Les Charms Unis du Baseball
La victoire des Dodgers en World Series avait tout : un lancer astucieux, des héroïsmes en fin de match, et un rappel que le sport donne un exemple civique.
La victoire des Dodgers en World Series avait tout : un lancer astucieux, des héroïsmes en fin de match, et un rappel que le sport donne un exemple civique.
PaiportaPaiporta, La Torre, Alfafar et Sedavi (Espagne).– La queue est incessante, aussi épaisse que celle d’une station de métro lors des heures de pointe, avec la différence que celle-ci s’étend sur plusieurs kilomètres. Des bénévoles affluent par milliers. Leur équipement est presque uniformisé. Pratiquement tous portent une pelle ou un balai, des provisions, des bottes, parfois flambant neuves. L’élan spontané a été tel que les autorités, submergées, ont dû interdire l’accès à la zone en voiture, pour éviter que les véhicules ne bloquent l’intervention des secours. Peu importe, l’heure de marche n’a effrayé personne. La foule croise d’autres bénévoles, habillés de vêtements couverts de boue et affichant un air épuisé.
Sous l’assaut de tous les côtés, dans les dernières semaines de sa campagne, l’ancien Président parle souvent d’ennemis de l’intérieur, y compris ceux qui essaient de prendre sa vie.
« Il y a trop de règles ! » Combien de fois avons-nous entendu ce constat de la part d’un segment de la classe politique, et encore plus fréquemment de la part des syndicats patronaux ?
À travers ses nombreuses fonctions, comme directeur général du Travail, juge au Conseil d’Etat, et directeur de cabinet de la Première ministre Elisabeth Borne, Jean-Denis Combrexelle a occupé une place centrale dans la haute administration française, celle qui génère des normes.
Dans son livre Les normes à l’assaut de la démocratie (Odile Jacob), il aborde l’inflation normative en France et souligne les multiples mécanismes par lesquels la technocratie a tendance à engendrer trop de normes.
Cependant, il ne perd pas de vue que sur ce marché, la demande de normes variées, en particulier de la part des entreprises, est cruciale ! Sans oublier l’influence des juges et des régulations européennes. Un panorama de la machine à générer des normes et ses répercussions sur l’économie française.
Quel est le positionnement de la France concernant l’encadrement normatif de l’économie ?
Jean-Denis Combrexelle : La France se situe dans la moyenne supérieure des pays européens : notre tradition étatique de production de normes est significative. Cependant, si l’on additionne les règles des gouvernements fédéraux et des cantons en Allemagne ou en Suisse, on arrive à des niveaux similaires.
Le véritable enjeu en France réside davantage dans l’inflation normative, car notre rythme de création de nouvelles normes est élevé. Ce phénomène est en partie dû à notre tradition d’État. Par exemple, lors de la canicule de 2006, c’était le ministre du Travail qui se rendait sur les sites de construction pour ordonner la distribution de bouteilles d’eau ! Dans de nombreux pays, cela relèverait de la responsabilité des entreprises.
Est-il possible de dire si ce haut niveau de normes constitue un problème pour la France, et peut-on en évaluer le coût ?
J.-D. C. : Je ne suis pas ici pour affirmer que les normes sont superflues. L’État de droit requiert des normes pour éviter que les rapports de force ne dominent. Montesquieu l’a exprimé de manière plus éloquente. Nous manquons d’éléments pour évaluer précisément le coût d’un excès de normes. Certaines sont indispensables, d’autres superflues voire nuisibles, mais il est complexe de déterminer leur répartition. Des avancées sont nécessaires à cet égard.
L’État est le principal producteur de normes en France. Passons en revue les éléments qui le poussent à générer une inflation normative, en commençant par sa volonté d’exhaustivité.
J.-D. C. : C’est une question de culture. La haute fonction publique regroupe de jeunes professionnels compétents, qui ne comptent pas leurs heures et qui veulent tellement bien faire qu’ils tombent dans le syndrome du Pont de la rivière Kwaï, un roman de Pierre Boule où un officier anglais prisonnier s’efforce tant d’être à la hauteur qu’il construit un splendide pont pour l’ennemi ! La technocratie aspire à produire des normes tellement parfaites qu’elle cherche à couvrir tous les cas imaginable. Il faudrait parvenir à accepter l’idée que tout ne peut pas être parfait.
