Daily Cartoon : Mercredi 13 novembre
Choisissez judicieusement.
Un homme d’une quarantaine d’années a été retrouvé dans les toilettes publiques de la place Molière, derrière l’Opéra Comédie à Montpellier. C’est un agent de nettoyage des toilettes qui a aperçu cet homme couché à 8 heures 15 ce mercredi 13 novembre matin.
Le médecin légiste n’a pas pu établir les raisons de la mort. Il envisage l’hypothèse d’un arrêt cardiaque, mais rien n’est confirmé. L’identité de cet homme reste à établir.
La police nationale, la police municipale et les pompiers se sont déplacés sur les lieux.
Le joueur de rugby néo-zélandais Taleta Tupuola a été condamné à 14 mois de prison avec sursis par le tribunal de Béziers ce mercredi 13 novembre. Le membre de l’ASBH faisait face à des accusations de violences conjugales au domicile du couple à Thézan-les-Béziers, le 5 octobre. Il est aussi soumis à une obligation de soins pour des problèmes liés à l’alcool.
Le couple s’est engagé dans une dispute en présence de leur fils de 3 ans. Sa compagne a notamment fait une chute dans les escaliers. Ces violences ont causé six jours d’ITT et 15 points de suture sur le cuir chevelu de la victime.
Le joueur de 35 ans s’était querellé avec son épouse à leur retour d’une soirée entre amis. Taleta Tupuola, complètement saoul, l’avait alors poussée du premier étage.
L’ancien joueur de Montauban et Montpellier a reconnu les accusations et a exprimé de sincères regrets à la barre, expliquant qu’il ne se rappelait pas de ses actions. Taleta Tupuola a admis avoir des problèmes d’alcool et avoir été lui-même affecté par des violences conjugales vécues durant son enfance. Son casier judiciaire était vierge.
Le ministère public avait demandé une peine de 18 mois de prison avec sursis. Son épouse n’était pas partie civile, et n’était pas présente à l’audience. Seul leur fils de trois ans était présent, représenté par l’association France victime 34.
Lors de son réquisitoire, le procureur de la République de Béziers a regretté que le club ait tenté de minimiser l’affaire en suggérant à la victime de donner un faux nom à l’hôpital en raison de la notoriété du joueur et du club. L’avocat de Taleta Tupuola a précisé qu’il ne fera pas appel.
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Pour son nouveau mandat, qui commencera le 20 janvier prochain, le président désigné, Donald Trump, a appris des débuts difficiles de son premier mandat, durant lesquels il a dû se battre contre son propre parti. Il prévoit en effet de mettre en œuvre rapidement son programme dès son arrivée au pouvoir, surtout en ce qui concerne l’immigration.
Un conducteur de 24 ans a été arrêté ce samedi 9 novembre 2024 à Villeneuve-lès-Béziers, alors qu’il venait de se diriger intentionnellement vers des policiers, dans la zone de la Méridienne. Une patrouille intervenait, à la suite d’une concentration importante de véhicules. Il n’est pas rare que des “runs” y soient organisés. Une course nocturne se déroulant dans l’illégalité.
À son arrivée sur les lieux, les forces de l’ordre cherchent à appréhender les contrevenants. Certains conducteurs se montrent coopératifs, mais l’un d’eux, en état d’ébriété, choisit de fuir peu avant une heure du matin. Cet homme, venant de Bessan, se précipite alors délibérément vers un agent de police qui était sorti de son véhicule pour effectuer un contrôle.
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Se sentant menacé, l’agent de police sort son arme et fait feu une fois sur le véhicule, touchant un des pneus avant et stoppant ainsi son avancée. Fort heureusement, aucune blessure n’est à déplorer. Dans sa fuite, le conducteur heurte une voiture de police. Ce acte imprévisible aurait pu entraîner des conséquences désastreuses.
Depuis un certain temps, le syndicat Unité SGP Police FO signale une augmentation des refus d’obtempérer. Son représentant dans le Biterrois, Fabrice Aebi, demande une plus grande sévérité. “Si les policiers utilisent leur arme comme cela a été le cas le week-end dernier, c’est que le niveau de violence s’accroît face à des individus inactifs, prêts à courir tous les risques pour se soustraire à la justice.”
