SoudainSoudain, Bernard Squarcini s’est tourné vers les rangs de la presse, le visage bouleversé. Le major de police Franck Alioui l’a mis hors de combat, vendredi, au tribunal. Pendant cinq heures, l’ancien directeur du renseignement intérieur (DCRI) a défendu le placement en écoute du policier pour des raisons liées à la sécurité nationale, et ce à deux reprises, en 2008 et en 2011, avançant des justifications déjà réfutées par l’enquête, incluant des soupçons totalement infondés d’une relation avec des services de renseignement israéliens et algériens.