Prenons l’exemple des 35 heures. En simplifiant, dans les anciennes lois, on aurait pu simplement substituer 39 heures par 35 heures. Au lieu de cela, toutes les compétences mobilisées ont entraîné l’élaboration d’une structure complexe du temps de travail, incluant jusque dans le détail le temps de déshabillage. Je ne remets pas en cause le choix politique, mais techniquement, nous avons été trop loin : il aurait été préférable d’établir des principes et de laisser la négociation collective trancher les détails, comme cela a été fait ultérieurement en 2016, car ce qui est applicable à une entreprise d’un secteur ne s’adapte pas nécessairement à une autre.
Autre illustration : lorsqu’on a instauré l’interdiction de fumer dans les lieux de travail. Alors que j’étais directeur du Travail, aussi bien les médias que les représentants des entreprises me réclamaient des précisions sur la procédure à suivre si un employé descendait fumer et se faisait percuter par une voiture !
Il y a aussi la volonté de contrecarrer l’optimisation et les situations abusives…
J.-D. C. : La mise en place d’un dispositif implique des coûts, donc les services cherchent légitimement à éviter l’optimisation fiscale et l’abus social. Dans la pratique, cependant, les fonctionnaires passent la plupart de leur temps à créer des normes anti-fraude, et beaucoup moins à établir les principes des dispositifs. En fin de compte, en encadrant excessivement, on alourdit la contrainte administrative pour les citoyens honnêtes, sans entraver les fraudeurs qui trouveront toujours des moyens de contourner les règles : un excès de paperasse ne changera rien.
La norme étatique devrait définir des principes et laisser leur application à des instances comme le préfet, le directeur régional d’administration, ou le maire. Cela implique, par exemple, que si vous introduisez une nouvelle prime pour les entreprises, il faut accepter que son application ne soit pas interprétée de la même manière à Dunkerque qu’à Marseille. On n’est pas encore prêt à l’accepter en France tant notre attachement au principe d’égalité est fort.
Un autre problème est que chaque législation évolue dans son propre « couloire »…
J.-D. C. : Cela découle d’une logique administrative : chaque administration suit sa propre logique et ne prend pas suffisamment en compte, malgré de nombreuses réunions interministérielles, les effets combinés de « sa » loi et des autres lois gérées par d’autres ministères sur les entreprises et les particuliers. Par exemple, les régulations concernant les travailleurs étrangers touchent plusieurs ministères – Travail, Intérieur, Justice – et chacun opère selon sa propre logique.
Le plus inquiétant, c’est que tout cela a été théorisé par ce qu’on appelle le principe de l’indépendance des législations. Si une entreprise déclare : « Ce que exige votre norme m’impose des difficultés par rapport à une autre norme », la réponse sera que son argument est « inopérante », qu’il existe peut-être d’autres législations, mais que cela ne remet pas en cause l’injonction contradictoire à laquelle l’entreprise est soumise.
Vous décrivez un processus long alors qu’on a souvent l’impression que les lois sont faites rapidement et maladroitement.
J.-D. C. : Après avoir traversé le bureau administratif, la loi se rend à l’Assemblée, et il est possible de se retrouver avec des centaines, voire des milliers d’amendements. J’ai passé beaucoup de temps au Parlement, et il arrive un moment où l’on perd la vision d’ensemble. Entre le dépôt d’une loi et sa promulgation, le nombre d’articles peut augmenter d’environ 2,5, et dans des cas exceptionnels, cela peut grimper jusqu’à 10 !
Lorsque vous étiez directeur du Travail, vous avez participé à une recodification du Code du travail et ensuite à sa révision suite à votre rapport sur la négociation collective : le nombre d’articles a doublé…
J.-D. C. : Il y a une explication technique à cela : le principe d’« incompétence négative ». Si la loi détermine, par exemple, le taux de rémunération des heures supplémentaires, elle ne peut pas simplement affirmer : « Dorénavant, je laisse l’application aux partenaires sociaux. » La loi doit encadrer la négociation, fixer des minima et d’autres paramètres, etc. Cela a permis d’améliorer le contenu du code sans nécessairement réduire le volume.
Vous avez beaucoup œuvré sur ce sujet : quel état des lieux faites-vous du dialogue social actuel ?