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Le jeune homme, qui avait consommé de l’alcool, sera jugé en comparution immédiate ce mercredi 13 novembre devant le tribunal judiciaire de Béziers. Il est inculpé pour refus d’obtempérer avec mise en danger intentionnelle d’un policier, dégradation d’un véhicule de police, récidive de conduite en état d’ivresse et défaut d’assurance.
Le conducteur a été placé en détention provisoire par le juge des libertés de la détention à l’issue de sa garde à vue le 11 novembre.
C’est la seconde fois qu’un policier utilise son arme en se sentant en danger. “Mon parquet continuera à montrer une grande sévérité envers de tels conducteurs dangereux et irresponsables” souligne Raphaël Balland, le Procureur de la République de Béziers.
Le 28 septembre 2024, un policier du commissariat de Béziers, se croyant en légitime défense après une course-poursuite risquée, avait également tiré dans le quartier de la Devèze. Le conducteur a été condamné à quatre ans de prison ferme.
D’après les données de l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière, plus de 770.000 conducteurs circulent sans permis en France. Un chiffre très impressionnant, d’autant plus qu’il ne cesse d’augmenter depuis dix ans. En outre, le nombre de conducteurs sans assurance a grimpé de 202% depuis 2017, avec 240.000 cas de défaut d’assurance en 2023. Les jeunes de 18 à 25 ans sont les plus concernés.
Entre 2016 et 2023, les services de sécurité ont constaté 25.700 délits de refus d’obtempérer routiers en moyenne chaque année. Ceux-ci ont légèrement diminué sur cette période (-5%), avec une hausse entre 2016 et 2021, suivie d’une baisse entre 2021 et 2023. Près d’un refus d’obtempérer routier sur cinq est un délit aggravé, qui, dans neuf cas sur dix, met en danger d’autres usagers de la route. La proportion de ces délits aggravés est passée de 16% en 2016 à 21% en 2023.
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Le 08/11/2024 Sans permis depuis plus de 20 ans, un Agathois s’enfuit à un contrôle et termine dans le fossé avec son fils et sa femme
Connections est un jeu de mots du New York Times qui consiste à trouver les “fils conducteurs entre les mots.” Comment résoudre le puzzle.
Voici la réponse à “Wordle” #1243 du 13 novembre, ainsi que quelques indices, conseils et pistes pour vous aider à le résoudre vous-même.
Benoît Peyrucq / AFPAprès le verdict du procès du 13-Novembre, aucun des accusés n’a fait appel, ce qui rend les condamnations définitives, en particulier pour Salah Abdeslam (dessin d’audience du 29 juin). TERRORISME – Le verdict est désormais définitif. Salah Abdeslam, condamné à la réclusion criminelle à perpétuité incompressible pour son rôle dans les attentats du 13 novembre 2015, n’a pas fait appel de sa condamnation, a annoncé à l’AFP le procureur général de Paris, Rémy Heitz, ce mardi 12 juillet. “Aucun des vingt accusés n’a interjeté appel”, a déclaré Rémy Heitz. “Le procureur national anti-terroriste et le procureur général près la cour d’appel de Paris n’ont pas non plus fait appel de cette décision”, a-t-il précisé dans un communiqué. La décision de la cour d’assises spéciale de Paris “a donc acquis aujourd’hui un caractère définitif et il n’y aura donc pas de procès en appel”. Le délai d’appel, de dix jours, expirait lundi à minuit. “Coauteur” des attentats du 13-Novembre Le 29 juin, et au terme de près de dix mois d’un procès “historique”, Salah Abdeslam était devenu le cinquième homme en France condamné à la perpétuité incompressible, la plus haute sanction du code pénal qui rend infime toute possibilité de remise en liberté. “Cela ne signifie pas qu’il adhère au verdict et à la peine de perpétuité incompressible qui en résulte, mais qu’il s’y résigne”, ont écrit dans un court communiqué ses deux avocats. Ses 19 coaccusés -six dont cinq présumés morts étaient jugés en leur absence- ont eux été condamnés à des peines allant de deux ans d’emprisonnement à la perpétuité. Au cours du procès, le seul membre encore en vie des commandos jihadistes qui ont fait 130 morts et des centaines de blessés à Paris et Saint-Denis a affirmé avoir “renoncé” à déclencher sa ceinture dans un…
