Sandrine fait encore face aux menaces qu’elle a reçues. Ces mots résonnent sans cesse dans son esprit : « Tu vas crever, finir sous terre, balafrée. Si je n’ai pas le petit, je te préviens, tu ne l’auras pas non plus. » Un an de violences, sept plaintes et deux audiences judiciaires plus tard, cette trentenaire se retrouve dans l’obligation d’emmener son fils de 14 mois pour des visites avec son père, dans un cadre spécifique. « À chaque visite, j’étais paralysée. Je me demandais comment il était possible de planifier deux rencontres par mois pour amener mon fils auprès de l’homme qui menace ma vie. »
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