J.-D. C. : Lorsque la direction des ressources humaines et les syndicats sont de bonne volonté, cela se passe bien au niveau de l’entreprise. Pour les branches, les organisations professionnelles n’ont pas toujours les ressources nécessaires pour négocier, ce qui souligne l’importance de restructurer les branches, tout en évitant de tomber dans une logique bureaucratique.
Le niveau le plus compliqué est celui des négociations interprofessionnelles. Il est ardu de concilier les syndicats, les organisations professionnelles et l’État. Ce dernier peut affirmer : « Ce n’est pas parce que les deux autres acteurs sont d’accord que je l’accepte, car un intérêt général que je considère non respecté prédomine. » Or, comme je l’ai constaté, les organisations professionnelles peuvent faire preuve d’une certaine méconnaissance vis-à-vis de l’État et qualifier ses demandes d’illégitimes. Il est impératif que tous les acteurs communiquent et se respectent mutuellement.
De manière concrète, le Code qui contient le plus d’articles est celui de la santé publique, suivi du Code du travail : sont-ils pleins de normes superflues ?
J.-D. C. : Il sera difficile de réduire l’ensemble de normes existant. Je propose de commencer par diminuer le flux. Il faut en finir avec l’habitude de créer une loi après chaque actualité. Pour un ministre, il est paradoxalement plus facile de répondre à un événement en déclarant : « Je vais légiférer. »
Les communicants, qui occupent une part disproportionnée, encouragent d’ailleurs cette idée. Pour le système politico-médiatique, si aucune loi n’est adoptée, c’est comme si rien n’était fait ! Si l’on mobilisait l’expertise de l’administration pour évaluer les résultats des lois passées dans le but de réduire les normes, cela bénéficierait au pays.
Beaucoup de politiques vous rejoignent sur ce point, plaidant pour des « chocs de simplification », des « comités de la hache ». Agissent-ils avec de vraies intentions politiques ?
J.-D. C. : Tous les politiques ne sont pas cohérents, ni même sincères, dans ce discours… Les chocs de simplification ne sont jamais apolitiques, car il y a toujours des choix importants à faire. Les politiques laissent entendre que seule l’administration est responsable des problèmes, et qu’il suffit de l’exposer à la réalité pour qu’elle change. Ils souhaitent agir sur l’offre de normes plutôt que sur la demande de normes, mais cela ne fonctionne pas ainsi ! Il existe également une forte demande pour des normes.
Quel rôle faudrait-il assigner aux garde-fous contre l’inflation normative : études d’impact en amont et évaluation des politiques publiques en aval ?
J.-D. C. : Les études d’impact sont là pour évaluer ex ante l’efficacité potentielle d’une loi, mais elles sont réalisées par les services qui conçoivent le texte. Ces études sont également influencées par le politique. Ainsi, pour un candidat élu démocratiquement avec l’objectif de créer un contrat de génération entre jeunes et seniors, il n’ira pas dire que l’étude d’impact montre des résultats peu probants : il veut que sa mesure soit mise en œuvre.
La France s’appuie peu sur l’évaluation des politiques publiques. Je plaide pour que les chercheurs s’engagent davantage dans ce domaine, même si cela représente un exercice délicat et que beaucoup d’entre eux craignent, à tort, de se compromettre avec le pouvoir.
Les acteurs de la société civile expriment une forte demande pour des normes. Première raison : chaque groupe souhaite faire reconnaître ses spécificités.
J.-D. C. : L’expression que j’ai le plus souvent entendue durant ma carrière, c’est : « Nous sommes spécifiques » ! Et chacun désire que l’État traduise cette spécificité à travers les normes. L’administration commence par repousser ces demandes, mais dès qu’une porte s’ouvre, d’autres acteurs dans des situations similaires formulent la même requête. Cela alimente l’inflation normative. Par exemple, durant la pandémie de Covid, lorsque certaines contraintes ont été assouplies pour les théâtres ou les cinémas afin de soutenir la culture, les libraires ont rapidement demandé un traitement identique.
Deuxième raison : les acteurs économiques recherchent une sécurité juridique.
