Javier Mariscal’s “Bureau avec une Vue”
Aperçus soudains de l’art urbain.
Aperçus soudains de l’art urbain.
Les astronomes se sont précipités pour collecter autant de données que possible sur le mini-lune temporaire de la Terre avant qu’elle ne parte. Ils ont découvert qu’elle pourrait avoir une origine lunaire.
Le Black Friday débute officiellement le 29 novembre, mais si vous prévoyez de faire de ce jour le seul jour où vous achèterez des cadeaux cette saison des fêtes, vous passez à côté de nombreuses offres. Plusieurs détaillants de renom, dont Best Buy et Target, ont déjà commencé à déployer leurs remises de Noël en ligne et en magasin. Ces deux détaillants offrent également une protection des prix pendant la majeure partie de la saison de shopping des fêtes, donc si vous achetez tôt et que le même article baisse de prix, vous pouvez rétroactivement obtenir la meilleure offre. Que vous profitiez de la multitude d’offres anticipées des fêtes ou que vous attendiez jusqu’au jour après Thanksgiving, il est important de savoir comment chaque grand détaillant gère l’événement de shopping cette année. Si vous prévoyez de dépenser de l’argent, voici les horaires et attentes pour Amazon, Walmart, Target et tous les grands détaillants que nous connaissons. Amazon n’a pas encore annoncé de plan complet pour le Black Friday, mais il a une page d’accueil pleine d’offres de Noël, que le détaillant pourrait mettre à jour et convertir en son principal hub pour le Black Friday — ainsi que pour le Cyber Monday. Il n’y a pas beaucoup d’offres notables anticipées, du moins en ce qui concerne la technologie, mais Amazon propose actuellement quelques paires d’écouteurs Beats à prix réduits. Cela inclut les Beats Solo 4 et Beats Studio Pro, qui sont en vente à 99,99 $ (100 $ de réduction) et 169,99 $ (180 $ de réduction), respectivement. Soyez simplement conscient qu’Amazon ne propose pas de correspondance de prix, donc la “protection” des prix pour de nombreux clients d’Amazon signifie acheter l’article au prix le plus bas et retourner l’original — ce qui, malheureusement, est assez gaspilleur. Le Black Friday a…
Depuis des mois, les responsables de l’État se préparent à gérer la menace des complotistes d’extrême droite qui pourraient essayer de « stopper le vol ».
VIOLENCES – Je ne suis pas la 1intellectuelle féministe à le dire, mais ne remarquez-vous pas comme une récente masculinisation du paysage médiatique après tant de progrès ces cinq dernières années? Sûrement les effets du 1 confinement, me direz-vous, qui se donnent à voir, perdurent et commencent à reléguer doucement les femmes politiques, médiatiques, chercheuses, expertes dans l’ombre de leurs homologues hommes, les mêmes ne s’adressant qu’aux mêmes sur une scène androcentrée raffermie par le confinement? Regardez les sujets en tête des médias: que des politiques, des sujets ou des experts hommes! À l’exception de la victoire historique pour les femmes du monde entier de Kamala Harris, la vice-présidente américaine de Joe Biden, le nouveau président élu, il n’y a (presque) plus de femmes en tête des médias, même les équipes féminines de football pâtiraient de la situation qu’on vit. C’est un frémissement de backlash français suite au confinement et à sa cohorte de régressions en tous genres, mais qui a pour conséquences communes de donner plus de travail domestique aux femmes, moins de visibilité médiatique et moins de pouvoir d’achat, de les faire régresser alors que les droits symboliques commençaient à s’inscrire pour de bon? Pourtant, il est urgent de continuer de parler et d’écrire en tant que penseuse femme et de dire qu’aujourd’hui, les mères actives ne sont pas assez visibles et que beaucoup meurent encore dans l’espace privé et public. Aujourd’hui, en ce 25 novembre 2020, j’aimerais rendre hommage à Hanane Al-Barassi, avocate militant pour les Droits des Femmes, assassinée le 10 novembre dernier dans une rue de Benghazi, en Lybie, parce qu’elle se battait pour les droits et la liberté des femmes; et aussi à ma mère, dont l’existence tout entière est une lutte pour vivre alors qu’elle aurait pu mourir. Je parle et j’écris de…
