ce dimanche 20 décembre dans un dossier qui a viré au chemin de croix. Au terme d’un accord majoritaire au Parlement, les millions de cadavres vont être sortis de terre dans six mois, quand leur possible risque contagieux aura complètement disparu, pour être ensuite incinérés comme des déchets banals, a indiqué le ministère de l’Agriculture dans un communiqué. “On évite ainsi que les visons soient traités comme des déchets biologiques dangereux, une solution qui n’a jamais été utilisée”, souligne le ministère. Deux charniers avaient été creusés à la hâte en novembre sur des terrains militaires près de Holstebro et Karup dans l’ouest du pays. Mais l’exécutif danois, déjà très critiqué par ailleurs pour sa gestion de la “crise des visons”, avait dû reconnaître que ces fosses posaient un risque environnemental pour les nappes phréatiques et des lacs voisins. Un cheptel de plus de 15 millions de visons Selon le ministère, le risque de pollution n’est toutefois pas jugé urgent et “l’autorité environnementale surveille la situation de près”, permettant ainsi d’attendre le mois de mai pour déterrer. Premier exportateur mondial de peaux de visons, le Danemark avait annoncé début novembre abattre son immense cheptel de plus de 15 millions de visons, à cause d’une mutation du coronavirus qui pouvait selon des études préliminaires menacer l’efficacité du futur vaccin pour les humains. La décision avait tourné à la crise politique, notamment lié au manque de fondement juridique de l’annonce gouvernementale. Le ministre de l’Agriculture avait…
INTERNATIONAL – Essuyant des larmes, la cheffe du gouvernement danois Mette Frederiksen s’est pour la première fois excusée personnellement, jeudi 26 novembre, pour la gestion de la crise des visons, dont elle avait décidé l’abattage massif dans le cadre de la lutte contre le Covid-19 (voir la vidéo en tête de cet article). La Première ministre a rendu visite à un éleveur à Kolding, dans l’ouest du pays, dont les bêtes ont été euthanasiées alors que le gouvernement n’avait pas la base légale suffisante pour faire éliminer les bêtes saines. “Je considère qu’il y a lieu de s’excuser pour le déroulement des faits. Je n’ai aucun problème pour dire pardon pour ça, car des fautes ont été commises”, a-t-elle dit à la télévision TV2 en sortant de la visite. Visiblement émue, Mette Fredriksen s’est interrompue à plusieurs reprises pour essuyer ses larmes. “C’est important de se rappeler que ce n’est pas de la faute des éleveurs, c’est la faute du corona, si l’industrie ne peut pas continuer”, a-t-elle ajouté, parlant d’une visite ”émouvante”. Début novembre, elle avait annoncé l’abattage généralisé de tous les visons du pays, à cause d’une mutation problématique du coronavirus via ces mustélidés qui pouvait selon des études préliminaires menacer l’efficacité du futur vaccin pour les humains. Quelques jours plus tard, le gouvernement avait toutefois reconnu qu’il n’avait pas de base légale suffisante pour cette mesure. Depuis, un projet de loi a été déposé au Parlement, il vise l’interdiction des élevages de visons jusqu’en 2022. Le ministre de l’Agriculture s’était aussi excusé, avant de finalement démissionner la semaine dernière. Le lendemain, le 19 novembre, le ministère de la Santé avait conclu que cette menace potentielle pour les vaccins humains était “très probablement éteinte”, en l’absence de nouveau cas détecté. Plus des deux tiers des quelque 15 à 17 millions de visons…
Ritzau Scanpix Denmark / ReutersThorbjorn Jepsen brandit un vison dans sa ferme à Gjoel au Denmark, le 9 octobre 2020. COVID-19 – 15 millions de visons à l’abattoir. Le Danemark a pris la décision ce mercredi 4 novembre de sacrifier la totalité de son élevage national, par mesure de précaution. L’animal est soupçonné de transmettre à l’homme une version mutante du coronavirus qui pourrait réduire l’efficacité des vaccins en développement. Il n’existe pour l’instant aucune étude scientifique sur la question. Le vison est un des animaux qui peuvent transmettre des maladies à l’homme et notamment le Covid-19. Après des premiers cas de coronavirus chez cet animal, Copenhague avait déjà lancé cet été une campagne d’abattage dans les élevages infectés. Des exécutions ont déjà eu lieu dans d’autres pays, au Pays-Bas, notamment. Selon les explications des autorités danoises, il y aurait eu cette fois-ci une mutation de virus. Elle ne se traduirait pas par des effets plus graves chez l’homme, mais par une moindre efficacité des anticorps humains, ce qui menace la mise au point d’un vaccin contre le Covid-19. “Le virus muté via les visons peut créer le risque que le futur vaccin ne fonctionne pas comme il le doit (…) Il est nécessaire d’abattre tous les visons”, soit 15 à 17 millions de bêtes selon les autorités, a dit la Première ministre lors d’une conférence de presse. Des anticorps moins efficaces ? “Cette nouvelle version du Covid-19 détectée sur des visons ne réagit pas autant aux anticorps que le virus normal. Les anticorps ont toujours un effet, mais pas aussi efficace”, a expliqué le responsable de l’Autorité danoise de contrôle des maladies infectieuses (SSI), Kåre Mølbak. Le Danemark annonce que 12 personnes ont déjà été contaminées par ce qu’ils considèrent comme une mutation du Covid-19. Des chercheurs spécialistes du code génétique…
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