via Associated PressLe procureur national antiterroriste, ici en 2019. JUSTICE – La menace terroriste qui pèse sur la France est moins importante qu’au moment des attentats de novembre 2015, mais il est néanmoins “extrêmement difficile d’avoir une vision totalement optimiste” quant au risque d’une action d’envergure organisée depuis l’étranger. Le procureur national antiterroriste, Jean-François Ricard, est revenu ce jeudi 30 juin sur le risque terroriste en France dans un entretien accordé à franceinfo au lendemain de la condamnation de Salah Abdeslam et plusieurs complices des attentats du Paris et Saint-Denis, “Des actions projetées” -à l’image des attentats du 13 novembre 2015 ou de l’attaque avortée dans un Thalys, toutes deux coordonnées par l’État islamique depuis la Syrie- “ne sont plus vraiment à l’ordre du jour”. Mais “nous ne pouvons pas écarter totalement” ce risque, estime le magistrat. “L’État islamique n’est pas du tout totalement défait. Un certain nombre de groupes continuent à exister dans le Nord-Ouest syrien, et ces gens-là peuvent exporter des activistes […] pour perpétrer de nouvelles actions. Je ne dis pas que cela va se passer demain, mais il faut garder une vigilance absolument accrue”, insiste Jean-François Ricard. La menace de l’ultradroite Si le djihadisme “reste la menace numéro 1” en matière de terrorisme en France, “elle n’est plus seule”, développe Jean-François Ricard. “Un certain nombre de groupes d’ultradroite se sont manifestés au cours des dernières années”. Depuis sa création en 2019, le Pnat (parquet national antiterroriste) a ouvert “un peu moins d’une dizaine de dossiers, deux d’entre eux ont déjà été jugés”. 🗣 De tels attentats peuvent-ils se reproduire ? ➡️ “Il est difficile d’avoir une vision totalement optimiste. Nous devons rester très vigilants”, avertit Jean-François Ricard, pour qui le djihadisme “reste la menace n°1”. “Elle n’est plus seule”, pointant “l’ultra-droite”. pic.twitter.com/4DPqMxqCkb — franceinfo (@franceinfo) June…
ATTENTATS – Jamais la salle d’audience construite pour l’occasion n’avait connu une telle affluence. Les parties civiles étaient venues en masse ce mercredi 29 juin pour la dernière soirée d’un procès historique des attentats du 13-Novembre. Mais seuls des murmures ont accueilli la condamnation de Salah Abdeslam à la prison à perpétuité assortie d’une période de sûreté incompressible, une peine extrêmement rare. À l’issue du verdict prononcé par le président Périès, de nombreux rescapés et proches des victimes qui s’étaient serrées sur les bancs de bois clair, se sont étreints. D’autres avaient les larmes aux yeux après ses 148 jours d’audience très durs, mais indispensables. “On a la sensation après le verdict qu’on tourne une page. On a eu un long procès, ouvert toutes les portes. (Les juges) ont pris une décision qui était très motivée. Les peines prononcées ne sont pas excessives. On est à un moment satisfaisant pour tout le monde, en tous cas pour la justice”, a souligné Me Gérard Chemla, avocat de plus d’une centaine de parties civiles. Président de l’association Life for Paris, Arthur Dénouveaux se réjouissait d’un verdict “juste” et se dit, dans la vidéo que vous pouvez voir ci-dessous, prêt ”à faire autre chose”. “Je me suis surpris à me dire que j’étais contente que les trois accusés qui comparaissaient libres repartent libres. C’est que quelque chose a fonctionné dans ce procès. La justice est venue réparer ce qui n’aurait jamais dû se passer”, a-t-il résumé. “Le chemin face à cette horreur a été de se reconstruire en groupe, et pas individuellement. On avait besoin de se serrer les coudes et d’entendre ce que la justice avait à nous dire après six ans et demi”, a-t-il également ajouté. “J’ai quand même l’impression d’un immense gâchis, on envoie des gens en prison, il y a…
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