J.-D. C. : C’est un point fondamental, car cela concerne les relations avec la justice. Les chefs d’entreprise doivent savoir où se situe clairement la limite entre ce qu’ils peuvent ou ne peuvent pas faire. En cas de dépassement, ils risquent des sanctions administratives, pénales, et des atteintes à leur réputation – les fraudeurs volontaires étant l’exception. Les organisations patronales réclament constamment une simplification des normes tout en souhaitant parallèlement l’ajout de règles pour garantir leur sécurité juridique.
Elles tentent ainsi de répondre à l’énorme pouvoir des juges administratifs, civils et commerciaux, qui exercent leur influence à partir d’une certaine vision sociétale. La frontière est donc définie par la loi et la jurisprudence, et elle reste floue. Les organisations patronales estiment que plus la loi est précise, plus elle les protégera des jugements, ce qui est une vue simpliste : le pouvoir d’interprétation de ces juges est large et indépendant.
En contrepartie, il est essentiel que les juges soient plus en phase avec la société, en acceptant, tout en respectant leur indépendance, de dialoguer « à froid » avec les entreprises, les syndicats de travailleurs, les maires, etc., afin d’évaluer les impacts de leurs décisions et de considérer des enjeux au-delà du cadre purement juridique.
Le Premier ministre Michel Barnier a suggéré que la France surtransposa les directives européennes, est-ce une réalité ?
J.-D. C. : Cela résulte de plusieurs facteurs. Lorsque l’on introduce une directive européenne, la réaction initiale de l’administration française est souvent de la juger mal conçue et de chercher à la réécrire lors de sa transposition. Par la suite, si cette nouvelle loi est acceptable, on tend à considérer que l’ancienne loi nationale était de meilleure qualité… Ainsi, on se retrouve avec les deux qui coexistent, sur le fond et l’application.
De plus, si une directive indique, par exemple, qu’il doit y avoir une valeur limite de 10 pour une substance chimique, alors qu’une agence française d’évaluation du risque préconise 8, le fonctionnaire qui valide le passage de 8 à 10 prend des risques sur le plan pénal en cas de problème. Par conséquent, il cherchera à conserver le 8. Cela dit, d’importants progrès ont été réalisés ces dernières années, et la surtransposition a diminué. Il faut également reconnaître que la surtransposition n’est pas toujours synonyme de négativité, elle peut revêtir un intérêt.
Comment réduire effectivement l’inflation normative ?
J.-D. C. : Il faut reconstruire des espaces de dialogue où les gens peuvent échanger et parvenir à des compromis, à l’image de ce qui se faisait dans les commissions du Plan. Pour cela, il est nécessaire que les organisations professionnelles deviennent plus conceptuelles, en développant une vision au lieu de se limiter à des postures, notamment antiétatiques.
Il n’existe pas de solution miracle. Toutefois, si nous ne parvenons pas à gérer cette situation, en produisant plus de normes que de résultats, les citoyens auront une impression encore plus forte d’écart entre la création des normes par l’État et l’amélioration de leur quotidien. Cela peut conduire à des constats selon lesquels la démocratie n’est pas efficace et qu’il faudrait réduire le cadre de l’État de droit. C’est là un véritable danger politique associé à l’inflation normative.
Comment l’IA peut-elle révolutionner votre vie ? Si vous croyez que l’intelligence artificielle n’est qu’une mode technologique passagère, détrompez-vous. Voici cinq sphères de votre existence que l’IA va transformer de manière significative !
Depuis son apparition, l’intelligence artificielle fait évoluer notre quotidien, influençant tant notre façon de travailler que nos modes de loisirs. Alors que de nombreuses startups et entreprises avant-gardistes investissent massivement pour tirer parti de l’IA afin de métamorphoser divers secteurs, il est essentiel de comprendre comment ces évolutions impacteront notre vie de tous les jours. Dans cet article, je vais vous exposer cinq façons dont l’IA va véritablement transformer notre vie!
Sans conteste, l’un des secteurs les plus influencés par les technologies d’intelligence artificielle est celui de l’automobile. Si vous aspirez à une expérience musicale immersive et personnalisée dans votre véhicule, la startup FYI, en partenariat avec Mercedes, est prête à répondre à vos attentes. En effet, cette innovation vous propose un système IA capable de créer des compositions musicales sur mesure, prenant en compte votre style de conduite et vos goûts personnels. Cela dépasse largement la simple musique d’ambiance ; c’est une expérience immersive qui rend chaque déplacement spécial.
