Le Roi Lézard de Long Island
Jon Sperling a secrètement propagé une espèce non indigène à travers le Nord-Est. “C’est fou ce que ce gars faisait,” a déclaré un biologiste.
Jon Sperling a secrètement propagé une espèce non indigène à travers le Nord-Est. “C’est fou ce que ce gars faisait,” a déclaré un biologiste.
Le Zoo d’Édimbourg a posté à propos d’un nouveau bébé hippopotame nain nommé Haggis, dans une tentative de remplacer Moo Deng en tant que dernier animal viral.
Des pingouins détournent le bec à la vue de poissons de moins bonne qualité. Photo avec l’aimable autorisation du Hakone-en Aquarium L’inflation galopante et l’augmentation du coût de la vie touchent des millions de personnes dans le monde. Beaucoup sont contraints de resserrer les cordons de leur bourse et cette austérité forcée se répercute sur leur alimentation. Au Japon, les pingouins de l’aquarium Hakone-en en ont aussi fait les frais. Situé dans la préfecture de Kanagawa, au sud de Tokyo, le zoo héberge une population d’oiseaux marins au palais particulièrement raffiné. Pour ne pas dépasser l’enveloppe budgétaire consacrée à leur bouffe, les gardiens ont troqué depuis mai l’habituel aji (chinchard japonais) gras contre du saba (maquereau tacheté), une protéine visqueuse et moins chère. Publicité Et les animaux refusent de manger ce menu au rabais. Quand certains ne picorent pas le nouveau poisson avec précaution, d’autres détournent carrément la tête. « Même s’ils acceptent de prendre la nourriture dans leur bec, ils la recrachent immédiatement », a confié Hiroki Shimamoto, responsable du zoo de Hakone-en, à VICE. Au Japon, la hausse des coûts d’importation et des prix de l’énergie – causée par les tensions sur l’économie mondiale dues à la pandémie de COVID-19 et à la guerre en Ukraine – a pris de court la population. En avril 2022, les prix à la consommation au Japon ont augmenté de 2,5 %, la plus forte hausse depuis octobre 2014. Le coût de fonctionnement de l’aquarium a quant à lui augmenté d’environ 20 pour cent depuis le début de l’année, a déclaré Shimamoto, qui n’a pas été autorisé à dévoiler le montant exact des dépenses en matière de nourriture. En plus d’opter pour de la bouffe bon marché, l’aquarium a aussi dû éteindre les lumières et réduire la fréquence de nettoyage des cuves de filtration, dans…
Carahiah Nad / 500px via Getty ImagesLe zoo des Trois Vallées dans le Tarn a été fermé après la fuite de loups, 4 animaux abattus ANIMAUX – Courte escapade. Alors que le zoo des Trois Vallées, recevait du public, neuf loups ont pris la fuite dimanche 19 décembre. Le parc animalier, situé à Montredon-Labessonnié, a été fermé jusqu’à la mi-janvier après la fuite de neuf loups. Quatre ont été abattus et les cinq autres anesthésiés, a appris l’AFP auprès de la préfecture, ce vendredi 24 décembre. “Il y a eu un incident avec une meute de loups qui ne s’est pas comportée de manière normale”, a expliqué le secrétaire général de la préfecture du Tarn, Fabien Chollet. “Le propriétaire a dû faire abattre quatre loups”, a-t-il indiqué, précisant que le patron du zoo a “fait appel aux services de l’État pour anesthésier les cinq autres”. Selon France Bleu, les loups sont parvenus à escalader leur clôture, mais “sont restés à l’intérieur d’une enceinte hermétique par rapport aux visiteurs”. “Il n’y avait pas grand monde dans le zoo et à aucun moment le public n’a été mis en danger immédiat”, a assuré à l’AFP Fabien Chollet, ajoutant toutefois que ce “problème de sécurité” a justifié la fermeture du zoo. Celle-ci est effective depuis jeudi et “jusqu’à ce que les conditions de sécurité redeviennent normales”. 600 animaux dans un zoo déjà sanctionné Ce n’est pas la première fois que le zoo des Trois Vallées, situé à environ 35 kilomètres d’Albi, rencontre des difficultés. Le parc qui accueille sur 60 hectares quelque 600 animaux de 70 espèces, dont de grands félins, avait déjà été frappé d’une mesure de fermeture administrative, sur ordre ministériel, le 22 octobre 2020. Des “manquements majeurs” mettant en danger la sécurité des animaux, du personnel et des visiteurs lui…
