Salut les sblarfs. Bienvenue dans Scroll, notre revue de presse des dernières news tech, tous les lundis (normalement) dans notre story Instagram et dans les colonnes de notre site. Cette semaine on parle de dénonciations inutiles et de joueurs de FIFA malins, ce qui est tout de même assez remarquable.
Rappel : it’s okay to be gay
Un haut responsable de l’église catholique aux États-Unis a démissionné après qu’un journal, The National Catholic Reporter, a révélé sont goût pour l’application de rencontre Grindr et les bars gay. Monseigneur Jeffrey Burrill a manifestement été trahi par les données de son téléphone portable, mais Dieu seul sait comment le journal a mis la main dessus. Notons juste que cette affaire intervient en plein scandale Pegasus.
Surprise : culture bro dans le jeu vidéo
La Californie attaque Activision en justice pour culture sexiste. L’éditeur de Call of Duty et Candy Crush, entre autres, est accusé de verser des salaires inférieurs aux femmes et de les promouvoir moins souvent que les hommes. Activision jure que ce sont des histoires de performance, c’est tout. Les employées citées dans le dossier assurent que leur lieu de travail ressemble plus ou moins à une frat house.
Étonnant : tout le monde veut la peau du Zuck
Un nouveau rapport indique que Facebook a dépensé 23,4 millions de dollars en 2020 pour assurer la protection de son patron Mark Zuckerberg. C’est 40 fois plus que Jeff Bezos, le patron d’Amazon. On imagine bien que beaucoup de gens en veulent à Mark Zuckerberg, mais ça nous semble quand même énorme. En avril dernier, Facebook avait tout de même annoncé avoir « identifié des menaces sérieuses » à l’encontre de son fondateur.
Malin : faire des sous avec le pay-to-win FIFA
Les autorités ukrainiennes ont bouclé une opération illégale qui utilisait 3800 Playstation 4 pour générer des FIFA Coins sur le dernier jeu FIFA Ultimate. En gros, des bots disputaient des matches 24 heures sur 24, ce qui générait des pièces virtuelles, qui étaient ensuites revendues au marché noir. Les premières analyses voyaient en cette « ferme de consoles » une opération de minages de cryptomonnaies. La réalité est plus marrante.
Archéologie : votre imprimante craint
Le fabricant d’appareils électroniques Hewlett-Packard vient de corriger une faille de sécurité qui traînait sur ses imprimantes, mais aussi sur celles de Xerox et Samsung depuis plus de 16 ans. La faille en question était assez sérieuse pour permettre à des hackers de prendre le contrôle de votre ordinateur. Il était temps, d’autant que des milliers de machines étaient concernées par ce problème de sécurité.
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