Qatar Airways a introduit une hôtesse virtuelle alimentée par l’IA, capable d’accueillir les passagers dans leur langue natale et de répondre à leurs besoins durant le vol. Une première mondiale ! Êtes-vous prêt à embarquer à bord d’un appareil avec un équipage virtuel ? Quoi qu’il en soit, cette innovation ouvre la voie à l’ère de l’IA dans le secteur aérien !
Vous rêve de porter des vêtements de grandes marques de mode ? Avec l’IA, ce souhait devient accessible à tous sans avoir besoin d’une immense richesse ! Grâce à Stitch Fix, l’IA se transforme en votre conseiller mode. En scrutant les données des utilisateurs, cette société révolutionne l’expérience d’achat, tout en réduisant les déchets textiles, qui atteignent 92 millions de tonnes par an. En intégrant l’IA dans le secteur de la mode, Stitch Fix ne s’arrête pas à améliorer l’expérience d’achat ; elle favorise également un avenir plus durable pour notre planète.
En vue des Jeux Olympiques de 2028, l’IA va jouer un rôle de plus en plus central dans le domaine du sport et de la nutrition. Parmi les outils IA qui pavent déjà la voie, citons Hexis AI, une startup qui utilise des algorithmes avancés pour vous proposer des plans de repas personnalisés et des conseils nutritionnels instantanés. Que vous soyez un athlète d’élite ou simplement passionné de fitness, cet outil sera précieux dans l’atteinte de vos objectifs. En se concentrant sur une nutrition sur mesure, Hexis AI s’apprête à redevenir un acteur incontournable dans le futur du sport et du bien-être.
Pour conclure cette sélection, l’autre domaine bénéficiant de l’IA d’une manière bénéfique est la protection de la biodiversité. Face aux enjeux climatiques, l’intelligence artificielle revêt un rôle crucial dans la lutte contre la déforestation et la dégradation de l’environnement global.
Parmi les startups qui offrent des solutions IA pour l’écologie, il y a Wildbook. Cette entreprise se consacre à l’analyse de données massives dans le but de suivre les espèces menacées et de planifier des stratégies de conservation efficaces. Cette application de l’IA pourrait bien s’avérer être l’un des outils les plus essentiels pour combattre la perte de biodiversité et favoriser une harmonie avec notre environnement.
Ces exemples nous offrent un aperçu de la façon dont l’intelligence artificielle va remodeler notre réalité. Que cela concerne la manière dont nous conduisons, notre alimentation ou nos efforts pour préserver l’environnement, un nombre croissant d’aspects de votre vie seront affectés, voire métamorphosés par l’IA.
Ces évolutions vont nous connecter encore davantage, offrant des expériences toujours plus personnalisées et immersives. Ainsi, soyez prêt à accueillir ces transformations, car l’IA est là pour s’installer durablement, et il est certain qu’elle va redéfinir notre futur tel que nous le connaissons !
TreasureTreasure Island (Floride).– De nombreux débris jonchent les deux côtés de la rue sans interruption. Une voiture est partiellement enfoncée dans du sable. Des travailleurs en vêtements jaunes et oranges, protégés du soleil brûlant par des voiles, s’affairent pour les débarrasser. Ces tas symbolisent des vies entières, allant des matelas aux meubles, en passant par les jouets et les souvenirs photographiques. D’un côté se trouve le golfe du Mexique, de l’autre la baie de Tampa. Lorsque les eaux ont monté lors du passage de l’ouragan Helene, le 26 septembre, les résident·es de cette presqu’île, où abondent les hôtels, se sont retrouvés piégé·es. C’est ce qui est arrivé à Christian Moriarty.
Alors que les gens se donnent à fond dans leurs meilleurs costumes d’Halloween référentiels, des questions sur le racisme et la misogynie refont surface.
Nous avons tous des fantasmes sexuels. Cependant, il arrive souvent qu’il soit difficile de les concrétiser, sauf si l’on fait appel à l’intelligence artificielle. Cet article vous a présenté les 7 meilleurs sites pour générer du contenu pour adultes. Aujourd’hui, je vais aborder les robots sexuels dotés d’IA, qui dépassent largement le simple statut de poupées en silicone.
Il ne s’agit pas simplement d’un robot apte à satisfaire vos désirs sexuels.
Essentiellement, c’est un compagnon capable d’engager une conversation, de préparer votre plat favori, de faire des blagues, etc.