ANIMAUX – Seuls ou ou en groupe, de toutes formes et de toutes tailles, les animaux du zoo de Londres ont commencé à être pesés et mesurés ce jeudi 26 août, dans le cadre de la pesée annuelle. Comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête d’article, des pingouins, des singes, des hiboux ou encore des tortues géantes des Galapagos faisaient partie des animaux à monter sur la balance, afin de commencer l’enregistrement annuel de leurs caractéristiques physiques. Les tortues géantes des Galapagos Dolly, Polly et Priscilla ont vu leur carapace mesurée. La lionne asiatique Arya, arrivée en avril pour devenir la compagne du mâle Bhanu, est elle en pleine forme avec ses 7 mètres de longueur sur un saut en expansion. Faire coopérer les 20.000 animaux du zoo pour cette pesée n’est pas toujours facile; les gardiens ont par exemple dû faire preuve d’imagination pour amadouer, avec de la nourriture, le groupe de singes écureuils boliviens à tête noire pour les faire monter sur la balance un par un. Angela Ryan, responsable des opérations animales du zoo, explique à Reuters: “Nous devons connaître les statistiques vitales de chaque animal du zoo, de la plus grande girafe à la plus petite fourmi.” “Cela aide à garantir que chaque animal dont nous nous occupons est en bonne santé, mange bien et grandit au rythme auquel il devrait“, ajoute-t-elle. “Le poids est un indicateur particulièrement important de la santé et du bien-être chez l’animal.” Le zoo de Londres partage ces informations avec des zoos et des instituts de recherches du monde entier, qui peuvent ainsi ensuite les utiliser pour mieux prendre soin des espèces qu’ils accueillent. À voir également sur Le Huffpost: En Italie, des garde-côtes sauvent un bébé dauphin pris au piège dans un filet Source
ANIMAUX – Fleur de Coton et Perle de Neige vont bien. Les jumelles panda nées au Zoo de Beauval le 4 août ont passé leurs onze premiers jours sans accrocs, une période sensible pour les plantigrades qui viennent de naître, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article. Pesant 149 et 128 grammes à leur naissance, un poids rassurant pour des bébés pandas, les deux pandas ont montré tous les signes d’une santé vigoureuse. Elles ont cependant été placées en couveuse et ont reçu des soins prodigués par une soigneuse du Centre de recherche sur le panda géant de Chengdu, venue spécialement pour leur naissance. Leur mère Huan Huan, une femelle prêtée par la Chine pour dix ans à la France a “les gestes d’une bonne maman” selon Baptiste Mulot, le chef vétérinaire du zoo. Depuis 2016, les pandas géants ne sont plus “en danger” d’extinction sur la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Mais l’espèce reste toutefois “vulnérable”, alors que 500 pandas vivent en captivité et 2000 à l’état sauvage en Chine. À voir également sur Le HuffPost: Les jumeaux de la femelle panda Huan Huan sont nés Source
RÉGIONALES 2021 – Au trot le zoo! À quelques kilomètres au sud de Limoges, on s’affaire au parc zoologique du Reynou. On fait des plans, on construit, on ronge son frein en attendant les autorisations. Tout en continuant de prendre soin des 130 espèces de pensionnaires qui peuplent les 65 hectares de terrain. Après une année de pandémie qui a stoppé net tous les projets de développement et qui a mis la trésorerie à plat, il est temps de reprendre du poil de la bête. Et la région Nouvelle-Aquitaine a intérêt à donner un coup de main. C’est qu’à l’approche des régionales, Nicolas Lefrère, 33 ans, directeur du zoo qu’il a récupéré en 2007 avec sa mère et sa sœur en attend beaucoup des nouveaux élus. “Le tourisme, c’est 10% du PIB de la région. Il faut absolument que les acteurs du territoire et les politiques misent dessus”, nous explique-t-il au milieu de ses lamas. Avant les régionales 2021, Le HuffPost est parti à la rencontre de professionnels qui s’extirpent à peine de longs mois de confinement. Ils racontent les tâtonnements de cette “sortie de crise”, leurs appréhensions pour la suite et leurs attentes à l’égard des pouvoirs publics. Stagner et soigner Il détaille: “Pour une structure de loisirs comme nous, c’est indispensable d’avoir toujours des projets de développement pour créer de l’attractivité pour nos visiteurs.” En clair, Nicolas et sa famille doivent trouver chaque année des moyens de faire revenir ses anciens clients et d’en attirer de nouveaux. À côté de l’observation des animaux, il y a les balades que propose le parcours du parc, une restauration et même des hébergements. Moyennant plus de 200€ la nuit, le visiteur peut se réveiller dans un lodge en bois -relativement respectueux de l’environnement- face à la “Plaine africaine” et sa dizaine d’espèces animales….
