L’aide publique au développement, victime collatérale du budget Barnier
Le projet de loi de finances pour 2025 prévoit de diminuer de 1,3 milliard d’euros le budget alloué à l’aide publique au développement. Les ONG humanitaires pourraient être les premières touchées.
L’IA redessine l’industrie pour adultes entre promesses et dangers
Les avancées de l’intelligence artificielle transforment rapidement l’industrie du divertissement pour adultes. Si de nouvelles […]
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Google, Microsoft et Perplexity promeuvent le racisme scientifique dans les résultats de recherche
Les plus grands moteurs de recherche du Web basés sur l'IA présentent l'idée largement démystifiée selon laquelle les personnes blanches sont génétiquement supérieures aux autres races.
Rencontrez ZachXBT, le justicier masqué qui traque des milliards de dollars en escroqueries et vols de crypto-monnaies
Il vient de démêler un vol de bitcoins de 243 millions de dollars, ce qui pourrait être le plus gros vol de crypto-monnaies jamais commis contre une seule victime. Et il n'a jamais montré son visage.
Budget : on achève bien l’avenir des universités
Le débat budgétaire s’ouvre « enfin ». Le chef du gouvernement l’a placé sous l’ombre tutélaire de « la vérité ».
Benjamin Morel : « Le gouvernement Barnier se fait dévorer par le RN »
Miner le front républicain, soutenir implicitement l’exécutif tout en misant sur son échec pour apparaître comme la seule alternative : le constitutionnaliste Benjamin Morel décrypte la stratégie du RN.
Liquid AI redessine le réseau neuronal
Inspirés par des vers microscopiques, les fondateurs de Liquid AI ont développé un type de réseau neuronal plus adaptatif et moins gourmand en énergie. Aujourd'hui, la spin-off du MIT révèle plusieurs nouveaux modèles ultra-efficaces.
Reda Kateb : “Je n’ai pas rencontré Audiard avant qu’il me donne mon rôle dans ‘Un Prophète’”
Reda Kateb est venu présenter “Sur un fil”, son premier film en tant que réalisateur, sur le plateau de Clique. L’acteur explique pourquoi son long-métrage est une œuvre engagée et revient sur son rôle dans “Un Prophète”, son enfance aux côtés de Kery James et sa relation amicale avec Tahar Rahim. “Sur un fil”, son premier film Après 16 ans de carrière en tant qu’acteur, Reda Kateb a décidé de passer à la réalisation. “Sur un fil”, avec Aloïse Sauvage et Philippe Rebbot, sort en salle le 30 octobre. C’est l’histoire d’une clown professionnelle qui travaille auprès d’enfants dans un hôpital : “Avec un petit garçon malade, ils vont devenir indispensables l’un à l’autre” décrit son metteur en scène. Au fil du film, elle va créer des liens très étroits avec cet environnement qu’elle ne connaît au départ. Pour son premier long-métrage, Reda Kateb a choisi d’aborder un milieu qu’il voit depuis toujours, puisque sa mère était infirmière : “elle me racontait que c’était important pour elle d’écouter ses patients.” Aujourd’hui, les enfants malades sont de plus en plus pris en compte dans les hôpitaux et le réalisateur voulait dépeindre cette évolution. “La découverte de ce métier de clown à l’hôpital m’a donné envie de faire ce long-métrage.” Un début de carrière immédiatement sous les projecteurs Son premier rôle à la télévision, il le doit à la série “Engrenages” en 2008. Face à Mouloud Achour, il raconte l’anecdote de son casting plein de rebondissements. Le futur metteur en scène arrive en retard car il faisait le clown pour l’anniversaire d’une petite fille. Après négociation, la directrice du casting accepte de le recevoir et durant sa prestation, Reda Kateb se met à rapper : “Je peux aussi vous faire un morceau de NTM !” Face à la caméra, il entame “Touche pas à ma musique” et finit par décrocher le rôle qui le lancera en tant qu’acteur. Dans la foulée, il est embauché pour jouer dans le film “Un Prophète” de Jacques Audiard aux côtés de Tahar Rahim : “On avait déjà joués tous les deux dans une série CANAL.” C’est comme ça que le réalisateur est tombé sur le profil de Reda Kateb. “Je ne l’ai même pas rencontré avant qu’il me donne le rôle.” C’est sur ce film qu’il rencontre le futur interprète de Charles Aznavour. Depuis, ils n’ont plus rejoué ensemble, mais ils restent très proches, au point qu’il le qualifie de “frère de route.” Au cours de sa carrière, Reda Kateb a également tourné sous la caméra de La Rumeur, groupe de rap mythique devenu duo de réalisateurs, pour le film “Les Derniers Parisiens” en 2016. Il les connaissait déjà à la fin des années 1990, époque à laquelle ils ont enregistré une mixtape ensemble. Depuis, il est resté très proche d’eux : “Nous avons des liens fraternels qui tiennent sur la durée.” Sa passion pour le métier d’acteur, il la tient de son père, lui-même comédien, notamment dans “Les Aventures de Rabbi Jacob”. “Il m’emmenait en tournée partout avec lui quand j’étais petit.” Inspiré par son paternel, la transmission semble être le moteur de Reda Kateb qui sort son premier film sur des enfants malades. L’interview de Reda Kateb est disponible en replay sur myCANAL.
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Des avocats dénoncent le « tabou » du racisme dans leur profession
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