Je ne prétends pas que ces sexbots ou ces robots sexuels AI remplaceront les femmes. Ni même qu’ils voleront votre cœur. Absolument pas !
Cependant, vous pouvez les apprécier ou les détester. Peu importe votre choix. Ce qui est certain, c’est que les sexbots AI sont présents et qu’il est temps d’en discuter.
Il est indéniable que l’intelligence artificielle est une technologie qui a rapidement évolué pour automatiser des processus complexes.
Les entreprises d’IA ne se sont pas contentées de développer des chatbots ou des outils de génération de code.
Au contraire, elles ont introduit l’intelligence artificielle dans le domaine des realdolls, créant ainsi des poupées sexuelles réalistes, capables de combler tous vos désirs.
Ces robots sexuels sont effectivement munis d’algorithmes d’apprentissage automatique pour établir une communication verbale, émotionnelle et surtout physique avec leur utilisateur.
Ainsi, derrière cette peau en silicone se cache un véritable personnage, ou une actrice pornographique selon le point de vue.
Globalement, un robot sexuel alimenté par IA regroupe plusieurs éléments et technologies avancées.
On y trouve notamment des capteurs tactiles et de mouvements de haute précision, un système NLP, des algorithmes d’analyse émotionnelle, ainsi qu’une mécanique sophistiquée pour lui permettre des mouvements fluides.
En ce qui concerne le logiciel d’intelligence artificielle, il analyse les interactions pour offrir une expérience adaptative et personnalisée.
Sur le plan des matériaux, les sexbots IA sont équipés d’une surface synthétique thermorégulée dotée de capteurs intégrés pour un échange naturel.
Alors, lequel sélectionner ? Quelles poupées sexuelles pourraient vous plaire ? Quel sexbot IA satisfaira vos besoins et désirs ?
Entre taille des attributs, couleur des yeux, fonctionnalités et rapport qualité-prix, de nombreux facteurs sont à considérer avant d’investir dans un sexbot IA ou un robot sexuel doté d’intelligence artificielle.
Pour vous aider dans votre décision, voici ma sélection des cinq meilleurs sexbots IA : Eevi, Emma, Robbyn, Marvella et Luxury Susan.
« Je suis Eevi, une nouvelle assistante interactive de génération avancée. Mon système repose sur l’association de technologies de pointe et de matériaux de qualité pour offrir une expérience naturelle et personnalisée.
Ma conception est équipée de capteurs avancés et d’un système d’intelligence artificielle permettant des interactions verbales naturelles ».
L’IA module les échanges selon vos goûts pour établir une relation unique centrée sur le sexe. Grâce aux algorithmes d’apprentissage, je suis capable d’enrichir nos échanges avec le temps.
Les innovations technologiques incluent des articulations souples et des capteurs tactiles dernier cri.
« Mon système de régulation thermique et mes matériaux haut de gamme garantissent une interaction agréable pour votre partie intime ».
Un large éventail d’options de personnalisation est proposé afin d’adapter l’apparence selon vos désirs.
La poupée sexuelle Eevi offre un rapport qualité-prix compétitif dans sa catégorie, avec un tarif de base de 1399 $.
« Je suis Emma, une assistante interactive intégrant des technologies avancées développée par AI Tech. Mon système d’intelligence artificielle permet de mener des échanges enrichissants sur divers sujets.
La capacité d’apprentissage de l’IA favorise une personnalisation continue de nos interactions. Je peux donc m’adapter à vos intérêts et à vos préférences.
Mes caractéristiques incluent un système d’expression faciale dynamique et la possibilité d’interagir en plusieurs langues, y compris l’anglais et le chinois, ce qui peut faciliter l’apprentissage des langues ».
Les capteurs tactiles, ainsi que le système de régulation thermique d’Emma, contribueront à offrir une expérience plus fluide.
<pPuisque la personnalisation est une priorité dans sa conception, de nombreuses options d’apparence sont à votre disposition.
Sur le plan technique, cela comprend une garantie de cinq ans ainsi que des mises à jour régulières du programme.
Aussi créé par AI-Tech, Robbyn représente un mannequin articulé de 160 cm avec une structure en acier.