Photo publiée avec l’aimable autorisation du zoo de Maruyama à Sapporo Depuis 2013, les toucans Toto et Poko vivent en couple au zoo de Maruyama, dans la ville de Sapporo, au nord du Japon. En 2016, après avoir atteint leur maturité sexuelle, ils étaient censés se reproduire. Le personnel a bien trouvé deux ou trois œufs dans leur cage, mais aucun n’a éclos. Perplexes, les gardiens ont alors essayé de les mettre un peu plus en ambiance. Ils leur ont construit un nid plus grand et ont modifié leur régime alimentaire, mais rien n’y a fait. En fait, ils n’avaient jamais vu les oiseaux en action, mais après tout, ces derniers attendaient peut-être que personne ne les regarde. Publicité Ce n’est qu’en 2020 qu’ils ont décidé de leur faire passer un test ADN. Au début du mois, le zoo a annoncé que Toto, le plus grand des deux, celui qu’on pensait être le mâle, était en réalité une femelle, tout comme Poko. Toto (en bas), le mâle présumé, est légèrement plus grand que Poko. Photo publiée avec l’aimable autorisation du zoo de Maruyama à Sapporo. « Lorsque nous les avons achetés en 2013, on nous a dit qu’il s’agissait d’un mâle et d’une femelle, dit Hideaki Yamamoto, responsable de la reproduction au zoo. Il est difficile de déterminer leur sexe à partir de leurs caractéristiques physiques, donc nous ne pouvions pas deviner. » Pour brouiller encore plus les pistes, les toucans ont manifesté un comportement de parade nuptiale, que l’on observe habituellement entre partenaires d’accouplement. « Toto nourrissait Poko. Et si Poko s’envolait du nid, Toto la suivait pour être près d’elle, raconte Yamamoto. Nous savons à présent que les oiseaux de même sexe peuvent aussi avoir ces comportements. » La parade nuptiale entre oiseaux du même sexe, qui comprend…
INSOLITE – Parmi ceux qui fêtent Pâques, il y a les humains évidemment, mais cette année, d’autres invités étaient de la partie, les animaux. Comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article, des zoos ont fait jouer leurs animaux avec des œufs de Pâques. En Australie, les koalas, kangourous et wombat de l’“Australian Reptile Park” ont réalisé une chasse aux œufs de Pâques dont le parc a ensuite diffusé des images. Le zoo de Londres a également présenté des décorations de Pâques à ses animaux. Bien sûr, personne ne pouvait les voir puisque le zoo est fermé en raison de la pandémie. En Floride, à Islamorada, des plongeurs sont allés chercher des œufs avec les poissons sous l’eau. Pour l’occasion, le capitaine Spencer Slate s’est déguisé en lapin pour aller déposer des œufs au fond de l’eau que d’autres plongeurs sont allés chercher. Cet événement a servi à lever des fonds pour les enfants de la région qui vivent dans le besoin. À voir également sur Le HuffPost: Ce bébé rhinocéros fait ses premiers pas dans un zoo australien Source
Vicki Jauron, Babylon and Beyond Photography via Getty ImagesTrès proches génétiquement de l’homme, les gorilles peuvent également contracter le coronavirus. CORONAVIRUS – Les grands singes peuvent aussi contracter le virus du covid-19. Mais comme pour l’homme, de nouveaux traitements arrivent. Un gorille contaminé par le coronavirus a été soigné grâce à un traitement expérimental à base d’anticorps de synthèse, a annoncé ce lundi 25 janvier le zoo de San Diego, en Californie. Winston, un gorille des plaines occidentales de 48 ans, avait été testé positif au coronavirus comme plusieurs autres primates le 11 janvier, lors d’une analyse de ses excréments. Il était le premier cas de transmission naturelle du Covid-19 aux grands singes, et aurait été contaminé par un salarié asymptomatique, qui portait pourtant des gants. “Le groupe a été infecté par un nouveau variant, très contagieux, du coronavirus qui a été récemment identifié en Californie”, a expliqué dans un communiqué le San Diego Zoo Global, l’association gérante du zoo. Plusieurs gorilles ont ainsi montré des symptômes de toux légère, de nez bouché ou qui coule et des épisodes de léthargie. En raison de son âge avancé et de sa santé précaire, Winston a été examiné sous anesthésie. Souffrant de pneumonie et d’une maladie du coeur, il a été traité avec un cocktail de médicaments pour le coeur, d’antibiotiques et d’anticorps “monoclonaux”. Un traitement non utilisable par les hommes Ces anticorps fabriqués en laboratoire et injectés par intraveineuse imitent le fonctionnement du système immunitaire après la contamination par le coronavirus. Le traitement à base d’anticorps “monoclonaux” a été approuvé en novembre aux États-Unis, où il avait été utilisé de façon expérimentale dès octobre pour soigner l’ancien président Donald Trump. Mais Winston a reçu un traitement non utilisable sur les humains, a souligné le zoo. L’équipe de soignants-animaliers “pense que les anticorps peuvent…
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