VIOLENCES – Il aura fallu un temps infini pour que le soutien aux femmes victimes de violences conjugales devienne une réalité sociale, du Mouvement de Libération des Femmes dans les années 70 au phénomène #MeToo en 2017, et 2 ans supplémentaires pour que la France mette en place le Grenelle des Violences conjugales, presque 50 ans pour que la société française prenne conscience de l’importance de ces violences. Certes, la loi a évolué notamment à travers la définition élargit du viol et du harcèlement sexuel (Loi “Schiappa” du 3 août 2018 n° 2018-703.et n° 2018-77), certes la communication bat son plein et participe à la prévention des violences comme en témoigne la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes de ce mercredi 25 novembre. Prévenir l’irréparable Les actions et les prises de paroles ne cessent de se multiplier pour sensibiliser l’opinion et à ces violences, mais en dehors de la communication qu’a-t-on réellement fait pour prévenir et éviter l’irréparable? Les homicides conjugaux ont, dans le cadre du Grenelle contre les violences conjugales qui s’est tenu en 2019, largement mobilisé les discussions, autour de l’indispensable amélioration du repérage de ces situations, de la prévention, de la réponse pénale à apporter, mais aussi de la mise en protection et l’accompagnement de la victime ou de ses proches. Dans ce contexte, et sous l’angle de son action, France Victimes a étudié plus particulièrement le sujet des homicides conjugaux survenus en 2019, et à travers la mobilisation de son Réseau sur ces situations. Ce travail mené courant 2020 fait un constat sans appel: seulement 5% des situations ont donné lieu à la mobilisation des associations France Victimes avant la commission de l’acte; et seulement 28% des situations ont généré la saisine d’une association France Victimes pour le soutien aux proches, après…
ALAIN JOCARD / AFPLa psychiatre Muriel Salmona remet son manifeste contre l’impunité des crimes sexuels à Marlène Schiappa, alors secrétaire d’Etat à l’Egalité entre les femmes et les hommes, le 20 octobre 2020. POLITIQUE – Comme chaque année, la journée internationale de l’élimination des violences à l’égard des femmes a lieu le 25 novembre. L’occasion de revenir sur tout le travail qu’il reste à mener pour les combattre. La psychiatre Muriel Salmona, présidente de l’association “Mémoire traumatique et victimologie” est spécialiste de ces questions. Pour Le HuffPost, elle revient sur ce qui a été fait depuis l’élection d’Emmanuel Macron, comme la plateforme arrêtonslesviolences.gouv.fr à laquelle elle a participé en formant des policiers, mais aussi sur tous les chantiers qu’elle préconise sur les plans médical, judiciaire et social. Entretien. On a parfois l’impression que les années passent et que rien ne change concernant les violences faites aux femmes. Pensez-vous que le 25 novembre devient un triste “marronnier”? Cette journée a le mérite de concentrer une lutte solidaire entre toutes les associations, tant du côté des militantes que de tous ceux qui se battent autour de cette date. On ne peut pas mobiliser tout le monde tout le temps, là on fait beaucoup d’interventions, c’est très intense, ça a du sens. C’est une façon de visibiliser la réalité de ces violences. Les moyens n’ont pas été du tout à la hauteurMuriel Salmona, psychiatre Quel bilan politique tirez-vous du quinquennat d’Emmanuel Macron sur le sujet des violences faites aux femmes? La grande cause du quinquennat consacrée à l’égalité entre les femmes et les hommes a eu le mérite de faire parler du sujet. On a pu faire beaucoup de propositions. Mais le résultat est très décevant. Pour éliminer les violences, il faut des moyens. Ils n’ont pas été du tout à la hauteur. On…
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