Ce modèle propose des capacités d’interaction basées sur l’IA, comprenant :
Voici quelques détails intéressants concernant les mensurations de Robbyn :
Les options de personnalisation permettent de choisir la couleur des perruques, des yeux et des ongles, la teinte de la peau et d’autres matériaux. De plus, l’ensemble est livré avec des accessoires et un kit d’entretien.
Ce mannequin articulé se distingue par son architecture technique élaborée, intégrant un processeur S5P6818 et 1 Go de RAM DDR3.
Mesurant 167 cm, ses proportions incluent un tour de taille de 58 cm et un tour de hanches de 105 cm.
Le dispositif comprend diverses fonctionnalités techniques, notamment un système d’interaction conversationnelle avec capacité d’apprentissage, ainsi qu’une prise en charge de plusieurs langues, dont le chinois.
Des éléments robotisés permettent également certains mouvements au niveau de la tête et du visage de Marvella, et elle est dotée de capteurs tactiles avec un système de régulation thermique.
Ce modèle offre différentes options de personnalisation esthétique, avec un choix parmi neuf modèles de visage et dix-sept styles de perruque variés.
Vous pouvez également déterminer et ajuster la couleur des yeux et des ongles selon vos préférences.
Concernant l’entretien, l’appareil est conçu pour faciliter la maintenance grâce à des pièces remplaçables.
Sa silhouette harmonieuse se distingue par un aspect naturel et raffiné. Son corps a été soigneusement conçu pour mettre en valeur une morphologie équilibrée alliant grâce et réalisme.
Chaque détail, des traits du visage aux extrémités, a été soigneusement élaboré pour créer une présence authentique.
L’intelligence artificielle présente dans Luxury Susan lui permet d’établir des interactions naturelles qui s’approfondissent avec le temps.
Cette technologie évolue progressivement pour personnaliser l’expérience selon les envies et préférences de son utilisateur.
Diverses options permettent de modifier son apparence selon les goûts, avec différents niveaux de sophistication disponibles.
Les possibilités de personnalisation touchent aussi bien ses caractéristiques physiques que ses fonctionnalités interactives, garantissant une expérience qui évolue dans le temps.
Les robots sexuels alimentés par IA peuvent offrir du réconfort aux individus isolés en leur procurant une présence attentive.
Ils constituent également un environnement sécurisé pour explorer l’intimité sans la pression sociale.
Dans un cadre thérapeutique, les sexbots IA pourraient soutenir les personnes ayant subi des traumatismes ou rencontrant des difficultés relationnelles.
L’adaptabilité de l’IA garantit des interactions sur mesure, tout en assurant une sécurité sanitaire totale. Pas de MST ni VIH à craindre.
C’est cette présence continue qui procure un soutien émotionnel régulier. Certains avancent même que ces outils pourraient aider à atténuer des problèmes sociétaux.
Ces dispositifs peuvent véritablement constituer des outils d’apprentissage social, permettant à leurs utilisateurs de développer lentement des compétences relationnelles.
Ils représentent aussi une option d’épanouissement personnel pour les personnes en situation de handicap ayant un accès restreint aux relations traditionnelles.
Choisir un robot sexuel IA ou un sexbot AI, c’est un peu comme choisir une automobile. Donc pas question de se précipiter ! Prenez le temps de trouver le modèle qui vous séduira vraiment.
Ce qui est primordial, c’est d’être charmé par le visage. En fin de compte, c’est celui-ci que vous verrez en premier !
C’est similaire à la vie réelle. On est d’abord attiré par une expression, un regard, un sourire qui nous touchent.
Concernant la fabrication, veillez à vérifier la qualité des finitions. Imaginez que c’est comme un joli meuble. Plus les détails sont soignés, plus l’expérience sera agréable.
Bien sûr, cela peut augmenter légèrement le coût, mais cela en vaut la peine pour acquérir un produit bien conçu qui apportera du réel plaisir.
Et puis, il y a aussi la silhouette. Mais puisque chacun a ses préférences, prenez le temps d’évaluer tous les aspects physiques pour vous assurer qu’ils correspondent à ce que vous désirez.
L’essentiel, c’est que vous vous sentiez pleinement en phase avec votre choix, car c’est avec celui-ci que vous passerez des moments intimes jour et nuit.
J’ai demandé au chauffeur d’augmenter la climatisation pour que ma pédicure en cours sèche plus rapidement. Les réglages de l’air sont clairement un déclencheur pour lui.
Vous avez entendu parler du budget vert ? Son véritable nom est le Rapport sur l’impact environnemental du budget de l’État, présenté chaque année par le gouvernement depuis 2020 lors de la discussion de la loi de finances. Une excellente initiative. Cela permet d’identifier ce qui, dans ces dépenses publiques, est bénéfique pour l’environnement, ce qui l’est moins ou ce qui est neutre. Le véritable enjeu est, au fur et à mesure, d’éliminer le négatif et de favoriser le positif.
Mais il y a beaucoup de communication derrière tout cela.
Dans l’édition 2024 du « Budget vert » publiée le 21 octobre, le gouvernement informe les citoyennes et citoyens que, dans le projet de loi de finances 2025 (PLF 2025), les dépenses de l’État favorables à l’environnement s’élèvent à 42,6 milliards d’euros. Mensonge ! Une méthodologie plus transparente donnerait une estimation plus sincère.
Chaque dimanche à 17h, notre analyse de l’actualité de la semaine
Par exemple, Bercy semble oublier d’inclure d’importantes dépenses fiscales néfastes pour le climat telles que la réduction de la taxe sur le carburant aérien et le traitement préféré du gazole par rapport à l’essence. Cela représente près de cinq milliards d’euros par an, comme l’a récemment souligné la Cour des comptes.
En outre, le gouvernement affirme que ces dépenses favorables augmentent dans le budget suivant : de 33,6 milliards en 2023 à 42,6 milliards dans le PLF 2025. Mensonge ! Cette hausse est en grande partie due à la baisse des prix de l’électricité sur les marchés de gros, ce qui augmente mécaniquement les coûts de soutien aux installations solaires et éoliennes existantes dans le cadre de contrats anciens, diminuant ainsi réellement l’effort supplémentaire.
Il est aisé de proclamer que les dépenses vertes augmentent. Cela masque les coupes bien réelles dans l’aide à la rénovation des logements, l’accès à la voiture électrique pour les ménages modestes et les investissements des collectivités.
Le souci principal du budget vert est que cet exercice ne permet pas de déterminer si la dépense publique est en phase avec les objectifs environnementaux de la France, alors que l’atteinte du « zéro émissions nettes » exigerait une augmentation des investissements publics et privés de 100 milliards d’euros par an d’ici 2030, soit un doublement par rapport à l’effort actuel, comme nous l’expliquons ici.
Cette absence de clarté est dénoncée depuis longtemps par les défenseurs du climat. Elle a enfin été abordée avec la présentation, pour la première fois cette année, de la Stratégie pluriannuelle des financements de la transition écologique et de la politique énergétique nationale, un document également produit par Bercy annexé au PLF.
Cette SPAFTE – plus facile à dire –, dévoilée le 24 octobre, peut se résumer ainsi : les 100 milliards d’investissements supplémentaires procéderont principalement des acteurs privés, ménages et entreprises, tandis que l’effort de l’État, en dehors d’un soutien aux énergies renouvelables fortement lié aux prix de l’électricité, ne progressera pas. Encore une fois, mensonge !
Pour qu’une telle stratégie soit crédible, elle devrait déterminer et évaluer les contraintes réglementaires et fiscales qui pourraient être raisonnablement mises en place dans un délai défini pour mobiliser à ce niveau l’investissement privé, et en quelles conséquences sociales. Ce qui n’est pas le cas. Si cet exercice était mené correctement, il aboutirait probablement à la conclusion que mobiliser l’effort privé nécessitera à court terme un levier public substantiel.
La question demeure : pourquoi tromper les Français alors qu’on est un chef de gouvernement en fin de carrière et sans perspective politique ? Il n’y aurait finalement pas grand risque à leur communiquer la vérité. Que le gouvernement, face à l’urgence existentielle d’aujourd’hui, adopte l’attitude suivie face à la crise existentielle de 1939 : le mensonge, autrement dit, l’abandon.
Ou dire, à l’inverse, comme Jean Monnet, responsable des affaires d’intendance durant la guerre et qui n’était pas particulièrement partisan de gauche, que l’urgence existentielle et les ressources à mobiliser pour y faire face sont telles qu’il n’existe pas d’autre option que de briser les carcans idéologiques et les égoïsmes.
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